Le 30/10/12, 5:55
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Mardi 30 Octobre
Arrivés à New Jaipalguri, nous nous sommes entassés à douze dans une jeep pour faire les 3h de route de montagne reliant la gare à Darjeeling. Jusqu’à New Jaipalguri, tout ce que j’avais pu voir de l’Inde n’était constitué de plaines. Mais après ce trajet en Jeep, je me suis retrouvé catapulté à 1850m sur les premiers sommets de l’Himalaya ! La nuit venait de tomber et c’est chargé de nos sacs que nous sommes partis à la recherche d’un hôtel. Darjeeling étant bâtie sur les flancs abrupts d’une montagne, la recherche s’est révélée pénible car les routes étaient raides. La plupart des hôtels affichaient complet ou étaient tout simplement hors de prix et nous avons arpentés les rues de la ville pendant une heure pour finalement trouver une petite pension qui venait d’ouvrir. Une grande chambre avec deux grands lits séparés par une cloison, une salle de bain et un balcon avec vue sur les montagnes, le tout pour 500 Rs par nuit : on pouvait difficilement trouver mieux ! Le propriétaire nous a amené un seau d’eau brulante, et après nous êtres douchés nous sommes allés nous restaurer.
Quelle joie d’être enfin arrivés !!!! Pas d’auto-rickshaws, peu de klaxons, aucune vache, une population pour l’essentielle d’origine népalaise, d’immense montagnes nous entourent avec au loin les sommets enneigés de l’Himalaya : on se croirait dans un autre pays !
Mercredi 31 octobre
Après une excellente nuit et un réveil avant l’aube nous avons assisté au sublime lever du soleil depuis notre balcon. Nous sommes ensuite parti à la recherche d’un restaurant que nous avions repéré dans le Lonely Planet afin d’y prendre notre petit déjeuner. Nous avons arpentés sans succès les rues de Darjeeling sans succès pendant près d’une heure.... Il est assez difficile de se repérer dans la ville avec une carte car les rues et ruelles zigzaguent sur les flancs abrupts de la montagne alors qu’elles sont souvent représentées comme droites sur la carte... Nous nous sommes rabattus sur un salon de thé jouissant d’une excellente vue panoramique sur la ville et les montagnes environnantes pour y déguster un thé et calmer nos estomacs avec des œufs brouillés accompagnés de bacon, saucisses et d’emmental népalais.
Nous avons passé le reste de la journée à visiter la ville. A la nuit tombée, nous avons fait une petite marche pour nous rendre à une pagode japonaise. Arrivés au temple bouddhiste, nous nous sommes fait happer dans une salle de prière où une quinzaine de fidèles étaient en train de taper sur un tambourin, de la forme d’une poêle à crêpes, à l’aide d’une petite branche tordue dont l’écorce avait été retirée, tout en chantant ou marmonnant sans cesse une seule et unique phrase. De chaque côté de la pièce, deux prêtres donnaient impulsaient le rythme sur de très gros tambours cylindriques suspendus horizontalement. Nous sommes restés là un petit moment à taper sur nos tambourins, dans cette ambiance pleine de ferveur religieuse mais qui était pour nous plutôt comique.
Plus tard, nous sommes rendus au restaurant que nous avions tant cherché dans la matinée où nous avons savouré une excellente pizza en compagnie d’un couple de français.
Arrivés à New Jaipalguri, nous nous sommes entassés à douze dans une jeep pour faire les 3h de route de montagne reliant la gare à Darjeeling. Jusqu’à New Jaipalguri, tout ce que j’avais pu voir de l’Inde n’était constitué de plaines. Mais après ce trajet en Jeep, je me suis retrouvé catapulté à 1850m sur les premiers sommets de l’Himalaya ! La nuit venait de tomber et c’est chargé de nos sacs que nous sommes partis à la recherche d’un hôtel. Darjeeling étant bâtie sur les flancs abrupts d’une montagne, la recherche s’est révélée pénible car les routes étaient raides. La plupart des hôtels affichaient complet ou étaient tout simplement hors de prix et nous avons arpentés les rues de la ville pendant une heure pour finalement trouver une petite pension qui venait d’ouvrir. Une grande chambre avec deux grands lits séparés par une cloison, une salle de bain et un balcon avec vue sur les montagnes, le tout pour 500 Rs par nuit : on pouvait difficilement trouver mieux ! Le propriétaire nous a amené un seau d’eau brulante, et après nous êtres douchés nous sommes allés nous restaurer.
Quelle joie d’être enfin arrivés !!!! Pas d’auto-rickshaws, peu de klaxons, aucune vache, une population pour l’essentielle d’origine népalaise, d’immense montagnes nous entourent avec au loin les sommets enneigés de l’Himalaya : on se croirait dans un autre pays !
Mercredi 31 octobre
Après une excellente nuit et un réveil avant l’aube nous avons assisté au sublime lever du soleil depuis notre balcon. Nous sommes ensuite parti à la recherche d’un restaurant que nous avions repéré dans le Lonely Planet afin d’y prendre notre petit déjeuner. Nous avons arpentés sans succès les rues de Darjeeling sans succès pendant près d’une heure.... Il est assez difficile de se repérer dans la ville avec une carte car les rues et ruelles zigzaguent sur les flancs abrupts de la montagne alors qu’elles sont souvent représentées comme droites sur la carte... Nous nous sommes rabattus sur un salon de thé jouissant d’une excellente vue panoramique sur la ville et les montagnes environnantes pour y déguster un thé et calmer nos estomacs avec des œufs brouillés accompagnés de bacon, saucisses et d’emmental népalais.
Nous avons passé le reste de la journée à visiter la ville. A la nuit tombée, nous avons fait une petite marche pour nous rendre à une pagode japonaise. Arrivés au temple bouddhiste, nous nous sommes fait happer dans une salle de prière où une quinzaine de fidèles étaient en train de taper sur un tambourin, de la forme d’une poêle à crêpes, à l’aide d’une petite branche tordue dont l’écorce avait été retirée, tout en chantant ou marmonnant sans cesse une seule et unique phrase. De chaque côté de la pièce, deux prêtres donnaient impulsaient le rythme sur de très gros tambours cylindriques suspendus horizontalement. Nous sommes restés là un petit moment à taper sur nos tambourins, dans cette ambiance pleine de ferveur religieuse mais qui était pour nous plutôt comique.
Plus tard, nous sommes rendus au restaurant que nous avions tant cherché dans la matinée où nous avons savouré une excellente pizza en compagnie d’un couple de français.