Le 29/01/13, 9:56
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Du dimanche 27 au mardi 29 janvier
Luang Prabang, ancienne capitale royale du Laos est une ville magnifique. J’y suis arrivé, accompagné de Candice, après cinq heures trente de trajet en minibus sur une route de montagne dont l’état assez aléatoire m’a rappelé le Népal. Une fois en centre ville, nous sommes partis à la recherche d’une guest house proposant des chambres à un tarif abordable. L’entreprise fut longue et fastidieuse car la grande majorité des pensions et hôtels proposent des tarifs prohibitifs (du moins pour nos budgets) et la plupart affichaient complet. Ce fut ma plus longue recherche de chambre avec près d’une heure et demi de marche à travers la ville.
Cette cité calme et verdoyante s’étend le long du Mékong. Les bâtiments de l’époque coloniale côtoient les habitations traditionnelles, le palais royal ainsi que de nombreux temples et monastères bouddhistes, le tout admirablement bien conservé ou restauré. Luang Prabang est malheureusement victime de son succès. Les maisons familiales ont été remplacées par des hôtels, des restaurants, des agences de voyage et de boutiques à destination des masses de touristes se rendant là pour visiter cette ville classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.
J’y ai retrouvé avec grand plaisir Aurélie et David accompagnés d’un couple d’amis avec qui j’ai passé mes soirées entre les restaurants de rue et l’immense marché de nuit. Les deux journées ont été consacrées à la visite de la ville et de ses temples finement décorés. Lors de l’une de promenades dans un quartier excentré, je suis tombé sur une partie de « pétang », la pétanque locale. Une trentaine de personnes assistaient à la partie opposant un tandem à un seul joueur. Les paris allaient bon train et le niveau de jeu était sacrément élevé !
Je pense que je peux conclure mon séjour à Luang Prabang m’a moins emballé que celui à Vientiane, très certainement à cause de la quantité de touristes présents.
Luang Prabang, ancienne capitale royale du Laos est une ville magnifique. J’y suis arrivé, accompagné de Candice, après cinq heures trente de trajet en minibus sur une route de montagne dont l’état assez aléatoire m’a rappelé le Népal. Une fois en centre ville, nous sommes partis à la recherche d’une guest house proposant des chambres à un tarif abordable. L’entreprise fut longue et fastidieuse car la grande majorité des pensions et hôtels proposent des tarifs prohibitifs (du moins pour nos budgets) et la plupart affichaient complet. Ce fut ma plus longue recherche de chambre avec près d’une heure et demi de marche à travers la ville.
Cette cité calme et verdoyante s’étend le long du Mékong. Les bâtiments de l’époque coloniale côtoient les habitations traditionnelles, le palais royal ainsi que de nombreux temples et monastères bouddhistes, le tout admirablement bien conservé ou restauré. Luang Prabang est malheureusement victime de son succès. Les maisons familiales ont été remplacées par des hôtels, des restaurants, des agences de voyage et de boutiques à destination des masses de touristes se rendant là pour visiter cette ville classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.
J’y ai retrouvé avec grand plaisir Aurélie et David accompagnés d’un couple d’amis avec qui j’ai passé mes soirées entre les restaurants de rue et l’immense marché de nuit. Les deux journées ont été consacrées à la visite de la ville et de ses temples finement décorés. Lors de l’une de promenades dans un quartier excentré, je suis tombé sur une partie de « pétang », la pétanque locale. Une trentaine de personnes assistaient à la partie opposant un tandem à un seul joueur. Les paris allaient bon train et le niveau de jeu était sacrément élevé !
Je pense que je peux conclure mon séjour à Luang Prabang m’a moins emballé que celui à Vientiane, très certainement à cause de la quantité de touristes présents.