Le 12/09/09, 4:57
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Santiago, la capitale du Chili, est située au milieu du pays.
Le Chili n'est (en moyenne) large que de 180 kms, mais il est long de 4300 kms.
Depuis le parc Santa Lucia, on voit Santiago entouré des neiges éternelles de la Cordillères des Andes. La pollution recouvre toujours la ville.
Minute culture et réponse du jeu gagné par Yann et Karine: le nom de la ville créée en 1541 vient de l'apôtre Saint Jacques (voir Compostelle). En effet, le fondateur de la ville, venait de cette région d'Espagne.
Nous l'avons trouvé assez agréable, animée, avec de multiples rues piétonnes et commerçantes qui s'y croisent. Ici c'est la paradis des fast-food, il y en a des rues entières; mais les batiments les plus anciens donnent un certains charme à la ville.
Le théâtre.
L'intérieur de la très belle cathédrale sur la plaza des Armas.
Au Chili (tout comme au Pérou), c'est le règne des « petits boulots ». Les Chiliens sont très actifs pour gagner leur vie. Il est très courant de voir au carrefour des personnes faire du mîme ou, comme sur la photo, des acrobaties devant les automobilistes qui leur donnent ensuite une pièce.
Nous sommes le 11 septembre et si pour la majorité d'entre nous, cette date est associée à l'année 2001, pour les Chiliens, elle est liée à 1973. C'est la date du coup d'état de Pinochet contre le président Alliende, qui se suicida dans son palais. Depuis le Chili commémore cette date. Mais cette commémoration donne aussi lieu à quelques manifestations agitées. Toujours un peu en dehors des réalités, nous ne savions pas du tout quel jour nous étions ce matin (le privilège de voyager durant des mois...), nous avons mis quelques minutes à comprendre que le journal télévisée du matin présentait des rétrospectives des émeutes des années passées.
En sortant de l'hôtel nous sommes tombés face à des cars de CRS chiliens : bonne ambiance. Dans l'après midi, nous avons voulu aller à la poste, mais la grille était fermée et le gardien nous a expliqué que toutes les institutions avaient fermés pour « commémorer ».
Ce soir, au restaurant, le serveur nous a fait signe de nous dépêcher. Un peu surpris car il n'était que 20h15 nous lui avons demandé ce qui se passaient et là encore il nous a dit : "on ferme à 20h30 pour la commémoration". Et il nous a expliqué que des manifestations allaient avoir lieu et que par mesures de sécurité, tout fermaient. Effectivement en retournant dans la rue, nous avons vu toutes les boutiques et même les fast-food totalement fermés et les grilles baissées.
Nous passons en Argentine demain. Nous souhaitions poursuivre plus au sud, mais le train que nous envisagions de prendre ne circule plus que l'été maintenant (de décembre à février donc). Alors nous traverserons la frontière demain, en montant à 4300, dans la Cordillères des Andes.
Nous aurions préféré un autre itinéraire, car il paraît que celui ci est assez impressionnant...
Bilan du Chili :
Nombre de coiffeur : 1 pour Olivier / Prix du coiffeur : 4 euros ! (presque aussi bien qu'en Thaïlande où c'était à 2,50 euros)
Nombre de train : 1 seul : ils ont supprimés tous les autres !!!
Nombre de bus : 7 soit: 49 heures
Nombre d'avion : 0 ( alléluia )
Nombre de chambres : 6
Nombres de fois refait le sac à dos : 6
Evénement marquant : Voici le premier pays dans lequel Olivier n'est pas tombé une seule fois !
Nombre de verres de Pisco : euh... 4 chacun. Oui, mais pas tous le même jour et c'était pour oublier que l'on n'avait plus le droit aux feuilles de Coca!
Température mini : - 9°
Température maxi : + 25 °
Nathalie + Olivier
Le Chili n'est (en moyenne) large que de 180 kms, mais il est long de 4300 kms.
Depuis le parc Santa Lucia, on voit Santiago entouré des neiges éternelles de la Cordillères des Andes. La pollution recouvre toujours la ville.
Minute culture et réponse du jeu gagné par Yann et Karine: le nom de la ville créée en 1541 vient de l'apôtre Saint Jacques (voir Compostelle). En effet, le fondateur de la ville, venait de cette région d'Espagne.
Nous l'avons trouvé assez agréable, animée, avec de multiples rues piétonnes et commerçantes qui s'y croisent. Ici c'est la paradis des fast-food, il y en a des rues entières; mais les batiments les plus anciens donnent un certains charme à la ville.
Le théâtre.
L'intérieur de la très belle cathédrale sur la plaza des Armas.
Au Chili (tout comme au Pérou), c'est le règne des « petits boulots ». Les Chiliens sont très actifs pour gagner leur vie. Il est très courant de voir au carrefour des personnes faire du mîme ou, comme sur la photo, des acrobaties devant les automobilistes qui leur donnent ensuite une pièce.
Nous sommes le 11 septembre et si pour la majorité d'entre nous, cette date est associée à l'année 2001, pour les Chiliens, elle est liée à 1973. C'est la date du coup d'état de Pinochet contre le président Alliende, qui se suicida dans son palais. Depuis le Chili commémore cette date. Mais cette commémoration donne aussi lieu à quelques manifestations agitées. Toujours un peu en dehors des réalités, nous ne savions pas du tout quel jour nous étions ce matin (le privilège de voyager durant des mois...), nous avons mis quelques minutes à comprendre que le journal télévisée du matin présentait des rétrospectives des émeutes des années passées.
En sortant de l'hôtel nous sommes tombés face à des cars de CRS chiliens : bonne ambiance. Dans l'après midi, nous avons voulu aller à la poste, mais la grille était fermée et le gardien nous a expliqué que toutes les institutions avaient fermés pour « commémorer ».
Ce soir, au restaurant, le serveur nous a fait signe de nous dépêcher. Un peu surpris car il n'était que 20h15 nous lui avons demandé ce qui se passaient et là encore il nous a dit : "on ferme à 20h30 pour la commémoration". Et il nous a expliqué que des manifestations allaient avoir lieu et que par mesures de sécurité, tout fermaient. Effectivement en retournant dans la rue, nous avons vu toutes les boutiques et même les fast-food totalement fermés et les grilles baissées.
Nous passons en Argentine demain. Nous souhaitions poursuivre plus au sud, mais le train que nous envisagions de prendre ne circule plus que l'été maintenant (de décembre à février donc). Alors nous traverserons la frontière demain, en montant à 4300, dans la Cordillères des Andes.
Nous aurions préféré un autre itinéraire, car il paraît que celui ci est assez impressionnant...
Bilan du Chili :
Nombre de coiffeur : 1 pour Olivier / Prix du coiffeur : 4 euros ! (presque aussi bien qu'en Thaïlande où c'était à 2,50 euros)
Nombre de train : 1 seul : ils ont supprimés tous les autres !!!
Nombre de bus : 7 soit: 49 heures
Nombre d'avion : 0 ( alléluia )
Nombre de chambres : 6
Nombres de fois refait le sac à dos : 6
Evénement marquant : Voici le premier pays dans lequel Olivier n'est pas tombé une seule fois !
Nombre de verres de Pisco : euh... 4 chacun. Oui, mais pas tous le même jour et c'était pour oublier que l'on n'avait plus le droit aux feuilles de Coca!
Température mini : - 9°
Température maxi : + 25 °
Nathalie + Olivier