Le 02/01/13, 14:05
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Mercredi 2 et Jeudi 3 janvier
Après deux jours passés à Chiang Mai, je n’avais qu’une envie : m’échapper ! Les personnes rencontrées tout au long de mon périple en Thaïlande m’avaient conseillés de visiter Chiang Rai et Paï, deux villes au nord de Chiang Mai mais situées respectivement à l’Est et à l’Ouest. Ne sachant pas par laquelle commencer, je me suis rendu tôt à la gare routière, décidé à pendre le premier bus qui partirait pour l’une de ces deux villes. Je me suis finalement retrouvé dans un minibus à destination de Paï. Une fois sorti de la ville, nous avons emprunté une route sinuant au travers des montagnes et encadrée de paysages magnifiques. Trois heures plus tard, j’étais arrivé à Paï.
On m’avait décrit la ville comme une citée hippie, et encore une fois j’ai été sacrément déçu. J’avais l’impression d’être à Koh Chang avec de petites montagnes remplaçant la mer. Les rues du petit centre ville étaient remplies de guest house, de restaurants et de touristes. N’ayant pas réservé de chambre, j’ai interpelé un touriste qui avait l’air sympa (ce n’est pas si évident que ça à trouver car beaucoup de touristes font la tête...) afin d’obtenir quelques renseignements sur guest houses sympas et pas chères. Coup de chance, il avait l’air de bien connaître la ville et il m’a indiqué deux adresses se situant de l’autre côté de la rivière. La première avait l’air d’être très agréable et surtout pas chère, mais elle était complète. Je me suis rendu à la seconde, composée de petits bungalows en bambou tressé installés en cercle autour d’un ravissant jardin et j’y ai pris le dernier bungalow de disponible.
La visite de la ville fut rapide car il n’y avait rien à voir. Je pense que pour apprécier Paï, il m’aurait fallu louer un scooter pour une journée et me balader dans les environs. Cependant, je m’y suis refusé car j’imaginais des hordes de touristes en scooter sur les routes. Je crois que c’est à ce moment là que je suis arrivé à saturation de la Thaïlande et que j’ai pris la décision de partir dès que possible pour le Laos.
De retour à mon bungalow (ça fait bien plus classe que guest house !), je me suis confortablement installé dans mon hamac pour lire et écrire. Dans la soirée, je suis reparti en ville pour dîner. Plutôt que de rester dans le centre et d’aller dans un restaurant rempli de touristes, j’ai marché pendant un bon kilomètre avant de trouver un petit restaurant local où j’ai pu savourer la meilleure soupe de nouilles au porc que j’avais pu manger en Thaïlande. Dix jours après, au moment où j’écris ces quelques lignes, j’en salive encore rien qu’en y pensant ! De retour dans le centre, je me suis attardé à un bar dans lequel j’ai pu écouter un couple de musiciens occidentaux interpréter quelques ballades. La douce voix de la chanteuse se mêlait à la perfection avec la musique du guitariste.
Réveillé à six heures le lendemain matin, j’ai rapidement pris une douche et fait mon sac avant de filer vers la petite gare routière. J’ai pu y prendre le premier minibus partant à sept heures et trois heures plus tard, j’étais de retour à Chiang Mai. J’y ai retrouvé Sanne et un couple de ses amis, Leonieke et Robert. Après un déjeuner dans un restaurant local, nous avons pris un taxi collectif pour rejoindre Doi Suthep, un temple situé sur une colline à une trentaine de minutes du centre de Chiang Mai. Il nous a fallu gravir 306 marches avant d’arriver au temple. Un énorme stupa doré trônait à l’intérieur d’une enceinte. Toute une foule de touristes et de locaux fourmillait dans le temple, des centaines de paires de tongs attendant patiemment le retour de leur propriétaire devant le porche. Des dizaines de clochettes dorées de différentes tailles pendaient accrochées aux avant-toits à l’intérieure de l’enceinte. L’endroit brillait de mille feux sous le soleil.
De retour dans le centre ville, j’ai réalisé que les hollandais étaient un peuple de « ventres-à-pattes ». Il était à peine cinq heures et ils avaient déjà faim !!!! Je les ai guidés à travers la ville pour nous rendre au marché de nuit afin de trouver un restaurant japonais. Une fois qu’ils avaient avalés quelques plateaux de sushis et pour ma part, un bol de ramen, nous sommes rentrés tranquillement à leur hôtel après avoir fait une courte étape dans une superette pour acheter quelques bières. Plus tard, après avoir épuisé les bières (et qu’ils aient engloutis quelques paquets de chips) tout en jouant aux cartes, nous nous sommes rendus dans un bar boire un dernier verre et prendre toute une série de photos floues. Ce fut très certainement la meilleure soirée que j’ai passé en Thaïlande.
Après deux jours passés à Chiang Mai, je n’avais qu’une envie : m’échapper ! Les personnes rencontrées tout au long de mon périple en Thaïlande m’avaient conseillés de visiter Chiang Rai et Paï, deux villes au nord de Chiang Mai mais situées respectivement à l’Est et à l’Ouest. Ne sachant pas par laquelle commencer, je me suis rendu tôt à la gare routière, décidé à pendre le premier bus qui partirait pour l’une de ces deux villes. Je me suis finalement retrouvé dans un minibus à destination de Paï. Une fois sorti de la ville, nous avons emprunté une route sinuant au travers des montagnes et encadrée de paysages magnifiques. Trois heures plus tard, j’étais arrivé à Paï.
On m’avait décrit la ville comme une citée hippie, et encore une fois j’ai été sacrément déçu. J’avais l’impression d’être à Koh Chang avec de petites montagnes remplaçant la mer. Les rues du petit centre ville étaient remplies de guest house, de restaurants et de touristes. N’ayant pas réservé de chambre, j’ai interpelé un touriste qui avait l’air sympa (ce n’est pas si évident que ça à trouver car beaucoup de touristes font la tête...) afin d’obtenir quelques renseignements sur guest houses sympas et pas chères. Coup de chance, il avait l’air de bien connaître la ville et il m’a indiqué deux adresses se situant de l’autre côté de la rivière. La première avait l’air d’être très agréable et surtout pas chère, mais elle était complète. Je me suis rendu à la seconde, composée de petits bungalows en bambou tressé installés en cercle autour d’un ravissant jardin et j’y ai pris le dernier bungalow de disponible.
La visite de la ville fut rapide car il n’y avait rien à voir. Je pense que pour apprécier Paï, il m’aurait fallu louer un scooter pour une journée et me balader dans les environs. Cependant, je m’y suis refusé car j’imaginais des hordes de touristes en scooter sur les routes. Je crois que c’est à ce moment là que je suis arrivé à saturation de la Thaïlande et que j’ai pris la décision de partir dès que possible pour le Laos.
De retour à mon bungalow (ça fait bien plus classe que guest house !), je me suis confortablement installé dans mon hamac pour lire et écrire. Dans la soirée, je suis reparti en ville pour dîner. Plutôt que de rester dans le centre et d’aller dans un restaurant rempli de touristes, j’ai marché pendant un bon kilomètre avant de trouver un petit restaurant local où j’ai pu savourer la meilleure soupe de nouilles au porc que j’avais pu manger en Thaïlande. Dix jours après, au moment où j’écris ces quelques lignes, j’en salive encore rien qu’en y pensant ! De retour dans le centre, je me suis attardé à un bar dans lequel j’ai pu écouter un couple de musiciens occidentaux interpréter quelques ballades. La douce voix de la chanteuse se mêlait à la perfection avec la musique du guitariste.
Réveillé à six heures le lendemain matin, j’ai rapidement pris une douche et fait mon sac avant de filer vers la petite gare routière. J’ai pu y prendre le premier minibus partant à sept heures et trois heures plus tard, j’étais de retour à Chiang Mai. J’y ai retrouvé Sanne et un couple de ses amis, Leonieke et Robert. Après un déjeuner dans un restaurant local, nous avons pris un taxi collectif pour rejoindre Doi Suthep, un temple situé sur une colline à une trentaine de minutes du centre de Chiang Mai. Il nous a fallu gravir 306 marches avant d’arriver au temple. Un énorme stupa doré trônait à l’intérieur d’une enceinte. Toute une foule de touristes et de locaux fourmillait dans le temple, des centaines de paires de tongs attendant patiemment le retour de leur propriétaire devant le porche. Des dizaines de clochettes dorées de différentes tailles pendaient accrochées aux avant-toits à l’intérieure de l’enceinte. L’endroit brillait de mille feux sous le soleil.
De retour dans le centre ville, j’ai réalisé que les hollandais étaient un peuple de « ventres-à-pattes ». Il était à peine cinq heures et ils avaient déjà faim !!!! Je les ai guidés à travers la ville pour nous rendre au marché de nuit afin de trouver un restaurant japonais. Une fois qu’ils avaient avalés quelques plateaux de sushis et pour ma part, un bol de ramen, nous sommes rentrés tranquillement à leur hôtel après avoir fait une courte étape dans une superette pour acheter quelques bières. Plus tard, après avoir épuisé les bières (et qu’ils aient engloutis quelques paquets de chips) tout en jouant aux cartes, nous nous sommes rendus dans un bar boire un dernier verre et prendre toute une série de photos floues. Ce fut très certainement la meilleure soirée que j’ai passé en Thaïlande.