Le 25/12/12, 12:54
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Le lendemain, je suis allé à la gare pour prendre un train pour Phitsanulok. Celui-ci avait 45 minutes de retard au départ et 2h15 à l’arrivée. Ca m’a permis de profiter du paysage et de la vie dans les trains thaïlandais. Comme en Inde, on y trouve de nombreux vendeurs ambulants. Ils proposent aux voyageurs des boissons fraîches, d’excellents gâteaux à base de nouilles de riz, des brochettes accompagnées de riz gluant et des tickets de loterie nationale. Leurs allées et venues se font aussi bruyamment que les vendeurs de beignets sur nos plages. J’étais assis en face d’un couple de thaï âgés d’une cinquantaine d’années dont la femme m’a fait la conversation pendant une grosse partie du trajet, en thaï bien évidemment. Elle ne parlait pas anglais et soit elle n’a pas compris les nombreuses fois où je lui ai dit que je ne comprenais absolument rien, soit elle s’en moquait. Bref, c’était à la fois marrant, de voir l’entrain qu’elle mettait à me parler, et frustrant, de ne pas pouvoir communiquer. Ca m’a rappelé la première fois que j’ai mis les pieds à l’Apollo, avec Paquita et Seb, pour une rencontre « entendants et malentendants », sauf qu’à ce moment là, j’étais uniquement frustré !
La visite de Phitsanulok fut rapidement effectuée. C’est une ville, avec quelques temples mais qui n’a rien d’extraordinaire. J’avais prévu d’y faire escale pour éviter d’avoir à enchaîner un trajet en bus après mon train. Je n’ai pas regretté ma décision, malgré le manque d’intérêt culturel et architectural de cette ville. En effet, je suis arrivé pour l’ouverture d’un festival culinaire et qui devait s’achever le soir du réveillon de la nouvelle année. Si Karlijn avait été là, elle aurait été aux anges !
J’ai donc passé ma soirée à me promener dans le grand marché installé pour cette occasion, tout en en profitant pour goûter à toutes sortes de spécialités culinaires thaïlandaises. Je ne me suis pas laissé tenter par les friandises préférées des thaïs, à savoir les sauterelles et les asticots frits. Une autre fois peut-être.... J’ai pu également assister à quelques spectacles de musiques et de danses traditionnelles ainsi qu’à quelques concerts de musique pop organisés par des groupes de jeunes. Je peux vous assurer que, malgré toute leur bonne volonté, les thaïs sont loin d’exceller dans le domaine de la musique pop...
La visite de Phitsanulok fut rapidement effectuée. C’est une ville, avec quelques temples mais qui n’a rien d’extraordinaire. J’avais prévu d’y faire escale pour éviter d’avoir à enchaîner un trajet en bus après mon train. Je n’ai pas regretté ma décision, malgré le manque d’intérêt culturel et architectural de cette ville. En effet, je suis arrivé pour l’ouverture d’un festival culinaire et qui devait s’achever le soir du réveillon de la nouvelle année. Si Karlijn avait été là, elle aurait été aux anges !
J’ai donc passé ma soirée à me promener dans le grand marché installé pour cette occasion, tout en en profitant pour goûter à toutes sortes de spécialités culinaires thaïlandaises. Je ne me suis pas laissé tenter par les friandises préférées des thaïs, à savoir les sauterelles et les asticots frits. Une autre fois peut-être.... J’ai pu également assister à quelques spectacles de musiques et de danses traditionnelles ainsi qu’à quelques concerts de musique pop organisés par des groupes de jeunes. Je peux vous assurer que, malgré toute leur bonne volonté, les thaïs sont loin d’exceller dans le domaine de la musique pop...