Le 05/08/10, 0:11
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Du coup, nous ne gravirons plus le Hidden Peak mais un 6000 mètres voisin avec passage de deux cols a plus de 5000 m a cote de la vallée de la Marka. L'idée est d'éviter les pluies torrentielles qui inondent actuellement le Pakistan, déjà considérée catastrophe naturelle. Nous arrivons pour l'instant a retrouver nos intérêts dans ce nouveau parcours. Les négociations sont de toutes les façons pas possibles.
Nous faisons connaissance du guide, un jeune népalais qui fait les saisons pour nourrir sa famille, l'été en Inde et l'hiver au Népal. Il est doux, compréhensif, rigolo conciliant, on a de la chance. Nous partons nous acclimater en faisant la visite des temples aux alentours. C'est hallucinant de voir ces temples bouddhistes perchés sur ces montagnes rocailleuses. Et quand je dis perchés, c'est peu dire, il faut déjà faire l'effort d'aller les trouver. Je comprends mieux que ça ait pu poser un problème aux chinois.
Les routes sont encore praticables malgré les pluies qui délavent ce sol aride. La végétation est quasi inexistante en hauteur, le terrain n'est que minéral, il faut dire que nous nous sommes à 4 000m d'altitude et que les conditions climatique sont extrêmes ici, avec le soleil en été et les gels en hiver qui brulent sans cesse ce sol. La végétation se regroupe en vallée, ce qui rend les paysages incroyables. De longues vallées verdoyantes entourées de hautes montagnes minérales voire de glaciers, avec ces monastères perches un peu partout et surtout cette lumière éblouissante d'altitude. Je retrouve les paysages du Népal, je suis comblée de bonheur, ce sont mes préférés. Nous apprenons le bouddhisme, ca me plait toujours autant cette philosophie de vie, ne t'attaches a rien sinon tu risques de souffrir... ca fait bien entendu réfléchir.
Ces quelques jours sont très agréables à Leh, il pleut tous les soirs, mais les journées sont ensoleillées, c'est agréable d'être à 4, de diner à 4, de jouer au Monopoli, je les ai déjà convertis. Le seul hic c'est que je retrouve des cotés qui me déplaisent chez Émeric.... déjà! Il ne fait que parler de ces futurs achats, de son matériel "high tech" dernière génération...du prix, parce que pour lui c'est très important, et d'un autre côté se plaint de la saleté ambiante et de la puanteur des villes. Bref, ça commence à m'agacer, ça me dérange de parler de ça au milieu d'un pays aussi pauvre et baigné dans le bouddhisme dont la théorie est de se détacher du matériel.
Nous faisons connaissance du guide, un jeune népalais qui fait les saisons pour nourrir sa famille, l'été en Inde et l'hiver au Népal. Il est doux, compréhensif, rigolo conciliant, on a de la chance. Nous partons nous acclimater en faisant la visite des temples aux alentours. C'est hallucinant de voir ces temples bouddhistes perchés sur ces montagnes rocailleuses. Et quand je dis perchés, c'est peu dire, il faut déjà faire l'effort d'aller les trouver. Je comprends mieux que ça ait pu poser un problème aux chinois.
Les routes sont encore praticables malgré les pluies qui délavent ce sol aride. La végétation est quasi inexistante en hauteur, le terrain n'est que minéral, il faut dire que nous nous sommes à 4 000m d'altitude et que les conditions climatique sont extrêmes ici, avec le soleil en été et les gels en hiver qui brulent sans cesse ce sol. La végétation se regroupe en vallée, ce qui rend les paysages incroyables. De longues vallées verdoyantes entourées de hautes montagnes minérales voire de glaciers, avec ces monastères perches un peu partout et surtout cette lumière éblouissante d'altitude. Je retrouve les paysages du Népal, je suis comblée de bonheur, ce sont mes préférés. Nous apprenons le bouddhisme, ca me plait toujours autant cette philosophie de vie, ne t'attaches a rien sinon tu risques de souffrir... ca fait bien entendu réfléchir.
Ces quelques jours sont très agréables à Leh, il pleut tous les soirs, mais les journées sont ensoleillées, c'est agréable d'être à 4, de diner à 4, de jouer au Monopoli, je les ai déjà convertis. Le seul hic c'est que je retrouve des cotés qui me déplaisent chez Émeric.... déjà! Il ne fait que parler de ces futurs achats, de son matériel "high tech" dernière génération...du prix, parce que pour lui c'est très important, et d'un autre côté se plaint de la saleté ambiante et de la puanteur des villes. Bref, ça commence à m'agacer, ça me dérange de parler de ça au milieu d'un pays aussi pauvre et baigné dans le bouddhisme dont la théorie est de se détacher du matériel.
