Le 09/01/16, 22:11
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Après avoir bien cherché, on a fini par trouver un petit bout de Panama sans touristes du tout! (pas si évident à cette époque de l’année).
A Chitré, tout est 100% local et pur panaméen, des magasins de fringues (dont les mannequins sont très avantagés!), à la gastronomie à base de riz, poulet et haricots, en passant par les bonshommes de « neige » et la pharmacie 3-en-1 (qui fait aussi snack et vente de meubles).
Pas d’autres gringos à l’horizon lors de notre découverte du parc national de Sarigua, un grand désert aride, desséché par les inondations successives d’eau salé et la déforestation. Curieusement, des cotonniers bordent le début du chemin et les touffes blanches et mousseuses dessinent comme des petites fleurs dans les buissons.
Sous nos yeux, du sable, sur lequel tranchent les traces d’animaux, oiseaux ou petits mammifères. L’air est chaud et sec, il brûle à chacune de nos inspirations. Malgré ça, le cadre est idéal pour « l’homme qui court » :
Ainsi que pour les chouettes qui ne résistent pas à un petit selfie devant l’un des rares arbustes.
Après cette incursion dans le désert, changement de décor pour notre dernière étape : Panama City ! Un drôle de mélange que cette ville, entre gratte-ciels et diablos rojos, ces étranges bus bariolés qui foncent à toute allure dans les rues de la capitale.
Un petit tour au Canal de Panama pour voir fonctionner les écluses de Miraflorès et passer d’un océan vers l’autre l’un des 14 000 bateaux qui franchissent le canal chaque année...
Dans les ruelles du Casco Viejo, l’ancien quartier colonial, se succèdent des immeubles, églises et palais d’une l’architecture typique espagnole, et de nombreux bâtiments en ruine, menaçant de s’effondrer sur les malheureux passants.
C’est dimanche et les Panaméens se baladent en famille, une glace à la main, pour faire le marché ou les boutiques.
Un petit échantillon de la mode locale...
Des passants attroupés devant une minuscule échoppe tentent de gagner des téléphones grâce à un jeu d’adresse et de hasard. Certains tentent leur chance à la loterie en achetant des billets aux vendeurs que l’on trouve un peu partout sur les trottoirs.
Dans ce joyeux bazar, on tombe nez à nez avec des girafes et un iguane, qui nous toisent du haut de leur balcon (??).
Au détour d’une rue, on retrouve par hasard Carina et Sabine, rencontrées à Boca Brava. Programme de notre dernière soirée : des bières, des mojitos goût fraise et maracuya, des sandwiches « français »... et les chouettes, bien sûr !
A Chitré, tout est 100% local et pur panaméen, des magasins de fringues (dont les mannequins sont très avantagés!), à la gastronomie à base de riz, poulet et haricots, en passant par les bonshommes de « neige » et la pharmacie 3-en-1 (qui fait aussi snack et vente de meubles).
Pas d’autres gringos à l’horizon lors de notre découverte du parc national de Sarigua, un grand désert aride, desséché par les inondations successives d’eau salé et la déforestation. Curieusement, des cotonniers bordent le début du chemin et les touffes blanches et mousseuses dessinent comme des petites fleurs dans les buissons.
Sous nos yeux, du sable, sur lequel tranchent les traces d’animaux, oiseaux ou petits mammifères. L’air est chaud et sec, il brûle à chacune de nos inspirations. Malgré ça, le cadre est idéal pour « l’homme qui court » :
Ainsi que pour les chouettes qui ne résistent pas à un petit selfie devant l’un des rares arbustes.
Après cette incursion dans le désert, changement de décor pour notre dernière étape : Panama City ! Un drôle de mélange que cette ville, entre gratte-ciels et diablos rojos, ces étranges bus bariolés qui foncent à toute allure dans les rues de la capitale.
Un petit tour au Canal de Panama pour voir fonctionner les écluses de Miraflorès et passer d’un océan vers l’autre l’un des 14 000 bateaux qui franchissent le canal chaque année...
Dans les ruelles du Casco Viejo, l’ancien quartier colonial, se succèdent des immeubles, églises et palais d’une l’architecture typique espagnole, et de nombreux bâtiments en ruine, menaçant de s’effondrer sur les malheureux passants.
C’est dimanche et les Panaméens se baladent en famille, une glace à la main, pour faire le marché ou les boutiques.
Un petit échantillon de la mode locale...
Des passants attroupés devant une minuscule échoppe tentent de gagner des téléphones grâce à un jeu d’adresse et de hasard. Certains tentent leur chance à la loterie en achetant des billets aux vendeurs que l’on trouve un peu partout sur les trottoirs.
Dans ce joyeux bazar, on tombe nez à nez avec des girafes et un iguane, qui nous toisent du haut de leur balcon (??).
Au détour d’une rue, on retrouve par hasard Carina et Sabine, rencontrées à Boca Brava. Programme de notre dernière soirée : des bières, des mojitos goût fraise et maracuya, des sandwiches « français »... et les chouettes, bien sûr !