Le 30/07/15, 14:01
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Premier constat : au Sarawak, les gens sont d’une incroyable gentillesse. En à peine 1 heure, nous avons rencontré Andrea (orthographe incertaine), un habitant qui nous a gentiment (et gratuitement !) ramenés de l’aéroport où nous cherchions désespérément une station de bus... qui n’existe plus depuis un bon moment (merci le Petit Futé pas à jour !), d’autres qui nous ont aidé à trouver notre chemin dans la ville, et toujours avec le sourire. Ici, tout le monde est gentil ! Pour nous Parisiens, c’est presque bizarre...
Deuxième constat : la gentillesse des locaux ne nous dispense pas de nous organiser pour partir en trek dans la jungle, ce que nous avons eu un peu de mal à faire.
Spécial conseil aux voyageurs :
Ne faites pas comme nous ! Partir en trek dans la jungle sous la pluie en t-shirt et en short, sans nourriture et avec seulement un petit peu d’eau, ce n’est pas une bonne idée. Pour notre premier trek à Lambir Hills, nous avons cumulé toutes les erreurs des débutants. Heureusement qu’on a pu trouver de la nourriture sur place et qu’une gentille dame nous a prêté son parapluie rose.
Et même sous la pluie, la balade était chouette !
Le lendemain, nous avons essayé d’améliorer la préparation en emportant 2 litres d’eau, les kways et les lampes frontales pour aller visiter les grottes de Niah.
Niah Cave, la grotte des horreurs
On parvient aux grottes de Niah après quelques kilomètres de balade dans la jungle. L’entrée de la grotte principale est spectaculaire, une énorme bouche s’ouvre sur une salle de 60 m de haut sur 250 m de large.
On s’enfonce ensuite dans les entrailles de la grotte, dans une obscurité de plus en plus complète, jusqu’à avancer dans le noir total (merci les lampes frontales). C’est là que commence la galerie des horreurs : araignées et criquets géants nous attendent dans le noir, les milliers de chauves-souris et d’hirondelles qui nichent dans la grotte arrosent le chemin de guano par kilos... et pour finir, on traverse un champ de cafards grouillants pour atteindre la sortie de la grotte. Du pur plaisir !
Le coin des bébètes
On a eu ce qu’il fallait dans la grotte, merci ! Mais on a aussi fait quelques rencontres intéressantes dans la jungle, de gros mille-pattes rouges et des papill-eurs (papillons-planeurs).
Deuxième constat : la gentillesse des locaux ne nous dispense pas de nous organiser pour partir en trek dans la jungle, ce que nous avons eu un peu de mal à faire.
Spécial conseil aux voyageurs :
Ne faites pas comme nous ! Partir en trek dans la jungle sous la pluie en t-shirt et en short, sans nourriture et avec seulement un petit peu d’eau, ce n’est pas une bonne idée. Pour notre premier trek à Lambir Hills, nous avons cumulé toutes les erreurs des débutants. Heureusement qu’on a pu trouver de la nourriture sur place et qu’une gentille dame nous a prêté son parapluie rose.
Et même sous la pluie, la balade était chouette !
Le lendemain, nous avons essayé d’améliorer la préparation en emportant 2 litres d’eau, les kways et les lampes frontales pour aller visiter les grottes de Niah.
Niah Cave, la grotte des horreurs
On parvient aux grottes de Niah après quelques kilomètres de balade dans la jungle. L’entrée de la grotte principale est spectaculaire, une énorme bouche s’ouvre sur une salle de 60 m de haut sur 250 m de large.
On s’enfonce ensuite dans les entrailles de la grotte, dans une obscurité de plus en plus complète, jusqu’à avancer dans le noir total (merci les lampes frontales). C’est là que commence la galerie des horreurs : araignées et criquets géants nous attendent dans le noir, les milliers de chauves-souris et d’hirondelles qui nichent dans la grotte arrosent le chemin de guano par kilos... et pour finir, on traverse un champ de cafards grouillants pour atteindre la sortie de la grotte. Du pur plaisir !
Le coin des bébètes
On a eu ce qu’il fallait dans la grotte, merci ! Mais on a aussi fait quelques rencontres intéressantes dans la jungle, de gros mille-pattes rouges et des papill-eurs (papillons-planeurs).