Le 07/06/15, 8:12
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Jour 64
Matinée playground à nouveau pour Jana, car elle peut ainsi croiser d'autres enfants et jouer. Elle n'a pas encore assimilé toutes les règles et continue à s'emparer des jouets des autres mais elle commence un tout petit peu à prendre conscience du "share" et du "lend". Il y a une ambiance très cosmopolite à ce playground de Noe Valley avec bcp de nationalités différentes. Les gens parlent un peu français, mais aussi danois, allemand, anglais évidemment et parfois espagnol... Jana mixe donc entre "bye bye" et "gracias", elle est dans le coup !
Elle est aussi pas mal dans le coup pour manger ....
Notre loueur, Andy, très sympa, a deux filles qui font du babysitting, dont une de 15 ans qui s'appelle Zoe. Nous avons fait appel à elle pour s'occuper de Jana après la sieste de l'après-midi, ce qui a permis à Sara d'aller faire du shopping pour toute la famille dans SF, et à moi d'aller faire tailler ma barbe chez "Louies" dans le quartier de Castro situé pas très loin.
Juste un peu avant qu'il attaque la barbe (il avait déjà attaqué un peu les cheveux)
Après la taille de barbe.... j'ai gagné quelques années non ?... ça devrait tenir 2 mois, ce qui veut dire probablement trouver un barbier à Tokyo, perspective des plus réjouissantes !
Castro a émergé comme le pôle de la communauté gay à SF (et aussi comme une référence mondiale pour cette communauté) dans les années 70. C'est en 1975 qu'harvey milk a ouvert son magasin photo et est devenu un militant acharné de la cause homosexuelle, en s'autoproclamant même "maire de Castro". Pour ceux qui veulent en savoir plus, regardez le très bon film "Harvey milk" avec Sean penn !
Je vous passe la dégustation de donuts dans l'après-midi... on comprend vraiment bien ici pourquoi l'obésité est devenu un problème national. Ma ballade dans Castro m'a amené jusqu'au Dolores park qui permet d'avoir une vue assez chouette d'une partie de SF.
Citation voyage du jour : « De tous les livres, celui que je préfère est mon passeport, unique in octavo qui ouvre les frontières. » Alain Borer
Matinée playground à nouveau pour Jana, car elle peut ainsi croiser d'autres enfants et jouer. Elle n'a pas encore assimilé toutes les règles et continue à s'emparer des jouets des autres mais elle commence un tout petit peu à prendre conscience du "share" et du "lend". Il y a une ambiance très cosmopolite à ce playground de Noe Valley avec bcp de nationalités différentes. Les gens parlent un peu français, mais aussi danois, allemand, anglais évidemment et parfois espagnol... Jana mixe donc entre "bye bye" et "gracias", elle est dans le coup !
Elle est aussi pas mal dans le coup pour manger ....
Notre loueur, Andy, très sympa, a deux filles qui font du babysitting, dont une de 15 ans qui s'appelle Zoe. Nous avons fait appel à elle pour s'occuper de Jana après la sieste de l'après-midi, ce qui a permis à Sara d'aller faire du shopping pour toute la famille dans SF, et à moi d'aller faire tailler ma barbe chez "Louies" dans le quartier de Castro situé pas très loin.
Juste un peu avant qu'il attaque la barbe (il avait déjà attaqué un peu les cheveux)
Après la taille de barbe.... j'ai gagné quelques années non ?... ça devrait tenir 2 mois, ce qui veut dire probablement trouver un barbier à Tokyo, perspective des plus réjouissantes !
Castro a émergé comme le pôle de la communauté gay à SF (et aussi comme une référence mondiale pour cette communauté) dans les années 70. C'est en 1975 qu'harvey milk a ouvert son magasin photo et est devenu un militant acharné de la cause homosexuelle, en s'autoproclamant même "maire de Castro". Pour ceux qui veulent en savoir plus, regardez le très bon film "Harvey milk" avec Sean penn !
Je vous passe la dégustation de donuts dans l'après-midi... on comprend vraiment bien ici pourquoi l'obésité est devenu un problème national. Ma ballade dans Castro m'a amené jusqu'au Dolores park qui permet d'avoir une vue assez chouette d'une partie de SF.
Citation voyage du jour : « De tous les livres, celui que je préfère est mon passeport, unique in octavo qui ouvre les frontières. » Alain Borer