Le 01/06/15, 6:45
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Jour 58
Il est temps de dire au revoir à Isabela et aux Galapagos, pour voler vers Quito, point d’étape obligé avant San Francisco.
Les bagages, prêts à être embarqués dès l’aube, sont très sérieusement gardés par Jana... "pas touche ! ». Elle a bien compris que ce sont nos affaires et que nous n‘avons pas intérêt à les égarer.
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On ne peut pas dire que les habitants des Galapagos aient été extrêmement ouverts et accueillants (rien à voir avec le Costa rica), mais nous avons eu la chance d’avoir un très bon contact avec Juanito, notre guide durant tout notre séjour à Isabela. On se sépare donc très chaleureusement.
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Notre avion pour l’aéroport de Baltra est un peu plus grand que le précédent, nous sommes 12 avec toujours le même pilote qu’à l’aller. C’est assez rassurant, sauf qu’on a failli devoir laisser le porte bébé à Isabela car il n’y avait pas assez de place dans la soute ... . En réorganisant et avec l’aide des passagers, nous avons heureusement réussi à le faire rentrer... ouf !
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Le vol s’est très bien passé. Il faisait beau, ce qui nous a permis de plus profiter du paysage qu’à l’aller.
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A Baltra, pas mal d’attente avant de prendre notre avion pour Quito via Guayaquil. Jana est surexcitée et court partout, en réveillant les gens qui font la sieste, dont moi..... .
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Nous sommes arrivés, en fin de journée à Quito. Jana était en pleine forme durant le vol, et tout était prétexte à jouer même les changements de couche.
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Edison, notre contact local, est venu nous récupérer à l’aéroport pour nous conduire à la même hacienda qu’à l’aller (la jimenita, endroit familial très sympa, qu’on recommande pour ceux qui ne font que passer à Quito). Elle a l’avantage d’être à côté de l’aéroport, et le désavantage d’être à plus de 45 mn du centre ville. Nous repartons demain pour San francisco , il est donc peu probable qu’on aille visiter Quito malheureusement.
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Citation voyage du jour : « Les seules démarches vouées à l’échec sont celles que l’on ne tente jamais » P.-É. Victor
Il est temps de dire au revoir à Isabela et aux Galapagos, pour voler vers Quito, point d’étape obligé avant San Francisco.
Les bagages, prêts à être embarqués dès l’aube, sont très sérieusement gardés par Jana... "pas touche ! ». Elle a bien compris que ce sont nos affaires et que nous n‘avons pas intérêt à les égarer.
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On ne peut pas dire que les habitants des Galapagos aient été extrêmement ouverts et accueillants (rien à voir avec le Costa rica), mais nous avons eu la chance d’avoir un très bon contact avec Juanito, notre guide durant tout notre séjour à Isabela. On se sépare donc très chaleureusement.
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Notre avion pour l’aéroport de Baltra est un peu plus grand que le précédent, nous sommes 12 avec toujours le même pilote qu’à l’aller. C’est assez rassurant, sauf qu’on a failli devoir laisser le porte bébé à Isabela car il n’y avait pas assez de place dans la soute ... . En réorganisant et avec l’aide des passagers, nous avons heureusement réussi à le faire rentrer... ouf !
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Le vol s’est très bien passé. Il faisait beau, ce qui nous a permis de plus profiter du paysage qu’à l’aller.
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A Baltra, pas mal d’attente avant de prendre notre avion pour Quito via Guayaquil. Jana est surexcitée et court partout, en réveillant les gens qui font la sieste, dont moi..... .
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Nous sommes arrivés, en fin de journée à Quito. Jana était en pleine forme durant le vol, et tout était prétexte à jouer même les changements de couche.
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Edison, notre contact local, est venu nous récupérer à l’aéroport pour nous conduire à la même hacienda qu’à l’aller (la jimenita, endroit familial très sympa, qu’on recommande pour ceux qui ne font que passer à Quito). Elle a l’avantage d’être à côté de l’aéroport, et le désavantage d’être à plus de 45 mn du centre ville. Nous repartons demain pour San francisco , il est donc peu probable qu’on aille visiter Quito malheureusement.
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Citation voyage du jour : « Les seules démarches vouées à l’échec sont celles que l’on ne tente jamais » P.-É. Victor