Le 28/05/15, 22:14
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Jour 53
Tout va bien ici, Jana a passé une bonne première nuit, on part donc sur de bonnes bases pour démarrer le séjour. De plus, les excursions prévues aujourd’hui avec notre guide Juanito sont plutôt cool pour commencer, ce qui nous va bien.
Dans la matinée, nous sommes allés à Concha la Perla, une petite anse réputée pour le snorkling entre mer et mangrove qui permet de voir nager les iguanes marins (on les voit facilement sur les rochers mais beaucoup plus rarement sous l'eau).
Sur le chemin, nous avons été émerveillés par le spectacle d’une nature que noue ne connaissons pas ici en Europe avec les « Sealions » (une catégorie d’otaries) et les iguanes (terrestres et marins) qu’on voit partout et qui vivent en parfaite harmonie avec l’homme.
Il est pas beau lui ? (iguane terrestre)
Elle est pas belle la vie ?
Le volley-ball est le sport phare aux Galapagos
Les iguanes sont chez eux alors on reste tranquille et tout va bien se passer
Mais quelle est cette main etrange ?
Finalement le snorkling était presque « bof » par rapport à tout ce que nous avions vu auparavant, surtout que Jana ne pouvait pas se baigner à l’endroit où nous étions. Bon on a quand même vu des iguanes marins en train de nager sous l’eau puis grimper sur des rochers, on a un peu l’impression que c’est de la science fiction quand on les voit ainsi sous l'eau.
Le chemin que nous avons pris valait vrqiment le detour egalement car il offrait un paysage hors du commun, fait de mangroves poussant sur des sols de lave (rappel, ici tout est de la lave)
L’après-midi, ballade à la rencontre des flamants roses de l’île (environ 400 seulement dans tout l’archipel). C’est magique de pouvoir les observer dans la nature. Apparemment la persistance de la couleur rose serait principalement liée à la qualité de la nourriture en crevettes que le flamant peut manger (dixit Juanito notre guide naturaliste tout de même).
Isabela est aussi réputée pour avoir la population la plus importante en tortues terrestres de l’île, et nous avons pu en faire le constat sur le chemin du retour grâce à cette rencontre venue d’un autre monde. Sur quelle planète sommes-nous ? Tout est trop étrange ici...
En fin de journée, nous sommes passés par le centre ville. Bon, comme on vous l’a déjà dit, Isabela est la plus grande iîe des Galapagos avec environ 100 km de longueur, mais pas la plus peuplée avec seulement 2000 habitants environ. Ainsi, au centre de Puerto vilamil, principale et unique ville d’Isabela où nous séjournons, on a pu noter l’existence de 4 à 5 restaurants qui se battent en duel, quelques magasins, une église et une route principale, et avec ça on a à peu près fait le tour. L’avantage c’est qu'on ne risque pas trop de se perdre en rentrant à l’hôtel.
Citation voyage du jour : « Le plus difficile pour un homme qui habite Vilvoorde et qui veut aller vivre à Hong-Kong, ce n’est pas d’aller à Hong-Kong, c’est de quitter Vilvoorde. »
Jacques Brel
Tout va bien ici, Jana a passé une bonne première nuit, on part donc sur de bonnes bases pour démarrer le séjour. De plus, les excursions prévues aujourd’hui avec notre guide Juanito sont plutôt cool pour commencer, ce qui nous va bien.
Dans la matinée, nous sommes allés à Concha la Perla, une petite anse réputée pour le snorkling entre mer et mangrove qui permet de voir nager les iguanes marins (on les voit facilement sur les rochers mais beaucoup plus rarement sous l'eau).
Sur le chemin, nous avons été émerveillés par le spectacle d’une nature que noue ne connaissons pas ici en Europe avec les « Sealions » (une catégorie d’otaries) et les iguanes (terrestres et marins) qu’on voit partout et qui vivent en parfaite harmonie avec l’homme.
Il est pas beau lui ? (iguane terrestre)
Elle est pas belle la vie ?
Le volley-ball est le sport phare aux Galapagos
Les iguanes sont chez eux alors on reste tranquille et tout va bien se passer
Mais quelle est cette main etrange ?
Finalement le snorkling était presque « bof » par rapport à tout ce que nous avions vu auparavant, surtout que Jana ne pouvait pas se baigner à l’endroit où nous étions. Bon on a quand même vu des iguanes marins en train de nager sous l’eau puis grimper sur des rochers, on a un peu l’impression que c’est de la science fiction quand on les voit ainsi sous l'eau.
Le chemin que nous avons pris valait vrqiment le detour egalement car il offrait un paysage hors du commun, fait de mangroves poussant sur des sols de lave (rappel, ici tout est de la lave)
L’après-midi, ballade à la rencontre des flamants roses de l’île (environ 400 seulement dans tout l’archipel). C’est magique de pouvoir les observer dans la nature. Apparemment la persistance de la couleur rose serait principalement liée à la qualité de la nourriture en crevettes que le flamant peut manger (dixit Juanito notre guide naturaliste tout de même).
Isabela est aussi réputée pour avoir la population la plus importante en tortues terrestres de l’île, et nous avons pu en faire le constat sur le chemin du retour grâce à cette rencontre venue d’un autre monde. Sur quelle planète sommes-nous ? Tout est trop étrange ici...
En fin de journée, nous sommes passés par le centre ville. Bon, comme on vous l’a déjà dit, Isabela est la plus grande iîe des Galapagos avec environ 100 km de longueur, mais pas la plus peuplée avec seulement 2000 habitants environ. Ainsi, au centre de Puerto vilamil, principale et unique ville d’Isabela où nous séjournons, on a pu noter l’existence de 4 à 5 restaurants qui se battent en duel, quelques magasins, une église et une route principale, et avec ça on a à peu près fait le tour. L’avantage c’est qu'on ne risque pas trop de se perdre en rentrant à l’hôtel.
Citation voyage du jour : « Le plus difficile pour un homme qui habite Vilvoorde et qui veut aller vivre à Hong-Kong, ce n’est pas d’aller à Hong-Kong, c’est de quitter Vilvoorde. »
Jacques Brel
