Le 22/05/15, 6:22
-84.6052445-0.430969175
Jour 49
Comme nous l’avons dit l’écosystème de l’archipel est unique en son genre car les iles sont d’origine volcanique (all you need is lava !) et ont émergé à partir d'un plateau basaltique et grâce à l'existence d'un point chaud, le point chaud des Galápagos. Compte tenu de la diversité des manifestations volcaniques et de l’existence de courants froids et chauds, des îles vraiment toutes différentes les unes des autres sont apparues progressivement, avec leurs spécificités en terme de flore et de faune. On peut ranger cependant les îles en 2 groupes, volcaniques ou tectoniques, les premières ayant des côtes plus déchirées et une altitude bcp plus haute, les deuxièmes étant essentiellement de vastes plateaux à faible altitude.
On peut catégoriser Santa Cruz parmi le premier groupe (pour rappel : santa cruz est l’île la plus importante des galapagos en terme de population avec 20 000 habitants et où nous sommes depuis notre arrivée, la seconde que nous allons visiter étant Isabela).
Aujourd’hui, nous avons donc décidé d’aller explorer le site de Las Grietas ("les fissures"), qui est justement une formation géologique insolite liée à cette origine volcanique. De plus, la ballade est à priori dans nos cordes avec Jana, en terme de distance (30 mn de marche) et de chaleur (on part tôt).
On emprunte les fameux taxi bateaux qui sont incontournables à Puerto Ayora pour rejoindre les sites à découvrir ou son hôtel !
Vous trouvez que Jana est suffisamment protégée du soleil ?
Le chemin qui permet d'accéder au site est assez rocailleux et surtout plus long que nous ne l'avions anticipé (nous sommes arrivés en nage comme vous allez le voir...), mais il offre une très belle ballade en longeant tout d'abord une belle petite plage de sable fin, puis en passant à travers une végétation aride parsemée de cactus et entrecoupée par des étangs colorés d’argile.
A notre arrivée, on découvre entre deux parois rocheuses abruptes un bassin d’eau limpide, de couleurs variant du turquoise à l’émeraude, avec personne ! (ce qui n'est pas toujours le cas). C'est vraiment splendide et totalement préservée.
On plonge avec délectation à tour de rôle, dans une eau un peu plus froide que d'habitude et qui nous rafraichit pour notre plus grand bonheur, c'est top.
Pendant ce temps là, Jana essaie de déplacer le maximum de cailloux en un temps limité. On la rafraichit et surtout nous sommes vigilants avec elle car le site est très glissant et elle a trop de boulot pour s'en préoccuper.
Voici venu le temps du retour. Plutôt contents de prendre notre petit taxi bateau pour rentrer et passer une après-midi plus reposante avec Jana à notre hôtel.
En fin d'après-midi, nous sommes allés visiter le marché de poisson, lieu très vivant où il est possible de déguster du poisson frais cuit sur place et où les otaries, les pélicans et les frégates se battent gentillement pour arracher les pièces rejetées par les pêcheurs. Un spectacle à ne pas manquer.
Citation voyage du jour : « Qu’est-ce qu’en général qu’un voyageur ? C’est un homme qui s’en va chercher un bout de conversation au bout du monde. » Barbay d’Aurevilly
Comme nous l’avons dit l’écosystème de l’archipel est unique en son genre car les iles sont d’origine volcanique (all you need is lava !) et ont émergé à partir d'un plateau basaltique et grâce à l'existence d'un point chaud, le point chaud des Galápagos. Compte tenu de la diversité des manifestations volcaniques et de l’existence de courants froids et chauds, des îles vraiment toutes différentes les unes des autres sont apparues progressivement, avec leurs spécificités en terme de flore et de faune. On peut ranger cependant les îles en 2 groupes, volcaniques ou tectoniques, les premières ayant des côtes plus déchirées et une altitude bcp plus haute, les deuxièmes étant essentiellement de vastes plateaux à faible altitude.
On peut catégoriser Santa Cruz parmi le premier groupe (pour rappel : santa cruz est l’île la plus importante des galapagos en terme de population avec 20 000 habitants et où nous sommes depuis notre arrivée, la seconde que nous allons visiter étant Isabela).
Aujourd’hui, nous avons donc décidé d’aller explorer le site de Las Grietas ("les fissures"), qui est justement une formation géologique insolite liée à cette origine volcanique. De plus, la ballade est à priori dans nos cordes avec Jana, en terme de distance (30 mn de marche) et de chaleur (on part tôt).
On emprunte les fameux taxi bateaux qui sont incontournables à Puerto Ayora pour rejoindre les sites à découvrir ou son hôtel !
Vous trouvez que Jana est suffisamment protégée du soleil ?
Le chemin qui permet d'accéder au site est assez rocailleux et surtout plus long que nous ne l'avions anticipé (nous sommes arrivés en nage comme vous allez le voir...), mais il offre une très belle ballade en longeant tout d'abord une belle petite plage de sable fin, puis en passant à travers une végétation aride parsemée de cactus et entrecoupée par des étangs colorés d’argile.
A notre arrivée, on découvre entre deux parois rocheuses abruptes un bassin d’eau limpide, de couleurs variant du turquoise à l’émeraude, avec personne ! (ce qui n'est pas toujours le cas). C'est vraiment splendide et totalement préservée.
On plonge avec délectation à tour de rôle, dans une eau un peu plus froide que d'habitude et qui nous rafraichit pour notre plus grand bonheur, c'est top.
Pendant ce temps là, Jana essaie de déplacer le maximum de cailloux en un temps limité. On la rafraichit et surtout nous sommes vigilants avec elle car le site est très glissant et elle a trop de boulot pour s'en préoccuper.
Voici venu le temps du retour. Plutôt contents de prendre notre petit taxi bateau pour rentrer et passer une après-midi plus reposante avec Jana à notre hôtel.
En fin d'après-midi, nous sommes allés visiter le marché de poisson, lieu très vivant où il est possible de déguster du poisson frais cuit sur place et où les otaries, les pélicans et les frégates se battent gentillement pour arracher les pièces rejetées par les pêcheurs. Un spectacle à ne pas manquer.
Citation voyage du jour : « Qu’est-ce qu’en général qu’un voyageur ? C’est un homme qui s’en va chercher un bout de conversation au bout du monde. » Barbay d’Aurevilly