Le 03/05/15, 23:04
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Jour 33
Temps maussade au réveil, nous entrons dans la période de transition entre la saison dite sèche et la saison des pluies censée commencer en mai, ce qui donne des journées irrégulières, dans un style un peu "climat breton" où l'alternance de la pluie, des nuages et du soleil permet de tout avoir dans une même journée (petit bémol, en bretagne on a le crachin breton alors qu'ici les pluies sont nettement plus franches, des vraies pluies tropicales)
Cela permet en tout cas de faire de très belles photos, depuis la terrasse de l'hôtel, de la baie de Quepos où se trouve le parc manuel Antonio, avec la playa Espadilla Sur, l'une des très belles plages de cette région.
Avec l'amélioration du temps en fin de matinée, nous sommes partis vers le centre ville de Quepos pour visiter un marché de fruits et légumes en plein air. Jana est toujours partante quand on lui dit qu'on part se balader, c'est plutôt très agréable.
Quand il s'agit de négocier les prix avec les commerçants, Sara a désormais une adjointe motivée en la personne de Jana
Photo qu'on aime bien d'un surfeur qui se trouve comme encadré par la végétation
Sur le chemin du retour (vous remarquerez qu'il nous arrive souvent des chose sur le retour... va savoir pourquoi), superbe rencontre avec un paresseux que nous avons pu voir de près dans un arbre à proximité de l'hôtel.
Il existe 2 types de paresseux : à 2 doigts et à 3 doigts. Celui que nous avons pu observer a 3 doigts, il est herbivore, et se nourrit uniquement d’une certaine variété de feuilles. Celui à 2 doigts est omnivore, il mange des feuilles, des fruits, des animaux très lents ainsi que des œufs d’oiseau. Le paresseux passe le plus clair de son temps dans la canopée des forêts humides d’Amérique latine, il dort plus de 18 heures par jour. Agile dans les arbres, le paresseux est maladroit au sol, néanmoins il nage bien et avec une certaine grâce. Il a quelques ennemis naturels : venant du ciel, les aigles harpies et, au sol, les jaguars et les serpents. Le paresseux est assez léger par rapport à sa taille, ce qui lui permet de se réfugier sur les plus fines branches s’il est poursuivi. Ses principales défenses sont le camouflage, la discrétion et le calme. Il survit souvent aux attaques, grâce à son habilité à se cacher, à s’agripper fermement aux branches et à sa capacité étonnante à guérir de blessures graves. Il est connu que le paresseux peut survivre à une chute de 28m et aussi suspendre sa respiration pendant 40 minutes. Le paresseux descend, environ une fois par semaine, pour faire ses besoins. C’est un animal solitaire, qui reste en couple juste le temps nécessaire à la reproduction. La mère a un seul petit à la fois, qu’elle portera, pendant plus d’un an, accroché à son ventre, le temps d’apprendre la vie de paresseux... c'est pas dingue tout ça ?
Citation voyage du jour : « L’important arrive non pas au terme de la route, mais bien avant, pendant le trajet lui-même. » Milorad Pavic
Temps maussade au réveil, nous entrons dans la période de transition entre la saison dite sèche et la saison des pluies censée commencer en mai, ce qui donne des journées irrégulières, dans un style un peu "climat breton" où l'alternance de la pluie, des nuages et du soleil permet de tout avoir dans une même journée (petit bémol, en bretagne on a le crachin breton alors qu'ici les pluies sont nettement plus franches, des vraies pluies tropicales)
Cela permet en tout cas de faire de très belles photos, depuis la terrasse de l'hôtel, de la baie de Quepos où se trouve le parc manuel Antonio, avec la playa Espadilla Sur, l'une des très belles plages de cette région.
Avec l'amélioration du temps en fin de matinée, nous sommes partis vers le centre ville de Quepos pour visiter un marché de fruits et légumes en plein air. Jana est toujours partante quand on lui dit qu'on part se balader, c'est plutôt très agréable.
Quand il s'agit de négocier les prix avec les commerçants, Sara a désormais une adjointe motivée en la personne de Jana
Photo qu'on aime bien d'un surfeur qui se trouve comme encadré par la végétation
Sur le chemin du retour (vous remarquerez qu'il nous arrive souvent des chose sur le retour... va savoir pourquoi), superbe rencontre avec un paresseux que nous avons pu voir de près dans un arbre à proximité de l'hôtel.
Il existe 2 types de paresseux : à 2 doigts et à 3 doigts. Celui que nous avons pu observer a 3 doigts, il est herbivore, et se nourrit uniquement d’une certaine variété de feuilles. Celui à 2 doigts est omnivore, il mange des feuilles, des fruits, des animaux très lents ainsi que des œufs d’oiseau. Le paresseux passe le plus clair de son temps dans la canopée des forêts humides d’Amérique latine, il dort plus de 18 heures par jour. Agile dans les arbres, le paresseux est maladroit au sol, néanmoins il nage bien et avec une certaine grâce. Il a quelques ennemis naturels : venant du ciel, les aigles harpies et, au sol, les jaguars et les serpents. Le paresseux est assez léger par rapport à sa taille, ce qui lui permet de se réfugier sur les plus fines branches s’il est poursuivi. Ses principales défenses sont le camouflage, la discrétion et le calme. Il survit souvent aux attaques, grâce à son habilité à se cacher, à s’agripper fermement aux branches et à sa capacité étonnante à guérir de blessures graves. Il est connu que le paresseux peut survivre à une chute de 28m et aussi suspendre sa respiration pendant 40 minutes. Le paresseux descend, environ une fois par semaine, pour faire ses besoins. C’est un animal solitaire, qui reste en couple juste le temps nécessaire à la reproduction. La mère a un seul petit à la fois, qu’elle portera, pendant plus d’un an, accroché à son ventre, le temps d’apprendre la vie de paresseux... c'est pas dingue tout ça ?
Citation voyage du jour : « L’important arrive non pas au terme de la route, mais bien avant, pendant le trajet lui-même. » Milorad Pavic