Le 19/09/13, 11:33
-8.42897392962965.8075282666667
Nous voilà en approche du parc national Chitwan, ma mère et moi avons rencontré dans le bus, des touristes espagnoles qui nous indiquent des bungalows près de la réserve. Je décide de partir avec eux à bord d’un 4x4 qui était venu les chercher à un arrêt de bus. Ma mère hérite de la place du passager et moi, j’accompagne les espagnols à l’arrière du pick-up.
Cheveux au vent, on traverse des chemins défoncés, on remonte le cours d’un ruisseau pour récupérer un sentier en amont, toutes les roues du 4x4 sont submergées, le conducteur a l’air serein et maîtrise son sujet, on passe cet obstacle sans embûche et nous arrivons au Lodge. Un repas nous est préparé avant d’aller faire une ballade à dos d’éléphant...
Ma mère était bien loin de s’imaginer un jour sur le dos d’un éléphant. Le pachyderme a la peau dure et rêche, ses poils sont épais et espacés. Il s’agenouille pour que l’on puisse monter dessus, on a presque peur de lui faire mal quand on escalade sa grosse carcasse. Sa démarche est nonchalante, ce n’est pas très confortable, une fois sur son dos, le maître nous annonce que l’animal va prendre son bain.
À quelques pas d’ici coule un fleuve... j’ai laissé Véro continuer avec ce gros patapouf faire un plouf, depuis la berge je jouais au photographe, tandis que Dumbo prenait un malin plaisir à arroser avec sa trompe tous ceux qui bougeaient. De retour au camp, on s’enfonce dans les marécages où les herbes atteignent plus de 2 mètres de haut, au bout de chaque tige sont accrochés des filaments ressemblant à du blé qui s’agite au gré de la brise, la faible lumière du crépuscule vient teindre d’argent ces roseaux et nous transportent définitivement dans une autre époque.
Le lendemain, on passe aux choses sérieuses... fini les conneries à se faire arroser par l’éléphant, maintenant il faut chausser les bottes et nous partons en randonnée dans la jungle !! Oui la jungle où vivent encore le rhinocéros unicorne, des singes et sa majesté... Le tigre royal.
Le parc de Chitwan fait partie des derniers endroits sur terre où l’on peut observer le tigre en liberté. Avant le départ, je note un petit détail qui me gêne un peu... mon guide est armé seulement d’un bâton, « -Attends mec, tu crois faire quoi si le tigre nous attaque?... Lui mettre le bâton dans le... ?! »Plus sérieusement, heureusement que j’avais pris mon Opinel!! Pour commencer, on n’avait pas de chance, la grisaille et parfois une fine pluie s’invitaient à notre expédition, la traversée du fleuve pour rejoindre la jungle se fait sur une barque taillée dans un tronc, pendant qu’une personne ramée, une autre enlevée le surplus d’eau de la barque avec un bac en plastique.
Ça y est, on a les pieds dans la jungle, donc maintenant plus un bruit. On doit avancer à petits pas, faire le moins de bruit possible et mettre toutes les chances de notre côté pour pouvoir admirer la faune. 4 heures de marche plus tard et après avoir traversé des ruisseaux sur le dos cette fois-ci du guide, ma mère n’en peut plus.... c’est clair le temps n’est pas au rendez-vous et on a juste observé un hibou, un macaque et un daim, pas de quoi s’en mettre plein la vue. Par contre on s’est bien fait bouffer par les sangsues et les moustiques. Ah les sangsues, putain mais c’est un truc de fou ces merdes-là !! Ça te rentre de partout, cela te rend dingue car tu ne les vois pas venir, cela va même jusqu’à se faufiler dans les chaussettes, je peux te dire qu’il faut en avoir du courage pour s’aventurer jusqu’ici et vas-y que ça te suce, même jusque dans le caleçon elles s’engouffrent !! Bref il faut avoir de sacrée paire de corones pour les enlever, c’est visqueux et souvent tenace, cela n’est pas douloureux mais une fois retiré de ta peau, cela te laisse une marque rouge et cela pisse le sang parfois pendant quelques minutes. D’ailleurs à ce qui paraît, avec un bon jet d’urine elles se détachent facilement, dommage car ma mère n’a pas voulu que je fasse le test pour vérifier l’astuce !!
On n’aura pas vu le tigre, tant mieux dira Véro! Nous rentrons au lodge, et profitons de visiter le village le plus proche.
C’est un village très pauvre, les maisons sont fabriquées avec du bois, de la terre et le toit est en tôle. Le seul commerçant se trouve au croisement, son magasin lui sert de toit et de commerce, il vend un peu de tout, on rentre pour demander s’il a des cigarettes, il faut savoir qu’il ne parle pas anglais, donc je mime le geste de fumer pour qu’il comprenne puis je lui montre avec deux doigts que je veux 2 paquets de clopes... là il me donne deux cigarettes, je me pose la question de savoir s’il ne se fout pas de ma gueule, mais j’ai vite compris qu’ici les cigarettes se vendent à l’unité.
Du coup le Népalais est surpris que ma mère lui achète 1 paquet et le reste d’un autre entamé, en fait c’était tout le stock qu’il lui restait... le tout pour moins de 2 euros.
Notre prochaine destination est Bakthapur, on trouve un petit hôtel dans cette cité médiévale. Bhaktapur est une ancienne cité royale de la vallée de Khatmandu, classée au patrimoine mondial de l’humanité, Bhaktapur est une pépite d’architecture et de culture, un endroit où le temps a semblée s’arrêter depuis longtemps. Bhaktapur étant pour l'essentiel une ville piétonne, seuls les motoculteurs et les mobylettes ont leur ticket d’entrée.
Une fois que l’on quitte la chambre, on a l’impression de remonter le temps. Ses quartiers d'habitations sont constitués de hautes maisons en briques rouges percées de fenêtres en bois adroitement sculptées. Du maïs, des gousses d’ail et du piment pendent aux fenêtres tandis qu’un vieillard observe chaque un de nos mouvements depuis son balcon en bois.
Les places et les rues bourdonnent d'activités : le boucher découpe ses moutons ou poulets, assis à même le sol dans la rue, avec comme plan de travail une vieille planche en bois usée par les coups de lame. Les agriculteurs étalent une nappe sur laquelle reposent des légumes colorés. La mamie au sourire communiquant fille tranquillement le coton. Les potiers fabriquent et sèchent au soleil des poteries de toutes formes et de toutes tailles, les femmes font leur lessive à la main dans les fontaines.
Ce qui m’a le plus impressionné c’est le vaste square, il y a de nombreux bâtiments, temples et monuments historiques: temples de Shiva, de Krishna, de Rameshwar, de Vatsala Durga, de Bhadri, de Pashupatinath ; cloche de Taleju ; colonne du roi Bhupatindra Malla. La Sun Dhoka, la porte d'or permettant d'accéder au palais aux cinquante-cinq fenêtres, achevée en 1754, est une oeuvre d'art absolument magnifique. Une petite rue flanquée de boutiques conduit à Taumadhi Tole. L'impressionnant temple Nyatapola, achevé en 1702, domine la place. Doté d’un toit à cinq niveaux superposés, il est le plus élevé du Népal. Un long escalier bordé de statues conduit au sanctuaire. Tout près, un autre temple est coiffé de trois toits superposés. Deux lions de cuivre gardent ce temple imposant datant du début du XVIIe siècle. Tout ici témoigne de la richesse de l’architecture traditionnelle newar. Chaque divinité à son propre temple à son image, la fumée des bougies de cire envahit la place et confère une atmosphère mystique, le son des cloches est présent continuellement, les dévots actionnent à chaque fois les cloches misent à disposition à l’entrée des temples pour signaler aux dieux leur présence. Les chants à la gloire de dieu résonnent au milieu de somptueux rituels qui nous envoûtent.
Ma mère et moi décidons de prendre les services d’un guide, pour profiter des petites histoires du village. Après notre visite de la ville, l’homme nous invite à la kermesse de l’école primaire où sont ses deux enfants. On assiste à la préparation du spectacle, nous étions les seuls touristes et nous avions en face plus de 400 enfants surexcités de nous voir, ils voulaient tous être pris en photo, ma mère trouvait les costumes des plus petits trop mignons. Le père était fier de nous présenter ses enfants et leur maîtresse.
Les enfants étaient très sérieux dans leur rôle et représentation. Nourris par le sourire des enfants nous assistons à un moment à part, plein de sincérité et de bonheur.
Le lendemain, nous arpentons avec le guide une succession de rues étroites pour nous diriger vers la basse ville, on débouche sur de vastes champs grouillants de villageois s'affairant aux travaux de la terre. Quelques tracteurs de fabrication indienne et des bœufs attelés à des vieilles charrettes, des outils artisanaux, à quelques minutes à peine du centre-ville, le décor a totalement changé en quelques pas. Nous traversons ces champs pour rejoindre un temple plus haut sur une colline, nous avons un aperçu de la vie à la campagne et des cheminées des fabriques de briques rouges (spécialité de la région).
Au retour de notre randonnée, on s'arrête ici et là dans quelques boutiques. Les étals craquent sous les marchandises de toutes sortes : bijoux, vases en poterie, marionnettes en bois, objets décoratifs et vêtements. Les thangkas, peintures religieuses tibétaines, sont très populaires.
C’est bientôt l’heure du départ pour ma mère, on rentre à Khatmandu, nous visitons un autre temple à Patan, il y a beaucoup de singes dans les rues et dans ce haut lieu du bouddhisme.
Le soir, on s’offre un dernier restaurant pour goûter une dernière fois aux saveurs de l’Asie. Véro rentre pour la France avec plein de beaux souvenirs, ce fût une belle expérience que de partager un peu de temps avec ma maman dans un pays lointain.
Maintenant que mon pied va mieux, je suis prêt pour aller faire un trek, ici au Népal, je vais m’attaquer au camp de base de l’Everest une aventure que je planifie de faire en 21 jours de marche...au cœur de l’Himalaya.
Cheveux au vent, on traverse des chemins défoncés, on remonte le cours d’un ruisseau pour récupérer un sentier en amont, toutes les roues du 4x4 sont submergées, le conducteur a l’air serein et maîtrise son sujet, on passe cet obstacle sans embûche et nous arrivons au Lodge. Un repas nous est préparé avant d’aller faire une ballade à dos d’éléphant...
Ma mère était bien loin de s’imaginer un jour sur le dos d’un éléphant. Le pachyderme a la peau dure et rêche, ses poils sont épais et espacés. Il s’agenouille pour que l’on puisse monter dessus, on a presque peur de lui faire mal quand on escalade sa grosse carcasse. Sa démarche est nonchalante, ce n’est pas très confortable, une fois sur son dos, le maître nous annonce que l’animal va prendre son bain.
À quelques pas d’ici coule un fleuve... j’ai laissé Véro continuer avec ce gros patapouf faire un plouf, depuis la berge je jouais au photographe, tandis que Dumbo prenait un malin plaisir à arroser avec sa trompe tous ceux qui bougeaient. De retour au camp, on s’enfonce dans les marécages où les herbes atteignent plus de 2 mètres de haut, au bout de chaque tige sont accrochés des filaments ressemblant à du blé qui s’agite au gré de la brise, la faible lumière du crépuscule vient teindre d’argent ces roseaux et nous transportent définitivement dans une autre époque.
Le lendemain, on passe aux choses sérieuses... fini les conneries à se faire arroser par l’éléphant, maintenant il faut chausser les bottes et nous partons en randonnée dans la jungle !! Oui la jungle où vivent encore le rhinocéros unicorne, des singes et sa majesté... Le tigre royal.
Le parc de Chitwan fait partie des derniers endroits sur terre où l’on peut observer le tigre en liberté. Avant le départ, je note un petit détail qui me gêne un peu... mon guide est armé seulement d’un bâton, « -Attends mec, tu crois faire quoi si le tigre nous attaque?... Lui mettre le bâton dans le... ?! »Plus sérieusement, heureusement que j’avais pris mon Opinel!! Pour commencer, on n’avait pas de chance, la grisaille et parfois une fine pluie s’invitaient à notre expédition, la traversée du fleuve pour rejoindre la jungle se fait sur une barque taillée dans un tronc, pendant qu’une personne ramée, une autre enlevée le surplus d’eau de la barque avec un bac en plastique.
Ça y est, on a les pieds dans la jungle, donc maintenant plus un bruit. On doit avancer à petits pas, faire le moins de bruit possible et mettre toutes les chances de notre côté pour pouvoir admirer la faune. 4 heures de marche plus tard et après avoir traversé des ruisseaux sur le dos cette fois-ci du guide, ma mère n’en peut plus.... c’est clair le temps n’est pas au rendez-vous et on a juste observé un hibou, un macaque et un daim, pas de quoi s’en mettre plein la vue. Par contre on s’est bien fait bouffer par les sangsues et les moustiques. Ah les sangsues, putain mais c’est un truc de fou ces merdes-là !! Ça te rentre de partout, cela te rend dingue car tu ne les vois pas venir, cela va même jusqu’à se faufiler dans les chaussettes, je peux te dire qu’il faut en avoir du courage pour s’aventurer jusqu’ici et vas-y que ça te suce, même jusque dans le caleçon elles s’engouffrent !! Bref il faut avoir de sacrée paire de corones pour les enlever, c’est visqueux et souvent tenace, cela n’est pas douloureux mais une fois retiré de ta peau, cela te laisse une marque rouge et cela pisse le sang parfois pendant quelques minutes. D’ailleurs à ce qui paraît, avec un bon jet d’urine elles se détachent facilement, dommage car ma mère n’a pas voulu que je fasse le test pour vérifier l’astuce !!
On n’aura pas vu le tigre, tant mieux dira Véro! Nous rentrons au lodge, et profitons de visiter le village le plus proche.
C’est un village très pauvre, les maisons sont fabriquées avec du bois, de la terre et le toit est en tôle. Le seul commerçant se trouve au croisement, son magasin lui sert de toit et de commerce, il vend un peu de tout, on rentre pour demander s’il a des cigarettes, il faut savoir qu’il ne parle pas anglais, donc je mime le geste de fumer pour qu’il comprenne puis je lui montre avec deux doigts que je veux 2 paquets de clopes... là il me donne deux cigarettes, je me pose la question de savoir s’il ne se fout pas de ma gueule, mais j’ai vite compris qu’ici les cigarettes se vendent à l’unité.
Du coup le Népalais est surpris que ma mère lui achète 1 paquet et le reste d’un autre entamé, en fait c’était tout le stock qu’il lui restait... le tout pour moins de 2 euros.
Notre prochaine destination est Bakthapur, on trouve un petit hôtel dans cette cité médiévale. Bhaktapur est une ancienne cité royale de la vallée de Khatmandu, classée au patrimoine mondial de l’humanité, Bhaktapur est une pépite d’architecture et de culture, un endroit où le temps a semblée s’arrêter depuis longtemps. Bhaktapur étant pour l'essentiel une ville piétonne, seuls les motoculteurs et les mobylettes ont leur ticket d’entrée.
Une fois que l’on quitte la chambre, on a l’impression de remonter le temps. Ses quartiers d'habitations sont constitués de hautes maisons en briques rouges percées de fenêtres en bois adroitement sculptées. Du maïs, des gousses d’ail et du piment pendent aux fenêtres tandis qu’un vieillard observe chaque un de nos mouvements depuis son balcon en bois.
Les places et les rues bourdonnent d'activités : le boucher découpe ses moutons ou poulets, assis à même le sol dans la rue, avec comme plan de travail une vieille planche en bois usée par les coups de lame. Les agriculteurs étalent une nappe sur laquelle reposent des légumes colorés. La mamie au sourire communiquant fille tranquillement le coton. Les potiers fabriquent et sèchent au soleil des poteries de toutes formes et de toutes tailles, les femmes font leur lessive à la main dans les fontaines.
Ce qui m’a le plus impressionné c’est le vaste square, il y a de nombreux bâtiments, temples et monuments historiques: temples de Shiva, de Krishna, de Rameshwar, de Vatsala Durga, de Bhadri, de Pashupatinath ; cloche de Taleju ; colonne du roi Bhupatindra Malla. La Sun Dhoka, la porte d'or permettant d'accéder au palais aux cinquante-cinq fenêtres, achevée en 1754, est une oeuvre d'art absolument magnifique. Une petite rue flanquée de boutiques conduit à Taumadhi Tole. L'impressionnant temple Nyatapola, achevé en 1702, domine la place. Doté d’un toit à cinq niveaux superposés, il est le plus élevé du Népal. Un long escalier bordé de statues conduit au sanctuaire. Tout près, un autre temple est coiffé de trois toits superposés. Deux lions de cuivre gardent ce temple imposant datant du début du XVIIe siècle. Tout ici témoigne de la richesse de l’architecture traditionnelle newar. Chaque divinité à son propre temple à son image, la fumée des bougies de cire envahit la place et confère une atmosphère mystique, le son des cloches est présent continuellement, les dévots actionnent à chaque fois les cloches misent à disposition à l’entrée des temples pour signaler aux dieux leur présence. Les chants à la gloire de dieu résonnent au milieu de somptueux rituels qui nous envoûtent.
Ma mère et moi décidons de prendre les services d’un guide, pour profiter des petites histoires du village. Après notre visite de la ville, l’homme nous invite à la kermesse de l’école primaire où sont ses deux enfants. On assiste à la préparation du spectacle, nous étions les seuls touristes et nous avions en face plus de 400 enfants surexcités de nous voir, ils voulaient tous être pris en photo, ma mère trouvait les costumes des plus petits trop mignons. Le père était fier de nous présenter ses enfants et leur maîtresse.
Les enfants étaient très sérieux dans leur rôle et représentation. Nourris par le sourire des enfants nous assistons à un moment à part, plein de sincérité et de bonheur.
Le lendemain, nous arpentons avec le guide une succession de rues étroites pour nous diriger vers la basse ville, on débouche sur de vastes champs grouillants de villageois s'affairant aux travaux de la terre. Quelques tracteurs de fabrication indienne et des bœufs attelés à des vieilles charrettes, des outils artisanaux, à quelques minutes à peine du centre-ville, le décor a totalement changé en quelques pas. Nous traversons ces champs pour rejoindre un temple plus haut sur une colline, nous avons un aperçu de la vie à la campagne et des cheminées des fabriques de briques rouges (spécialité de la région).
Au retour de notre randonnée, on s'arrête ici et là dans quelques boutiques. Les étals craquent sous les marchandises de toutes sortes : bijoux, vases en poterie, marionnettes en bois, objets décoratifs et vêtements. Les thangkas, peintures religieuses tibétaines, sont très populaires.
C’est bientôt l’heure du départ pour ma mère, on rentre à Khatmandu, nous visitons un autre temple à Patan, il y a beaucoup de singes dans les rues et dans ce haut lieu du bouddhisme.
Le soir, on s’offre un dernier restaurant pour goûter une dernière fois aux saveurs de l’Asie. Véro rentre pour la France avec plein de beaux souvenirs, ce fût une belle expérience que de partager un peu de temps avec ma maman dans un pays lointain.
Maintenant que mon pied va mieux, je suis prêt pour aller faire un trek, ici au Népal, je vais m’attaquer au camp de base de l’Everest une aventure que je planifie de faire en 21 jours de marche...au cœur de l’Himalaya.