Le 30/06/12, 12:22
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Le cadre est franchement sympa et on en profite bien, mais on cherche surtout du calme après la folie touristique que l’on a vécu en Asie, on se décide donc assez rapidement de quitter cette belle plage pour filer vers l’île d’en face, Siquijor. Nous réquisitionnons une bangka, que j’appelle bateau-araignée à cause de ses 8 pattes de part et d’autre, et nous traversons une mer tellement calme qu’elle ressemble à un miroir, par cette après-midi argentée. Des dauphins à long-nez improvisent des cabrioles pour nous accompagner, faisant de cet instant un mélange de poésie et de magie.
Nous arrivons sur l’île à marée basse et le bateau n’a pas assez de fond pour accoster ; il nous dépose à 50 mètres d’une belle plage déserte... dans l’eau. Nous voilà donc à terminer la ballade chargés de nos sacs, essayant d’éviter les algues glissantes et les oursins, avant d’arriver sur la plage, où quelques bungalows montrent le bout de leur nez. Parfait, on en prend un ! On s’installe rapidement, puis on s’empresse d’aller voir des pêcheurs en train de faire main-basse sur les oursins du bord de plage. Qu’à cela ne tienne, on s’arme d’un bâton et d’un sac et hop, c’est l’oursinade en apéro, miam ! On profite d’un superbe coucher de soleil en découvrant les saveurs de la cuisine philippine. Là, c’est vraiment les vacances !
Le lendemain, une grosse journée nous attend : après un réveil au bruit des vagues, hamac, snorkeling et sieste sous les cocotiers pour se remettre de toute cette activité On se laisse surprendre par le soleil, qui nous transforme en êtres bicolores... aïe !
Siquijor est célèbre pour ses mangkukulan (sorciers guérisseurs), mais nous n’aurons pas la chance d’en voir. A moto, nous faisons un petit tour de l’île et nous arrêtons à son centre, au milieu d’une forêt de pins, mimosas géants et arbres tropicaux. Depuis un point de vue installé sur le point culminant (525 mètres), nous pouvons voir toute l’île, c’est assez déroutant. Nous passons ensuite par quelques villes, pas bien grandes, fouinons dans les friperies, déjeunons au marché et nous régalons de beignets. Alors que nous sommes sur le chemin du retour, il est l’heure de la sortie des écoles. Détail anodin, dirait-on, mais ici, tous les enfants, dès qu’ils nous voient, nous crient des « hello ! » hystériques, si ce ne sont pas des « I love you ». De quoi figer de gros sourires sur nos figures jusqu’au soir.
Nous continuons à profiter des charmes de l’île quelques jours, avant de continuer notre chemin...
Nous arrivons sur l’île à marée basse et le bateau n’a pas assez de fond pour accoster ; il nous dépose à 50 mètres d’une belle plage déserte... dans l’eau. Nous voilà donc à terminer la ballade chargés de nos sacs, essayant d’éviter les algues glissantes et les oursins, avant d’arriver sur la plage, où quelques bungalows montrent le bout de leur nez. Parfait, on en prend un ! On s’installe rapidement, puis on s’empresse d’aller voir des pêcheurs en train de faire main-basse sur les oursins du bord de plage. Qu’à cela ne tienne, on s’arme d’un bâton et d’un sac et hop, c’est l’oursinade en apéro, miam ! On profite d’un superbe coucher de soleil en découvrant les saveurs de la cuisine philippine. Là, c’est vraiment les vacances !
Le lendemain, une grosse journée nous attend : après un réveil au bruit des vagues, hamac, snorkeling et sieste sous les cocotiers pour se remettre de toute cette activité On se laisse surprendre par le soleil, qui nous transforme en êtres bicolores... aïe !
Siquijor est célèbre pour ses mangkukulan (sorciers guérisseurs), mais nous n’aurons pas la chance d’en voir. A moto, nous faisons un petit tour de l’île et nous arrêtons à son centre, au milieu d’une forêt de pins, mimosas géants et arbres tropicaux. Depuis un point de vue installé sur le point culminant (525 mètres), nous pouvons voir toute l’île, c’est assez déroutant. Nous passons ensuite par quelques villes, pas bien grandes, fouinons dans les friperies, déjeunons au marché et nous régalons de beignets. Alors que nous sommes sur le chemin du retour, il est l’heure de la sortie des écoles. Détail anodin, dirait-on, mais ici, tous les enfants, dès qu’ils nous voient, nous crient des « hello ! » hystériques, si ce ne sont pas des « I love you ». De quoi figer de gros sourires sur nos figures jusqu’au soir.
Nous continuons à profiter des charmes de l’île quelques jours, avant de continuer notre chemin...