Le 13/04/12, 15:54
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Après les îles du sud, nous décidons d’aller vers la capitale, Bangkok, pour fêter Songkran, le nouvel an Bouddhique qui commémore la transition entre saison sèche et saison humide. Tout le monde s’envoie donc joyeusement de l’eau, les rues de Bangkok sont envahies de gens armées de pistolets à eau, et certains restaurants arrosent la foule au karcher ou à la lance à incendie... Vite armés de pistolets, nous partons arpenter les rues et comme des enfants, on s’amuse énormément. L’ambiance est très détendue, locaux comme touristes sont descendus dans la rue, petits et grands tendent des embuscades à chaque coin, il n’y a que sourires et éclats de rires à l’horizon.
Malgré ces jours fériés, nous voyageons jusqu’à Ban Phe, ville de pêcheurs à quelques heures de la capitale. Nous sommes accueillis par un ami rencontré sur Internet, qui nous emmène un peu partout dans les environs. Dans ce lieu calme, loin des hordes de touristes, nous faisons une cure de poissons et fruits de mer délicieux, tout en profitant de la mer et des grandes plages de sable doux. Pour ce grand weekend de fête, les habitants de Bangkok ont investi les lieux, et les familles se baladent en pickup avec des énormes bassines d’eau qu’ils s’envoient à la tronche. On ne s’en lasse pas, on passe quelques heures avec ces familles à arroser les gens qui passent... De toute façon, on n’a pas le choix, si on veut sortir un peu, on sera de toute façon mouillés. Bonne année 2555 !
Malgré ces jours fériés, nous voyageons jusqu’à Ban Phe, ville de pêcheurs à quelques heures de la capitale. Nous sommes accueillis par un ami rencontré sur Internet, qui nous emmène un peu partout dans les environs. Dans ce lieu calme, loin des hordes de touristes, nous faisons une cure de poissons et fruits de mer délicieux, tout en profitant de la mer et des grandes plages de sable doux. Pour ce grand weekend de fête, les habitants de Bangkok ont investi les lieux, et les familles se baladent en pickup avec des énormes bassines d’eau qu’ils s’envoient à la tronche. On ne s’en lasse pas, on passe quelques heures avec ces familles à arroser les gens qui passent... De toute façon, on n’a pas le choix, si on veut sortir un peu, on sera de toute façon mouillés. Bonne année 2555 !