Le 13/02/12, 8:30
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Après le Lac Hawea, nous nous dirigeons vers les stations balnéaires de Wanaka et de la dynamique Queenstown. Cette dernière est super sympa et pleine d’activités extrêmes : ski en hiver, vélo de descente, saut en parachute, sports nautiques sur les magnifiques lacs, la ville est également pleine de petits bars où les touristes s’amassent. On prend un peu le soleil et on part se trouver un joli petit spot pour passer la nuit, juste de l’autre côté du lac.
Nous voilà reparti sur la route du Sud vers le célèbre « Fiordland national park ». La route qui traverse le parc national de Milford Sound est somptueuse, elle serpente dans une vallée creusée par une rivière cristalline, et parsemée de petits lacs miroirs, qui inspirent les sens photographiques d’Eva. Les montagnes sont comme des aiguilles plantées dans la terre et qui ont un mini glacier à leur sommet et souvent une gigantesque cascade qui s’y écoule, on ne se lasse pas de les regarder et de les prendre en photo. La route monte, descend encore et encore à tel point que notre van commence à s’essouffler, les freins fument, le moteur aussi... ça nous fait un peu peur, mais on y va doucement, et la voiture tiendra bon jusqu'à Milford Sound où un fiord spectaculaire nous attend, avec une petite excursion en bateau jusqu’à la Tasman sea.
En revenant sur nos pas vers le Sud, petit arrêt baignade dans le lac Manapouri, l’eau est super froide, mais tellement limpide que sous cette chaleur, on n’a pas pu résister. En route vers un autre lac, nous découvrons une vallée affaissée. Le découpage de ces montagnes donne vraiment l’impression de déchirures, véritables témoins à ciel ouvert des mouvements tectoniques et géologiques.
Dans cette région, plus de sandflies pour nous harceler, mais les moustiques, bien plus malins, trouvent comment rentrer dans la voiture pour nous piquer dans cette nuit orageuse ! Mais le lac devant lequel on se réveille le lendemain vaut le coup. Le prochain arrêt est la ville d’Invercargill, où nous observons un lézard endémique de Nouvelle Zélande très connu ici, Henri, qui a plus de 100 ans. A partir de là, notre route se fait dans la campagne appelée Catlins, très peu touristique, et qui pourtant nous a permis d’apercevoir des lions de mer néo-zélandais, des manchots à yeux jaunes, eux aussi endémiques d’ici, et surtout des dauphins Hectors qui ont joués dans les vagues juste devant nous pendant plus de deux heures. Les baies abritent également des trésors géologiques, notamment des forêts pétrifiées, et des rochers tous ronds (les "boulders"). Autant dire que cette région de côte déchirée et d’immenses prés où broutent les moutons, les vaches et les biches, nous a enchantés.
Dernière grosse étape : la chaine montagneuse du Mont Cook, inscrit au Patrimoine de l’UNESCO, parsemé de glaciers et de lacs bleu turquoise. On a fait un trek qui nous a mené jusqu’à un lac plein d’icebergs au pied du mont Cook, au bord duquel nous avons déjeuné. On termine notre route au milieu des champs dorés, des forêts de pins et des lacs couleur lapis-lazuli, pour arriver à la dévastée ville de Christchurch. Quelle impression, de se retrouver dans une ville moderne et fantôme à la fois ! Le centre-ville est entièrement interdit d’accès et abandonné, car détruit par des tremblements de terre, dont le plus dévastateur date d’il y a un an. Un mini-centre a été construit, fait à base de containers colorés.
Nous avons trouvé ce pays très contrasté, avec une nature intacte, des paysages à couper le souffle, et sûrement un paradis pour les géologues.
Nous voilà reparti sur la route du Sud vers le célèbre « Fiordland national park ». La route qui traverse le parc national de Milford Sound est somptueuse, elle serpente dans une vallée creusée par une rivière cristalline, et parsemée de petits lacs miroirs, qui inspirent les sens photographiques d’Eva. Les montagnes sont comme des aiguilles plantées dans la terre et qui ont un mini glacier à leur sommet et souvent une gigantesque cascade qui s’y écoule, on ne se lasse pas de les regarder et de les prendre en photo. La route monte, descend encore et encore à tel point que notre van commence à s’essouffler, les freins fument, le moteur aussi... ça nous fait un peu peur, mais on y va doucement, et la voiture tiendra bon jusqu'à Milford Sound où un fiord spectaculaire nous attend, avec une petite excursion en bateau jusqu’à la Tasman sea.
En revenant sur nos pas vers le Sud, petit arrêt baignade dans le lac Manapouri, l’eau est super froide, mais tellement limpide que sous cette chaleur, on n’a pas pu résister. En route vers un autre lac, nous découvrons une vallée affaissée. Le découpage de ces montagnes donne vraiment l’impression de déchirures, véritables témoins à ciel ouvert des mouvements tectoniques et géologiques.
Dans cette région, plus de sandflies pour nous harceler, mais les moustiques, bien plus malins, trouvent comment rentrer dans la voiture pour nous piquer dans cette nuit orageuse ! Mais le lac devant lequel on se réveille le lendemain vaut le coup. Le prochain arrêt est la ville d’Invercargill, où nous observons un lézard endémique de Nouvelle Zélande très connu ici, Henri, qui a plus de 100 ans. A partir de là, notre route se fait dans la campagne appelée Catlins, très peu touristique, et qui pourtant nous a permis d’apercevoir des lions de mer néo-zélandais, des manchots à yeux jaunes, eux aussi endémiques d’ici, et surtout des dauphins Hectors qui ont joués dans les vagues juste devant nous pendant plus de deux heures. Les baies abritent également des trésors géologiques, notamment des forêts pétrifiées, et des rochers tous ronds (les "boulders"). Autant dire que cette région de côte déchirée et d’immenses prés où broutent les moutons, les vaches et les biches, nous a enchantés.
Dernière grosse étape : la chaine montagneuse du Mont Cook, inscrit au Patrimoine de l’UNESCO, parsemé de glaciers et de lacs bleu turquoise. On a fait un trek qui nous a mené jusqu’à un lac plein d’icebergs au pied du mont Cook, au bord duquel nous avons déjeuné. On termine notre route au milieu des champs dorés, des forêts de pins et des lacs couleur lapis-lazuli, pour arriver à la dévastée ville de Christchurch. Quelle impression, de se retrouver dans une ville moderne et fantôme à la fois ! Le centre-ville est entièrement interdit d’accès et abandonné, car détruit par des tremblements de terre, dont le plus dévastateur date d’il y a un an. Un mini-centre a été construit, fait à base de containers colorés.
Nous avons trouvé ce pays très contrasté, avec une nature intacte, des paysages à couper le souffle, et sûrement un paradis pour les géologues.