Le 05/10/10, 3:25
100.73438614.7967253
Après avoir traversé la frontière malaise nous avons testé les transports thaïlandais : 10h de train suivi de 9h de ferry de nuit !
Nous arrivons au petit matin à Ko Tao, une île déserte au large de la côte Est thaïe.
Malheureusement la mousson nous poursuit et le paradis devient moins idyllique sous la pluie. Nous partons au bout de 4 jours sur la côte opposée, voir si le soleil y pointe son nez.
Nous arrivons au bout de 2h de ferry et 8 de mini-van à Krabi, cité balnéaire
du sud-ouest thaï.
- Krabi et les falaises de Railay
Après une soirée night-market à Krabi, nous partons faire les acrobates sur les falaises de Railay où un paquet de pros grimpent comme des lémuriens. Notre grimpeur de chez King Climbers nous équipe : baudrier, chaussons, magnésie : la classe ! L’habit pourrait faire le moine !
En arrivant en bas de la falaise c’est un peu différent : elle est très raide et d’en bas on ne voit pas trop les prises... Le guide part en premier pour fixer la corde en se baladant sur la paroi comme un gecko.
Il doit avoir un produit spécial comme ces reptiles dans son sac à magnésie ! Le premier mur n’est finalement pas si compliqué une fois qu’il est terminé, mais ensuite il y en a d’autres (on a pris le forfait 4h !).
Sur le second mur, Sandro grimpe aussi presque comme un gecko mais Nono hurle au guide « where do I put my foot, now ? » sans trop entendre la réponse la plupart du temps... Du coup sa motivation baisse pour le dernier mur qui fait une trentaine de mètres de haut. Sandro démarre et monte haut, très haut ! Jusqu’au moment où le mur s’avère très raide et sans prise, il chavire !
Le guide qui papote avec ses potes met une fraction de seconde à le voir et Sandro tombe de 2 ou 3 mètres. Pas de bol, faut remonter maintenant.
Au bout de plusieurs tentatives il fini par être tout en haut et fait ce que ferait toute personne sensée : prend une photo de la baie!
- Ko Phi Phi
Après la session grimpette, nous partons pour Ko Phi Phi, l’île qui a été largement dévastée par le tsunami où il a fait plus de 3000 morts.
A notre arrivée, plus de signe de tsunami : les resorts, restos, bars, boutiques et clubs de plongée ont repoussés aussi sec !
Un dédale de petites ruelles plus tard nous trouvons un club de plongée avec un instructeur belge pour les plongées du lendemain. Le jour suivant, la mer est agitée mais le bateau part quand même sur les spots coralliens. Lorsque nous sortons de la baie, la mer est tellement agitée que le creux des vagues correspond à la hauteur du bateau ! La seule différence avec notre transfert à Lombok c’est que là si on chavire on a un sac waterproof pour les passeports et évidement des bouteilles pour attendre au fond de l’eau !
Arrivés à la bouée d’amarrage nous sautons voir si, comme le belge nous l’a annoncé (« là les requins léopards, s’en est gavé ! »), on va enfin voir une bête méchante ou même le must, un requin baleine, le rêve de tout plongeur qui se produit au maximum une fois dans une vie !
Et paraît-il un requin baleine a été vu par des plongeurs ici, 48h auparavant !
Hyper motivés, on saute. Au fond, la visibilité est inversement proportionnelle à la taille des vagues qui nous balançait : trop de houle, on ne voit pas à 2 mètres !
Peut être que le requin baleine est passé juste à côté de nous ?
Le lendemain, jour de fête (29 ans de Sandro), nous partons à la découverte des bais alentours en long boat (barque à moteur relativement longue, donc stabilité parfaite).
Le type de l’agence nous l’a dit
« No, no bigs waves as yesterday ! »
« You are really really sure? »
Oui il était très sûr, donc on file, à 8h30, au RDV sur le port.
D’autres touristes sont devant la barque à moteur pour aller voir LA plage sublime du film du même nom ainsi que d’autres baies, joyaux de Thaïlande. Le long boat quitte la plage, et commence à tanguer... plus on s’en éloigne, plus la barque tangue, et pour cause, les vagues sont énormes ! Elles nous surpassent plus d’une fois mais l’ambiance à bord est plutôt à la marrade : les 3 Malaisiennes qui sont juste derrière nous poussent des « aaaaaaaaaaaah » à chaque mouvement un peu trop balancé de la barque ! Au lieu d’être flippant, le trajet devient des plus amusants !
Nous débarquons dans des bais plus sublimes les unes que les autres, abritées de la mer enragée.
LA fameuse plage du film se révèle vraiment magnifique : une toute petite plage de sable blanc, une baie turquoise encerclée de hautes falaises : l’océan ne filtre que par une trentaine de mètres où les falaises stoppent.
Son succès est planétaire : des bateaux font des bouchons pour se garer sur la plage et débarquer leur horde de touristes de tous horizons venus voir la plage que Dany Boyle a choisie pour son film. Il y a plus de touristes que de grains de sables ! On exagère à peine...
Au retour sur Ko Phi Phi, les éléments s’allient : en plus des vagues, le ciel se met à nous humidifier vaillamment ! C’est la vraie mousson avec en bonus des rafales de vent et des hautes déferlantes !
Les Malaisiennes partagent leur serviette avec Nono qui est congelée et une chinoise rencontrée la veille à la plongée s’occupe de lui recouvrir les jambes avec son paréo.
La solidarité féminine internationale, c’est le top !
Sandro reste à la proue du bateau, super warrior pour ses 29 automnes !
Arrivés sur la terre ferme, c’est un nouveau départ maritime : un ferry nous emmène à Phuket où le Festival végétarien se déroule du 8 au 16 octobre
(notre parcours thaïlandais fût planifié en fonction).
Le soir nous testons la rubrique « sortir » qu’offre l’île de Phuket : la bai de Patong est un réel parc dysney pour noctambules et nous fêtons comme il se doit les 29 bougies de Sandro avec une grosse pensée pour l’Aligot qui aurait été le met idéal pour un tel repas.
Nous arrivons au petit matin à Ko Tao, une île déserte au large de la côte Est thaïe.
Malheureusement la mousson nous poursuit et le paradis devient moins idyllique sous la pluie. Nous partons au bout de 4 jours sur la côte opposée, voir si le soleil y pointe son nez.
Nous arrivons au bout de 2h de ferry et 8 de mini-van à Krabi, cité balnéaire
du sud-ouest thaï.
- Krabi et les falaises de Railay
Après une soirée night-market à Krabi, nous partons faire les acrobates sur les falaises de Railay où un paquet de pros grimpent comme des lémuriens. Notre grimpeur de chez King Climbers nous équipe : baudrier, chaussons, magnésie : la classe ! L’habit pourrait faire le moine !
En arrivant en bas de la falaise c’est un peu différent : elle est très raide et d’en bas on ne voit pas trop les prises... Le guide part en premier pour fixer la corde en se baladant sur la paroi comme un gecko.
Il doit avoir un produit spécial comme ces reptiles dans son sac à magnésie ! Le premier mur n’est finalement pas si compliqué une fois qu’il est terminé, mais ensuite il y en a d’autres (on a pris le forfait 4h !).
Sur le second mur, Sandro grimpe aussi presque comme un gecko mais Nono hurle au guide « where do I put my foot, now ? » sans trop entendre la réponse la plupart du temps... Du coup sa motivation baisse pour le dernier mur qui fait une trentaine de mètres de haut. Sandro démarre et monte haut, très haut ! Jusqu’au moment où le mur s’avère très raide et sans prise, il chavire !
Le guide qui papote avec ses potes met une fraction de seconde à le voir et Sandro tombe de 2 ou 3 mètres. Pas de bol, faut remonter maintenant.
Au bout de plusieurs tentatives il fini par être tout en haut et fait ce que ferait toute personne sensée : prend une photo de la baie!
- Ko Phi Phi
Après la session grimpette, nous partons pour Ko Phi Phi, l’île qui a été largement dévastée par le tsunami où il a fait plus de 3000 morts.
A notre arrivée, plus de signe de tsunami : les resorts, restos, bars, boutiques et clubs de plongée ont repoussés aussi sec !
Un dédale de petites ruelles plus tard nous trouvons un club de plongée avec un instructeur belge pour les plongées du lendemain. Le jour suivant, la mer est agitée mais le bateau part quand même sur les spots coralliens. Lorsque nous sortons de la baie, la mer est tellement agitée que le creux des vagues correspond à la hauteur du bateau ! La seule différence avec notre transfert à Lombok c’est que là si on chavire on a un sac waterproof pour les passeports et évidement des bouteilles pour attendre au fond de l’eau !
Arrivés à la bouée d’amarrage nous sautons voir si, comme le belge nous l’a annoncé (« là les requins léopards, s’en est gavé ! »), on va enfin voir une bête méchante ou même le must, un requin baleine, le rêve de tout plongeur qui se produit au maximum une fois dans une vie !
Et paraît-il un requin baleine a été vu par des plongeurs ici, 48h auparavant !
Hyper motivés, on saute. Au fond, la visibilité est inversement proportionnelle à la taille des vagues qui nous balançait : trop de houle, on ne voit pas à 2 mètres !
Peut être que le requin baleine est passé juste à côté de nous ?
Le lendemain, jour de fête (29 ans de Sandro), nous partons à la découverte des bais alentours en long boat (barque à moteur relativement longue, donc stabilité parfaite).
Le type de l’agence nous l’a dit
« No, no bigs waves as yesterday ! »
« You are really really sure? »
Oui il était très sûr, donc on file, à 8h30, au RDV sur le port.
D’autres touristes sont devant la barque à moteur pour aller voir LA plage sublime du film du même nom ainsi que d’autres baies, joyaux de Thaïlande. Le long boat quitte la plage, et commence à tanguer... plus on s’en éloigne, plus la barque tangue, et pour cause, les vagues sont énormes ! Elles nous surpassent plus d’une fois mais l’ambiance à bord est plutôt à la marrade : les 3 Malaisiennes qui sont juste derrière nous poussent des « aaaaaaaaaaaah » à chaque mouvement un peu trop balancé de la barque ! Au lieu d’être flippant, le trajet devient des plus amusants !
Nous débarquons dans des bais plus sublimes les unes que les autres, abritées de la mer enragée.
LA fameuse plage du film se révèle vraiment magnifique : une toute petite plage de sable blanc, une baie turquoise encerclée de hautes falaises : l’océan ne filtre que par une trentaine de mètres où les falaises stoppent.
Son succès est planétaire : des bateaux font des bouchons pour se garer sur la plage et débarquer leur horde de touristes de tous horizons venus voir la plage que Dany Boyle a choisie pour son film. Il y a plus de touristes que de grains de sables ! On exagère à peine...
Au retour sur Ko Phi Phi, les éléments s’allient : en plus des vagues, le ciel se met à nous humidifier vaillamment ! C’est la vraie mousson avec en bonus des rafales de vent et des hautes déferlantes !
Les Malaisiennes partagent leur serviette avec Nono qui est congelée et une chinoise rencontrée la veille à la plongée s’occupe de lui recouvrir les jambes avec son paréo.
La solidarité féminine internationale, c’est le top !
Sandro reste à la proue du bateau, super warrior pour ses 29 automnes !
Arrivés sur la terre ferme, c’est un nouveau départ maritime : un ferry nous emmène à Phuket où le Festival végétarien se déroule du 8 au 16 octobre
(notre parcours thaïlandais fût planifié en fonction).
Le soir nous testons la rubrique « sortir » qu’offre l’île de Phuket : la bai de Patong est un réel parc dysney pour noctambules et nous fêtons comme il se doit les 29 bougies de Sandro avec une grosse pensée pour l’Aligot qui aurait été le met idéal pour un tel repas.