Le 02/08/10, 3:02
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Le 2 août, arrivée à Sydney.
1er point : ici c’est vraiment l’hiver (pas comme en Calédonie où on était en débardeur-sandales dès 10h du mât)
2ème point : Nono est donc la SEULE personne de Sydney en tongs quand nous traversons la ville pour trouver l’auberge. Il doit faire 12°C...
18h pétante, nous sommes au point de RDV que nous ont fixé Mylène et Carine – copines travaillant hardiment toute l’année et nous ayant rejoins pour 3 semaines de vacances au soleil.
Le soleil ? C’est pas vraiment gagné car en plus des 12°C, la pluie se met à faire partie de l’ambiance ! Nono persiste en tongs (la Calédonie l’aurait-elle sevré du shopping ???).
Soirée retrouvailles dans le bar à vin de l’Opéra (tout de même un peu de luxe) suivi de la découverte de l’autochtone dans les pubs locaux (trop froid et humide pour aller le découvrir ailleurs !).
Lendemain, départ pour le soleil et le pays du bikini : notre vol pour Hamilton Island est à 11h.
Petit focus sur Hamilton Island : c’est donc, comme son nom l’indique, une île, qui fait parti de l’archipel des Whitsunday Islands, ensemble d’îles paradisiaques localisées sur la côte Est australienne, au niveau d’Airlie Beach, petite cité balnéaire de la côte.
Ces îles sont le lieu de prédilection de nombreuses croisières organisées qui en font le tour. Le concept est de dormir sur un bateau sublime (ou pas selon le budget imparti) pendant 2 nuits, avec donc, 3 jours de navigation et des repas inclus. Le tarif le moins cher pour ce type de croisière est 300$. Comme c’est LE truc à faire absolument selon tous les guides et forums, nous avons essayé de trouver une autre solution que ces croisières toutes faîtes, pas vraiment notre trip...
C’est là que l’aventure commence :
Certaines de ces îles sont des parcs nationaux et abritent des campings gérés par l’Etat du Queensland via les bureaux du QPWS. Une nuit en camping dans un parc national coûte 5$, donc une très bonne affaire pour des nuits paradisiaques !
Nous avions donc cherché sur un grand nombre de forums comment rejoindre Hamilton Island à la magnifique Whitheaven Beach pour y camper avec tout notre équipement de warrior. Et le résultat fût maigre car nous n’avions trouvé aucun routards ayant réussi à rejoindre directement une de ces îles à la sortie de l’aéroport. Pourtant les distances vues sur des zoom de google map nous permettaient d’être sûrs que éventuellement, si aucun taxi boat ne pouvait nous y conduire, on pourrait peut etre louer des canoës sur Hamilton Island et pagayer jusqu’à la première île poru y camper gaiement. Ca c’était dans le pire des cas.
Maintenant nous pouvons vous le dire, Non ce n’est pas possible de rejoindre Hamilton Island à Whitheaven beach ou toutes autre îles de l’archipel ! Amis routards, nous l’avons testé avec la plus grande motivation ! Vous êtes obligés de prendre une navette vers Airlie Beach sur la côte et de repartir avec un Taxi boat de là bas (Scamper est pas mal), qui vous coûtera (au minimum) 60$ l’AR pour une plage not-that-much-terrible, et 150$ pour la plage paradisiaque.
Après avoir vu les pauvres routards se faire déposer sur les plages les moins chères, nous étions plutôt ravis d’avoir fait le choix du roi c'est-à-dire Whitheaven Beach.
Pour ceux qui avaient préféré économiser sur ce budget, difficile de penser qu’ils n’étaient pas sur une île perdue en plein milieu de la Manche (pas de sable, que des galets même pas blancs, du vent et de l’eau agitée... très agitée !) !
Arrivés sur le lieu de campement, la vie sauvage démarre avec un varan de 50cm de long qui vient rôder autour des tentes (peut-être voir ce qu’on a amené de bon à se mettre sous la dent pour 2 jours et 1 nuit).
Hé oui le rationnement commence : aucune structure économique n’existe sur l’île :
- pas de vendeur chouchou-beignet-nutella-chez-kiki,
- pas de petit snack en tôle à la calédonienne,
- pas de bar avec terrasse donnant sur le coucher de soleil sublime.
Rien sauf... des toilettes hybrides et un bidon de 20L d’eau potable pour 4.
Après une longue ballade sur la plage de 12km AR (parfois sans la polaire : on a oublié que l’hiver persiste sur la côte !) nous décidons que la plage paradisiaque et la vie à la crusoé ont tout de même un sacré charme, c’est pourquoi nous ne rentrerons pas sur la terre ferme le lendemain mais le surlendemain.
S’en suivent 2 jours de dorage au soleil, ballades, jeux exclusifs pour la plage, lecture... bref des vraies vacances et très sauvages comme on les aime car exceptionnellement on est même pas obligés de se laver à l’eau froide : il n’y a plus assez d’eau !
1er point : ici c’est vraiment l’hiver (pas comme en Calédonie où on était en débardeur-sandales dès 10h du mât)
2ème point : Nono est donc la SEULE personne de Sydney en tongs quand nous traversons la ville pour trouver l’auberge. Il doit faire 12°C...
18h pétante, nous sommes au point de RDV que nous ont fixé Mylène et Carine – copines travaillant hardiment toute l’année et nous ayant rejoins pour 3 semaines de vacances au soleil.
Le soleil ? C’est pas vraiment gagné car en plus des 12°C, la pluie se met à faire partie de l’ambiance ! Nono persiste en tongs (la Calédonie l’aurait-elle sevré du shopping ???).
Soirée retrouvailles dans le bar à vin de l’Opéra (tout de même un peu de luxe) suivi de la découverte de l’autochtone dans les pubs locaux (trop froid et humide pour aller le découvrir ailleurs !).
Lendemain, départ pour le soleil et le pays du bikini : notre vol pour Hamilton Island est à 11h.
Petit focus sur Hamilton Island : c’est donc, comme son nom l’indique, une île, qui fait parti de l’archipel des Whitsunday Islands, ensemble d’îles paradisiaques localisées sur la côte Est australienne, au niveau d’Airlie Beach, petite cité balnéaire de la côte.
Ces îles sont le lieu de prédilection de nombreuses croisières organisées qui en font le tour. Le concept est de dormir sur un bateau sublime (ou pas selon le budget imparti) pendant 2 nuits, avec donc, 3 jours de navigation et des repas inclus. Le tarif le moins cher pour ce type de croisière est 300$. Comme c’est LE truc à faire absolument selon tous les guides et forums, nous avons essayé de trouver une autre solution que ces croisières toutes faîtes, pas vraiment notre trip...
C’est là que l’aventure commence :
Certaines de ces îles sont des parcs nationaux et abritent des campings gérés par l’Etat du Queensland via les bureaux du QPWS. Une nuit en camping dans un parc national coûte 5$, donc une très bonne affaire pour des nuits paradisiaques !
Nous avions donc cherché sur un grand nombre de forums comment rejoindre Hamilton Island à la magnifique Whitheaven Beach pour y camper avec tout notre équipement de warrior. Et le résultat fût maigre car nous n’avions trouvé aucun routards ayant réussi à rejoindre directement une de ces îles à la sortie de l’aéroport. Pourtant les distances vues sur des zoom de google map nous permettaient d’être sûrs que éventuellement, si aucun taxi boat ne pouvait nous y conduire, on pourrait peut etre louer des canoës sur Hamilton Island et pagayer jusqu’à la première île poru y camper gaiement. Ca c’était dans le pire des cas.
Maintenant nous pouvons vous le dire, Non ce n’est pas possible de rejoindre Hamilton Island à Whitheaven beach ou toutes autre îles de l’archipel ! Amis routards, nous l’avons testé avec la plus grande motivation ! Vous êtes obligés de prendre une navette vers Airlie Beach sur la côte et de repartir avec un Taxi boat de là bas (Scamper est pas mal), qui vous coûtera (au minimum) 60$ l’AR pour une plage not-that-much-terrible, et 150$ pour la plage paradisiaque.
Après avoir vu les pauvres routards se faire déposer sur les plages les moins chères, nous étions plutôt ravis d’avoir fait le choix du roi c'est-à-dire Whitheaven Beach.
Pour ceux qui avaient préféré économiser sur ce budget, difficile de penser qu’ils n’étaient pas sur une île perdue en plein milieu de la Manche (pas de sable, que des galets même pas blancs, du vent et de l’eau agitée... très agitée !) !
Arrivés sur le lieu de campement, la vie sauvage démarre avec un varan de 50cm de long qui vient rôder autour des tentes (peut-être voir ce qu’on a amené de bon à se mettre sous la dent pour 2 jours et 1 nuit).
Hé oui le rationnement commence : aucune structure économique n’existe sur l’île :
- pas de vendeur chouchou-beignet-nutella-chez-kiki,
- pas de petit snack en tôle à la calédonienne,
- pas de bar avec terrasse donnant sur le coucher de soleil sublime.
Rien sauf... des toilettes hybrides et un bidon de 20L d’eau potable pour 4.
Après une longue ballade sur la plage de 12km AR (parfois sans la polaire : on a oublié que l’hiver persiste sur la côte !) nous décidons que la plage paradisiaque et la vie à la crusoé ont tout de même un sacré charme, c’est pourquoi nous ne rentrerons pas sur la terre ferme le lendemain mais le surlendemain.
S’en suivent 2 jours de dorage au soleil, ballades, jeux exclusifs pour la plage, lecture... bref des vraies vacances et très sauvages comme on les aime car exceptionnellement on est même pas obligés de se laver à l’eau froide : il n’y a plus assez d’eau !