Le 14/07/10, 0:19
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Bon, vous connaissez la chanson : gnagnagna ... bus, gnagnagna ...fatigués, gnagnagna ... arrivée à Baños, re gnagnagna ... nouvel hotel.
Baños est notre 2ème ville de Gringos après San Pedro au chili mais c’est aussi un joli petit village entouré de volcans, de verdure et de cascades.
On peut aussi jouer au homard à l’américaine (normal pour une ville de gringos hahaha) dans des eaux thermostat 6 à 45 degrès, chauffées directement par l’activité volcanique.
C’est d’ailleurs en cuisant dans notre marmite naturelle que l’on a apercu la fameuse Pauline avec quí on a partagé un verre dans le “café del cielo”, magnifique endroit surplombant la ville (voir photo qui n’a rien à envier à Cocktail Magazine)
Concernant l’inquiétant volcan actif Tungurahua, les villageois n’ont pas manqué l’occasion durant notre séjour de fêter le Saint-Bidule qui les protège depuis longtemps de ses colères meurtrières (pas celle du saint mais du volcan bien sûr)
Pour éviter une autre colère “meurtrière” , vincent n’a de son coté pas oublié de fêter la Saint-Machin le 3 juillet (annif de eve) en déposant lui aussi de multiples offrandes et en trinquant au délicieux rhum-orange San Miguel, notre nouvel apéritif favori (plus de Pisco Sour en Equateur ¡)
Malgré la pluie, on a également visité les cascades en moto, sans cascade à moto (elle est vraiment nulle celle là mais on est à la fin du voyage, on s’essouffle un peu)
Puis reregnagnagna ... Quito, capitale de l’Equateur.
Pour nous, c’est une agréable capitale tout en long (45 km) car prise en sandwich entre 2 chaines volcaniques avec toujours beaucoup de verdure (c’est bien meilleur pour un sandwich) mais où il fait beau de 9h à 9h30 et un temps pourri le reste du temps.
Quito, hormis l’énorme banlieue, se divise en 2 villes, 2 populations et 2 prix : le centre historique colonial abordable et charmant et le quartier moderne, où touristes et équatoriens aisés festoient, boient et dormoient.
Nous avons préféré la vieille ville malgrè quelques pas de salsa dans le quartier nouveau. Vincent a été sérieux et appliqué, vous y croyez ?
Bon échauffement avant la grimpette du Cotopaxi, un des plus hauts volcans actifs du monde. Et pour 1 fois, du soleil jusqu’à 11h mais pas jusqu’à 5000m où nous avons fini dans les nuages, les flocons et avec les 1er symptomes de l’altitude. En effet, Eve s’est plaint d’une pseudo bête dans le dos et de flocons bruyants qui piquent pendant 5mn, étrange...
Le lendemain, après la visite des superbes musées consacrés a l'oeuvre du plus grand artiste révolutionnaire équatorien Oswaldo Guayasamin, visite également du musée des sciences naturelles et du jardin botanique (chaudement recommandée par notre toujours guide préféré). Résultat : 3 papillons morts et 2 scarabées vus vivants en Amazonie, et 2 orchidées vivantes mais minuscules, le tout sous le déluge et pour 1 prix excessif – l’arnaque ¡
Dernier jour, escapade au “milieu du monde”, une tong dans l’hémisphère Nord et une tong dans l’hémisphère Sud.
L’esprit est quant à lui de plus en plus tourné vers le nord ... avec notre retour qui approche ...
Baños est notre 2ème ville de Gringos après San Pedro au chili mais c’est aussi un joli petit village entouré de volcans, de verdure et de cascades.
On peut aussi jouer au homard à l’américaine (normal pour une ville de gringos hahaha) dans des eaux thermostat 6 à 45 degrès, chauffées directement par l’activité volcanique.
C’est d’ailleurs en cuisant dans notre marmite naturelle que l’on a apercu la fameuse Pauline avec quí on a partagé un verre dans le “café del cielo”, magnifique endroit surplombant la ville (voir photo qui n’a rien à envier à Cocktail Magazine)
Concernant l’inquiétant volcan actif Tungurahua, les villageois n’ont pas manqué l’occasion durant notre séjour de fêter le Saint-Bidule qui les protège depuis longtemps de ses colères meurtrières (pas celle du saint mais du volcan bien sûr)
Pour éviter une autre colère “meurtrière” , vincent n’a de son coté pas oublié de fêter la Saint-Machin le 3 juillet (annif de eve) en déposant lui aussi de multiples offrandes et en trinquant au délicieux rhum-orange San Miguel, notre nouvel apéritif favori (plus de Pisco Sour en Equateur ¡)
Malgré la pluie, on a également visité les cascades en moto, sans cascade à moto (elle est vraiment nulle celle là mais on est à la fin du voyage, on s’essouffle un peu)
Puis reregnagnagna ... Quito, capitale de l’Equateur.
Pour nous, c’est une agréable capitale tout en long (45 km) car prise en sandwich entre 2 chaines volcaniques avec toujours beaucoup de verdure (c’est bien meilleur pour un sandwich) mais où il fait beau de 9h à 9h30 et un temps pourri le reste du temps.
Quito, hormis l’énorme banlieue, se divise en 2 villes, 2 populations et 2 prix : le centre historique colonial abordable et charmant et le quartier moderne, où touristes et équatoriens aisés festoient, boient et dormoient.
Nous avons préféré la vieille ville malgrè quelques pas de salsa dans le quartier nouveau. Vincent a été sérieux et appliqué, vous y croyez ?
Bon échauffement avant la grimpette du Cotopaxi, un des plus hauts volcans actifs du monde. Et pour 1 fois, du soleil jusqu’à 11h mais pas jusqu’à 5000m où nous avons fini dans les nuages, les flocons et avec les 1er symptomes de l’altitude. En effet, Eve s’est plaint d’une pseudo bête dans le dos et de flocons bruyants qui piquent pendant 5mn, étrange...
Le lendemain, après la visite des superbes musées consacrés a l'oeuvre du plus grand artiste révolutionnaire équatorien Oswaldo Guayasamin, visite également du musée des sciences naturelles et du jardin botanique (chaudement recommandée par notre toujours guide préféré). Résultat : 3 papillons morts et 2 scarabées vus vivants en Amazonie, et 2 orchidées vivantes mais minuscules, le tout sous le déluge et pour 1 prix excessif – l’arnaque ¡
Dernier jour, escapade au “milieu du monde”, une tong dans l’hémisphère Nord et une tong dans l’hémisphère Sud.
L’esprit est quant à lui de plus en plus tourné vers le nord ... avec notre retour qui approche ...