Le 07/04/14, 12:41
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Le camping où nous avons élu domicile pour la nuit est entouré du Queen Elizabeth Park. Nous profitons de cette aubaine pour courir une petite demie heure dans ce grand parc avant de nous installer en plein air pour notre petit déjeuner.
Sous un beau soleil, nous partons pour Wellington. Les 30 premiers kilomètres sont ensoleillés. Nous apercevons une brume dans le lointain.
Wellington nous réserve un accueil breton. Du jaune dans les collines et sur le bord des routes. Ce sont des ajoncs bien fleuris, semblable à notre lande bretonne. Cà, c'est plutôt sympa, mais par contre, le crachin l'est moins.
Nous montons quand même sur les hauteurs du Mont Victoria pour la vue magnifique sur le port...mais bien sûr, nous n'y voyons rien.
Quelques touristes, aussi optimistes que nous, sont là aussi.
Avant de redescendre dans la ville, nous nous couvrons un peu plus chaudement, car il ne fait plus qu'une douzaine de degrés et c'est humide. Nous arpentons et explorons en imperméable, les rues de la capitale Néo-Zélandaise, après avoir confirmé notre traversée en ferry pour l'île du Sud, demain.
Wellington est la 3ème ville la plus peuplée de Nouvelle Zélande, 200 000 habitants. Elle a la réputation d'être venteuse et pluvieuse. Nous confirmons.
Nous avons passé notre après midi bien au chaud au musée Te Papa, nom signifiant boîte aux trésors. Situé sur le front de mer, nous avons fait quelques photos depuis son 6ème étage. Malgré la pluie et la brume dans le lointain, la vue est belle.
Son niveau 4 nous a retracé toute l'histoire de la Nouvelle Zélande depuis l'arrivée des Maoris au 13è siècle et des premiers Européens dès le 17è. Une arrivée de ces derniers plus massive aux 18è et 19è, avec l'industrialisation en Grande Bretagne. Les fermiers se voyaient réquisitionner leurs terres et devaient trouver du travail en ville pour un salaire très faible. Beaucoup ont pris la décision à ce moment là de s'exiler. La première et seconde guerre mondiale ont amené Allemands, Polonais, Hollandais et Juifs. Des témoignages audio émouvants.
Les migrations continuent avec les réfugiés politiques des dernières guerres en Iran, Iraq, Cambodge, les famines en Somalie, Ethiopie. La Nouvelle Zélande les accueille cependant en nombre limité.
Elle accepte également aujourd'hui les jeunes de toutes nationalités, parlant obligatoirement anglais et diplômés d'études supérieures. C'est pourquoi, de nombreux Asiatiques se sont installés dans les dix dernières années.
Le niveau 2 du musée possède une "Earthquake House" (maison des tremblements de terre). A l'intérieur, on y vit ce que ressentent les gens subissant un tremblement de terre. Elle aide aussi à mieux comprendre le paysage géologique du pays et comment les forces tectoniques l'ont façonné.
Un immense musée, dans les deux sens du terme, et un après-midi ne suffit pas à tout visiter.
Fermeture à 18h. Il pleut toujours.
Sous un beau soleil, nous partons pour Wellington. Les 30 premiers kilomètres sont ensoleillés. Nous apercevons une brume dans le lointain.
Wellington nous réserve un accueil breton. Du jaune dans les collines et sur le bord des routes. Ce sont des ajoncs bien fleuris, semblable à notre lande bretonne. Cà, c'est plutôt sympa, mais par contre, le crachin l'est moins.
Nous montons quand même sur les hauteurs du Mont Victoria pour la vue magnifique sur le port...mais bien sûr, nous n'y voyons rien.
Quelques touristes, aussi optimistes que nous, sont là aussi.
Avant de redescendre dans la ville, nous nous couvrons un peu plus chaudement, car il ne fait plus qu'une douzaine de degrés et c'est humide. Nous arpentons et explorons en imperméable, les rues de la capitale Néo-Zélandaise, après avoir confirmé notre traversée en ferry pour l'île du Sud, demain.
Wellington est la 3ème ville la plus peuplée de Nouvelle Zélande, 200 000 habitants. Elle a la réputation d'être venteuse et pluvieuse. Nous confirmons.
Nous avons passé notre après midi bien au chaud au musée Te Papa, nom signifiant boîte aux trésors. Situé sur le front de mer, nous avons fait quelques photos depuis son 6ème étage. Malgré la pluie et la brume dans le lointain, la vue est belle.
Son niveau 4 nous a retracé toute l'histoire de la Nouvelle Zélande depuis l'arrivée des Maoris au 13è siècle et des premiers Européens dès le 17è. Une arrivée de ces derniers plus massive aux 18è et 19è, avec l'industrialisation en Grande Bretagne. Les fermiers se voyaient réquisitionner leurs terres et devaient trouver du travail en ville pour un salaire très faible. Beaucoup ont pris la décision à ce moment là de s'exiler. La première et seconde guerre mondiale ont amené Allemands, Polonais, Hollandais et Juifs. Des témoignages audio émouvants.
Les migrations continuent avec les réfugiés politiques des dernières guerres en Iran, Iraq, Cambodge, les famines en Somalie, Ethiopie. La Nouvelle Zélande les accueille cependant en nombre limité.
Elle accepte également aujourd'hui les jeunes de toutes nationalités, parlant obligatoirement anglais et diplômés d'études supérieures. C'est pourquoi, de nombreux Asiatiques se sont installés dans les dix dernières années.
Le niveau 2 du musée possède une "Earthquake House" (maison des tremblements de terre). A l'intérieur, on y vit ce que ressentent les gens subissant un tremblement de terre. Elle aide aussi à mieux comprendre le paysage géologique du pays et comment les forces tectoniques l'ont façonné.
Un immense musée, dans les deux sens du terme, et un après-midi ne suffit pas à tout visiter.
Fermeture à 18h. Il pleut toujours.