Le 31/10/12, 15:19
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Sorpresa en el aeropuerto – Surprise à l'aéroport
Nos despedimos de Lucy, Pito y Montse súper emocionados por irnos a Bali, hacia el calorcito del verano que no encontramos en Sydney, ya que hacía frasquete. La compañía con la que volábamos a Bali (Jetstar) no era la misma con la que volábamos después de Bali a Melbourne, por lo que nos pidieron ensenar nuestro billete de salida de Bali, por lo visto obligatorio. No pasa nada, lo tenemos en el ordenador. La gracia vino cuando la mujer del mostrador nos dijo: Este vuelo ya ha sido, fue el 14 de Octubre... ¿QUEEEEEE? ¡Nos habíamos confundido de mes! . En vez de volar hacia Melbourne el 14 de Noviembre en el billete ponía 14 de Octubre, que ya había pasado claro está. Nos dijo que sin billete de vuelta no podíamos registrar las maletas y que el registro se terminaba en hora y media.
On quitte Lucy, Montse et Pito tout excités à l'idée de changer à nouveau de continent et de découvrir Bali ! Sydney – Bali puis dans 2 semaines, Bali – Melbourne pour des retrouvailles avec les Wallabies. L'aller et le retour s'effectuant avec des compagnies différentes, on nous demande à l'enregistrement de fournir la preuve que l'on va bien quitter Bali après 2 semaines de vacance. Pas de soucis, on sort l'ordi (vu qu'on avait pas pensé à imprimer les billets retour ...) et on montre fièrement notre billet retour à l'écran. La femme en face de nous n'a pas l'air convaincue et on comprend mieux pourquoi quand elle nous annonce « il y a un problème car ces billets sont datés du 14 octobre ». Et effectivement, vu qu'on est le 30 octobre, on a un GROS problème !!!! 14 octobre au lieu de novembre, oh la boulette... Et bien sûr, impossible de partir à Bali si on n'a pas de billet retour. Le défi est donc simple : on a 1h30 avant la fin de l'embarquement pour trouver des billets retour sinon, on perd les billets aller/retour de Bali et on doit passer 2 semaines à survivre en Australie, le pays où la vie est plus chère !
¡Buf! No me he puesto tan nerviosa como este día en mucho tiempo. Corriendo fuimos a un punto para captar Internet, buscar las líneas más baratas y comprar los billetes, otra vez. Pero ¿cuál fue nuestra sorpresa? Que cuando casi íbamos a validar la compra nos dimos cuenta que la misma página lo cambiaba automáticamente al 14 de Octubre!!! Lo cual era imposible porque ese día ya había pasado. Corre que te corre a buscar el mostrador de Virgin Australia y explicarles lo que pasaba, que hicieran algo porque al final íbamos a perder el avión!!! Como siempre, te dan un numero de teléfono para que llames tu y te lo soluciones tu solito, pero visto que era un contestador automático y que estábamos de los nervios, volvimos al mostrador para que lo solucionaran ellos. ¿Cuál fue la solución? Que tuvimos que pagarnos dos billetes enteritos, sin reembolsarnos los anteriores ya que consideraban que era culpa nuestra por no haber chequeado antes de validar, ¡Que cabrones!
Je vous fait pas de dessin sur le niveau de stress atteint à ce moment là par Alicia, tous les voyants étaient au rouge... J'ai donc 1h30 pour essayer de limiter la casse et pas pourrir les vacances ou trouer le porte monnaie. En essayant de rester calme, on se connecte à internet pour voir si on peut échanger nos billets ou en payer de nouveaux. Echange impossible, ça aurait été trop beau... tant pis, le porte monnaie va prendre un pet... On refait la commande pour un billet retour au 14 novembre, on valide les étapes, et là surprise, au moment de valider on s'aperçoit que la date est à nouveau passée au 14 octobre !!! Je ne sais pas par quel putin de bug informatique ça peut s'expliquer, mais sur le coup on n'a pas le temps d'analyser tout ça. On reprend nos bagages et on cours jusqu'à un comptoir Virgin Australia, pour leur expliquer notre problème. Ils nous donnent juste le numéro d'une hotline et nous montre des cabines téléphoniques un peu plus loin... J'appelle, j'entends absolument rien car il y a un max de bruit autour, pas la peine d'insister, on retourne au guichet : appelez pour nous sinon on perd notre avion ! Et là une réponse que je n'attendais pas : « mais on n'a pas de téléphone... ». Oh les cons. On insiste lourdement jusqu'à ce qu'une femme envoie sa collègue chercher un téléphone pour appeler... 15 minutes sont passées avant que la bonne femme revienne avec un téléphone, ils appellent, il nous reste 10 minutes avant que l'enregistrement ne soit fermé... Quelques échanges téléphoniques plus tard, on a enfin racheté nos billets retour, 700€ pour la déconne, et on court à l'enregistrement avec notre preuve ! On est bien sûr les derniers à s'enregistrer sur le vol...
Así que el viaje a Bali no empezó con muy buen pie, con 700 euros menos, con los cuales contábamos para pagarnos la estancia de 2 semanas allí... ¡Un bajón! Adri se empeñó que era culpa suya y que el iba a pagar ese dinero, pero la culpa en realidad fue de estos mamones de Virgin Australia.
Un dernier sprint avec les bagages sur le dos pour aller à l'embarquement (à l'autre bout de l'a bien sûr), et on est fin prêts à s'asseoir dans l'avion et essayer de faire retomber la pression... C'est pas le départ idéal pour nos vacances à Bali, mais tant bien que mal on va pouvoir découvrir ce coin du globe !
Llegada a Kuta – Arrivée à Kuta
Gracias a Florian, un amigo que ya había ido a Bali, sabíamos que Kuta no era la ciudad de en sueño para pasar las vacaciones, y cierto es. ¡Es un agobio de ciudad! Estas semi obligado a pasar una noche allí porque es la ciudad mas cercana del aeropuerto, pero si puedes evitarlo es mejor. Motos por todos lados, australianos súper jóvenes que van allí de fiesta y van súper trompas por la calle, gente agobiándote y siguiéndote para que les compres setas alucinógenas, o para venderte transporte, manicuras, pedicuras, masajes... ¡Un agobio!
On avait déjà été briffé (merci Florian!) que Kuta n'était pas la ville rêvée pour passer des vacances tranquilles. Et ça se vérifie ! On s'y arrête car c'est la ville la plus proche de l'aéroport et que l'on est arrivé vers 22 heures. On est de suite marqué par l'ambiance particulière : jeunes australiens bourrés aux 4 coins de rue, bars discothèques musique à donf, les locaux qui te sautent dessus dès qu'ils te voient pour te proposer leurs services (taxi, hôtel, restaurant, boutique, champignons magiques...), massages... pesant l'atmosphère !
Pero por otra lado este sitio está bien si quieres aprender a hacer surf, ya que las olas son siempre pequeñitas y muy regulares. Pues por eso pasamos un día entero en Kuta, para empezar a planificar el resto del viaje y hacer surf. ¡Madre mía que difícil! Equilibrio cero encima de una tabla, y si encima tu “monitor” tampoco es que sea muy avispado para enseñar... jajaja . Me caía todo el tiempo, me dio un calambre de estos horroroso en el dedo del pie que te deja paralizado, me raspé toda la tripa y el pecho... ¡Normal! Nadie te avisa allí de que si no te pones una camiseta te quedas en carne viva!!! Estuvo gracioso, pero está claro que si quieres aprender a hacer surf como dios manda, más vale pagar un poco más y probar con una escuela de surf, no pagar 10 euros cada uno a dos personajillos que vete tu a saber si ellos mismo saben surfear .
Le point fort de Kuta ça reste quand même la mer, et surtout le fait que ça reste le spot idéal pour apprendre à surfer ! Vagues régulières, taille moyenne, idéal pour se lancer. Du coup on s'est offert notre première leçon de surf pour quelques euros seulement avec des moniteurs locaux bien sûr, qui te donnent 3 conseils dans les 10 premières minutes, et après tu te débrouilles avec ta planche. Et là c'est parti : prise d'information, moulinet des bras, tentative de se lever, grosse vautre, buvage de tasse, remontée du courant pour se replacer et c'est reparti ! Au final on n'a pas égalé Kelly Slater, mais on s'est levé quelques fois et les sensations sont bonnes, ça donne envie de s'y mettre.
Por lo demás, a parte de hacer surf, lo que puedes hacer en Kuta es darte un paseo para ver los templos hindúes, observar a la gente, como actúa con sus rituales y sus ofrendas que hacen cada mañana (ponen un cestito con incienso, flores y comida delante de cada establecimiento), lo bendicen echando unas gotas de agua con una flor que se llama Frangipan, darte un masaje y para finalizar ir a la playa a ver la puesta de Sol que es bastante bonita, si no fuera por la cantidad de gente que va a verla .
Sorti du surf, Kuta ça reste le point d'entrée de Bali, ça permet de s'acclimater un peu (chaleur, humidité, nourriture...), observer les rituels religieux locaux et apprécier le couché de soleil sur la plage.
A&A.
Nos despedimos de Lucy, Pito y Montse súper emocionados por irnos a Bali, hacia el calorcito del verano que no encontramos en Sydney, ya que hacía frasquete. La compañía con la que volábamos a Bali (Jetstar) no era la misma con la que volábamos después de Bali a Melbourne, por lo que nos pidieron ensenar nuestro billete de salida de Bali, por lo visto obligatorio. No pasa nada, lo tenemos en el ordenador. La gracia vino cuando la mujer del mostrador nos dijo: Este vuelo ya ha sido, fue el 14 de Octubre... ¿QUEEEEEE? ¡Nos habíamos confundido de mes! . En vez de volar hacia Melbourne el 14 de Noviembre en el billete ponía 14 de Octubre, que ya había pasado claro está. Nos dijo que sin billete de vuelta no podíamos registrar las maletas y que el registro se terminaba en hora y media.
On quitte Lucy, Montse et Pito tout excités à l'idée de changer à nouveau de continent et de découvrir Bali ! Sydney – Bali puis dans 2 semaines, Bali – Melbourne pour des retrouvailles avec les Wallabies. L'aller et le retour s'effectuant avec des compagnies différentes, on nous demande à l'enregistrement de fournir la preuve que l'on va bien quitter Bali après 2 semaines de vacance. Pas de soucis, on sort l'ordi (vu qu'on avait pas pensé à imprimer les billets retour ...) et on montre fièrement notre billet retour à l'écran. La femme en face de nous n'a pas l'air convaincue et on comprend mieux pourquoi quand elle nous annonce « il y a un problème car ces billets sont datés du 14 octobre ». Et effectivement, vu qu'on est le 30 octobre, on a un GROS problème !!!! 14 octobre au lieu de novembre, oh la boulette... Et bien sûr, impossible de partir à Bali si on n'a pas de billet retour. Le défi est donc simple : on a 1h30 avant la fin de l'embarquement pour trouver des billets retour sinon, on perd les billets aller/retour de Bali et on doit passer 2 semaines à survivre en Australie, le pays où la vie est plus chère !
¡Buf! No me he puesto tan nerviosa como este día en mucho tiempo. Corriendo fuimos a un punto para captar Internet, buscar las líneas más baratas y comprar los billetes, otra vez. Pero ¿cuál fue nuestra sorpresa? Que cuando casi íbamos a validar la compra nos dimos cuenta que la misma página lo cambiaba automáticamente al 14 de Octubre!!! Lo cual era imposible porque ese día ya había pasado. Corre que te corre a buscar el mostrador de Virgin Australia y explicarles lo que pasaba, que hicieran algo porque al final íbamos a perder el avión!!! Como siempre, te dan un numero de teléfono para que llames tu y te lo soluciones tu solito, pero visto que era un contestador automático y que estábamos de los nervios, volvimos al mostrador para que lo solucionaran ellos. ¿Cuál fue la solución? Que tuvimos que pagarnos dos billetes enteritos, sin reembolsarnos los anteriores ya que consideraban que era culpa nuestra por no haber chequeado antes de validar, ¡Que cabrones!
Je vous fait pas de dessin sur le niveau de stress atteint à ce moment là par Alicia, tous les voyants étaient au rouge... J'ai donc 1h30 pour essayer de limiter la casse et pas pourrir les vacances ou trouer le porte monnaie. En essayant de rester calme, on se connecte à internet pour voir si on peut échanger nos billets ou en payer de nouveaux. Echange impossible, ça aurait été trop beau... tant pis, le porte monnaie va prendre un pet... On refait la commande pour un billet retour au 14 novembre, on valide les étapes, et là surprise, au moment de valider on s'aperçoit que la date est à nouveau passée au 14 octobre !!! Je ne sais pas par quel putin de bug informatique ça peut s'expliquer, mais sur le coup on n'a pas le temps d'analyser tout ça. On reprend nos bagages et on cours jusqu'à un comptoir Virgin Australia, pour leur expliquer notre problème. Ils nous donnent juste le numéro d'une hotline et nous montre des cabines téléphoniques un peu plus loin... J'appelle, j'entends absolument rien car il y a un max de bruit autour, pas la peine d'insister, on retourne au guichet : appelez pour nous sinon on perd notre avion ! Et là une réponse que je n'attendais pas : « mais on n'a pas de téléphone... ». Oh les cons. On insiste lourdement jusqu'à ce qu'une femme envoie sa collègue chercher un téléphone pour appeler... 15 minutes sont passées avant que la bonne femme revienne avec un téléphone, ils appellent, il nous reste 10 minutes avant que l'enregistrement ne soit fermé... Quelques échanges téléphoniques plus tard, on a enfin racheté nos billets retour, 700€ pour la déconne, et on court à l'enregistrement avec notre preuve ! On est bien sûr les derniers à s'enregistrer sur le vol...
Así que el viaje a Bali no empezó con muy buen pie, con 700 euros menos, con los cuales contábamos para pagarnos la estancia de 2 semanas allí... ¡Un bajón! Adri se empeñó que era culpa suya y que el iba a pagar ese dinero, pero la culpa en realidad fue de estos mamones de Virgin Australia.
Un dernier sprint avec les bagages sur le dos pour aller à l'embarquement (à l'autre bout de l'a bien sûr), et on est fin prêts à s'asseoir dans l'avion et essayer de faire retomber la pression... C'est pas le départ idéal pour nos vacances à Bali, mais tant bien que mal on va pouvoir découvrir ce coin du globe !
Llegada a Kuta – Arrivée à Kuta
Gracias a Florian, un amigo que ya había ido a Bali, sabíamos que Kuta no era la ciudad de en sueño para pasar las vacaciones, y cierto es. ¡Es un agobio de ciudad! Estas semi obligado a pasar una noche allí porque es la ciudad mas cercana del aeropuerto, pero si puedes evitarlo es mejor. Motos por todos lados, australianos súper jóvenes que van allí de fiesta y van súper trompas por la calle, gente agobiándote y siguiéndote para que les compres setas alucinógenas, o para venderte transporte, manicuras, pedicuras, masajes... ¡Un agobio!
On avait déjà été briffé (merci Florian!) que Kuta n'était pas la ville rêvée pour passer des vacances tranquilles. Et ça se vérifie ! On s'y arrête car c'est la ville la plus proche de l'aéroport et que l'on est arrivé vers 22 heures. On est de suite marqué par l'ambiance particulière : jeunes australiens bourrés aux 4 coins de rue, bars discothèques musique à donf, les locaux qui te sautent dessus dès qu'ils te voient pour te proposer leurs services (taxi, hôtel, restaurant, boutique, champignons magiques...), massages... pesant l'atmosphère !
Pero por otra lado este sitio está bien si quieres aprender a hacer surf, ya que las olas son siempre pequeñitas y muy regulares. Pues por eso pasamos un día entero en Kuta, para empezar a planificar el resto del viaje y hacer surf. ¡Madre mía que difícil! Equilibrio cero encima de una tabla, y si encima tu “monitor” tampoco es que sea muy avispado para enseñar... jajaja . Me caía todo el tiempo, me dio un calambre de estos horroroso en el dedo del pie que te deja paralizado, me raspé toda la tripa y el pecho... ¡Normal! Nadie te avisa allí de que si no te pones una camiseta te quedas en carne viva!!! Estuvo gracioso, pero está claro que si quieres aprender a hacer surf como dios manda, más vale pagar un poco más y probar con una escuela de surf, no pagar 10 euros cada uno a dos personajillos que vete tu a saber si ellos mismo saben surfear .
Le point fort de Kuta ça reste quand même la mer, et surtout le fait que ça reste le spot idéal pour apprendre à surfer ! Vagues régulières, taille moyenne, idéal pour se lancer. Du coup on s'est offert notre première leçon de surf pour quelques euros seulement avec des moniteurs locaux bien sûr, qui te donnent 3 conseils dans les 10 premières minutes, et après tu te débrouilles avec ta planche. Et là c'est parti : prise d'information, moulinet des bras, tentative de se lever, grosse vautre, buvage de tasse, remontée du courant pour se replacer et c'est reparti ! Au final on n'a pas égalé Kelly Slater, mais on s'est levé quelques fois et les sensations sont bonnes, ça donne envie de s'y mettre.
Por lo demás, a parte de hacer surf, lo que puedes hacer en Kuta es darte un paseo para ver los templos hindúes, observar a la gente, como actúa con sus rituales y sus ofrendas que hacen cada mañana (ponen un cestito con incienso, flores y comida delante de cada establecimiento), lo bendicen echando unas gotas de agua con una flor que se llama Frangipan, darte un masaje y para finalizar ir a la playa a ver la puesta de Sol que es bastante bonita, si no fuera por la cantidad de gente que va a verla .
Sorti du surf, Kuta ça reste le point d'entrée de Bali, ça permet de s'acclimater un peu (chaleur, humidité, nourriture...), observer les rituels religieux locaux et apprécier le couché de soleil sur la plage.
A&A.