Adrien & Alicia : one year in New Zealand

STEWART ISLAND

Le 02/10/12, 7:29

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Empacamos todo en el hotel, y aunque vamos a volver para trabajar un finde alli otra vez, tenemos unos diejas para aprovechar y seguir visitando. Primera parada, Stewart Island.
Nos levantamos a las 6 de la mañana, auh Triste , tenemos tres horas de coche hasta llegar a Bluff, la “ciudad” (porque aquí tampoco es que se pueda llamar ciudad a nada, jeje) donde vamos a coger el ferry a las 11.30. El tiempo que hace es bastante guarrindongo, llueve, hace frío y viento Etonn , pero no pasa nada porque nos esperan 3 días de marcha cargados con nuestras mochilas, jajaja, vaya tela.


On quitte notre petit nid douillet après 3 mois de bons et loyaux services. On va y revenir pour bosser un WE de plus, mais là on a une quinzaine de jours devant nous pour reprendre la route et les visites. Premier arrêt : Bluff (tu bluffes Martoni !). A 3 heures de route de Queenstown tout au Sud, cette « ville » n’a qu’un seul intérêt : prendre le ferry pour se rendre à Stewart Island, la petite île complètement au sud du pays. Et nous on va passer 3 jours à randonner sur cette île Wink

Esta parte del país todavía no la habíamos visto, todo es bastante plano y tampoco muy bonito. Lo único que se ve son ovejas por todos lados, pero eso sí, cada una con dos corderitos chiquititos, ¡más majetes! En Agosto y Septiembre es la época del “laming” que dicen aquí, que es cuando todas las ovejas paren a la vez, también vaya trabajazo para los granjeros, jeje Se marre

Sur le trajet, pas de paysage fabuleux, étonnant pour la NZ ! Par contre, la route est bordée de prairies peuplées par des milliers de moutons !!! Et à cette époque de l’année, ce qui saute aux yeux c’est que chaque brebis est suivie à la trace par un ou deux petits agneaux. Entre août et octobre, c’est la période des naissances, quasiment le seul moment de l’année où l’on peut observer des petits agneaux, tellement ces bestioles grandissent vite !

FERRY

Como el tiempo está bastante pachucho, pues el mar más aún Mmmh . ¡Vaya menemos que metía el barco! Si lo llegamos a saber no pagamos el jet boat en Queenstown Razz . Al principio te ríes, pero yo terminé mareada y a puntito de echar la primera papilla, pero al final todo bien Se marre.

Pas de chance pour nous, le temps n’est pas terrible... il pleut averse, le vent souffle fort... du coup la mer est pour le moins agitée ! La traversée en ferry aura été pleine de rebondissements... de vague en vague ! Moi je constate que j’ai plutôt le pied marin, je trouvai même plutôt sympa les bonds successifs. Alicia trouvait ça sympa aussi au début, mais sur la fin beaucoup moins Embarras . Heureusement que ce n’est qu’une petite heure de traversée.





RAKIURA TRACK

El Rakiura Track es uno de los “great walks” que aconsejan hacer en Nueva Zelanda como de los más bonitos que hay. No tuvimos mucha suerte con el tiempo que hizo la verdad porque el primer y último día no hizo nada más que llover Crying or Very sad .

La Rakiura Track est classifiée parmis les « great walks » de NZ, une sélection des meilleures randos à faire sur le pays. On n’a pas été trop en réussite au niveau du temps : la pluie nous a accompagné plus ou moins tout au long de la marche ! Cette rando s’effectue sur 3 jours, nous allons donc passer 2 nuits dans des refuges. Du coup, on est chargés comme des mules avec nos sacs à dos remplis de fringues, de bouffe, matériel de cuisson, eau, duvets...

DE HALFMOON BAY A PORT WILLIAM

Como casi todas las marchas que estamos haciendo en Nueva Zelanda, todo estaba preparado para que sea fácil de caminar. El primer día se suponía que eran 5 horas de marcha pero hicimos trampas y cogimos una autobusillo que te lleva al principio del recorrido Se marre (esto fue porque si no las dos primeras horas eran caminando en la carretera, y como que hace menos gracia). Nada más llegar al principio del recorrido...PIM!!!! LAS MALDITAS SANDFLIES!!!! Estas moscas son odiosas!!! ¡Se te meten hasta debajo del pelo para morderte! Menos mal que nos aconsejaron una especie de aceite que no les gusta nada y no te pican tanto Smile . Las vistas son bonitas pero no es lo más espectacular que hemos visto por el momento, también puede ser porque el día estaba gris y lloviendo.

Le premier jour est annoncé à 5 heures de marche. D’entrée on triche un peu et on prend une navette qui nous fait gagner 2 heures. Flemmardise ? Que nenni ! C’est juste que la première partie s’effectue en bord de route et n’a donc pas d’intérêt. On attaque donc direct dans la forêt ! Enfin, d’abord on pique-nique, c’est pas bon de partir le ventre vide Se marre. Il ne pleut pas (encore...), on est en bord de mer, tout pourrait être parfait. Mais c’était sans compter sur nos amis les sandflies Evil or Very Mad ! Heureusement on est équipés d’une petite lotion qui les fait fuir. Assez efficace. On commence finalement notre rando. Le sentier passe de la forêt au bord de mer, c’est joli mais on a déjà vu mieux en NZ. Le fait que le ciel soit bien gris doit jouer aussi, surtout qu’après 15 minutes de marche, la pluie a commencé à tomber et ne nous a pas lâché jusqu’au refuge !





Al llegar a la cabaña donde íbamos a pasar la noche ¿Qué nos encontramos? UNA CHICA DE TOULOUSE, Raphaelle! ¡Qué tía más maja! Ella estaba allí para 10 días!!! Choqu , con su tienda de campaña y contándonos sus primeras noches ella sola con su fuego y pensando en el “psicópata” que iba a venir a por ella, jajaja, un solete de chica. En la cabaña también había una familia de Dinamarca gracias a los cuales vimos a los Kiwis!!!! OLEEEEE!!!! Si Stewart island ha merecido la pena es por esto, ver los kiwis. Aunque por lo visto es super complicado de verles, y te ponen mil reglas (las cuales nos las saltamos casi todas) que si no les hagas fotos, no les sigas por el bosque... Pero cuando los ves es imposible!!! Quieres fotos y más fotos!!! Solo salen por la noche y los vimos porque Adri empezó a escuchar como estornudos entre las ramas ¡Pero no son estornudos claro! Es el kiwi que mete el pico en la tierra para cazar las lombrices y las absorbe como un spaghetti!! Jajaja, ¡qué salao! Primer día muy completo y nos lo pasamos muy bien con Raphaelle.

Arrivés au refuge Port William, trempes de la tête aux pieds, on a la bonne surprise de voir que l’on n’est pas tout seul : une famille de Danois est installée depuis quelques heures et du coup le poêle est allumé. Parfait ! On va pouvoir faire sécher toutes nos affaires Se marre. En plus des Danois, on a aussi rencontré une fille, française mais surtout... TOULOUSAINE !!!!! Faut le faire quand même : quelle était la probabilité de trouver une « voisine » dans un refuge perdu sur une île quasi déserte du bout du monde ??? Raphaëlle est super esprit, on a vraiment passé une bonne soirée avec elle même si elle a quand même un gros défaut : elle n’a pas l’accent Razz ! Elle est partie toute seule avec sa tente et devait passer 10 jours sur l’île... mais elle nous a fait marrer en nous racontant sa première nuit et comment elle se faisait des films en imaginant qu’un psychopathe s’approchait de sa tente à chaque petit bruit ! Ajoutez le vent et la pluie, et vous comprenez pourquoi elle a décidé de s’abriter dans les refuges pour la suite de son aventure Cool . Elle fait un blog, ou plutôt un site internet (elle est web designer, ça aide !), allez y jeter un œil à vos heures perdues, elle a fait quelques montages vidéos bien sympas ! (Blog Raphaëlle)
La grosse attraction autour de Port William, c’est que la nuit venue, on peut apercevoir des kiwis (les oiseaux) qui sortent pour manger des vers de terre. On est donc partis en chasse au kiwi entre toulousains, armés de nos frontales et appareils photos, direction la forêt ! Au bout d’un moment, j’entends un espèce d’éternuement répétitif... je balaye la zone avec ma frontale, et BINGO ! un kiwi ! Le bruit c’est parce qu’ils enfoncent leur long bec dans la terre pour attraper un vers, avant de l’aspirer comme un spaghetti... Normalement, on doit respecter quelques règles quand on trouve un kiwi Mmmh : pas de lumière dans sa direction (frontale, flash), pas s’approcher à moins de 5 mètres, ne pas les poursuivre, ne pas les prendre dans nos bras. On doit confesser qu’a part le dernier point, on a transgressé toutes les règles ! Mais bon, c’est pas tous les jours qu’on trouve un kiwi, on a d’ailleurs eu de la chance d’en voir, beaucoup repartent brecouille de leur « chasse » au kiwi Se marre.











DE PORT WILLIAM A NORTH ARM HUT

Esta parte fue más fastidiada aunque no nos llovió. Todo el recorrido es atravesando el bosque de helechos (como todos los bosques que hay aquí prácticamente), lo único es que el camino es un barrizal, prácticamente cuesta arriba y 6horas (aunque te lo haces en menos). Al final no podíamos ya más con la mochila y al llegar a la cabaña solo había una pareja de Nueva Zelanda que tampoco tenían muchas ganas de hablar, así que nos comimos nuestros noodles (unos spaguettis baratuchos que pesan poco) y a la cama prontito y sin ver ningún kiwi, nada que ver con la noche anterior.

Ce passage de 6 heures (un peu moins en fait) permet de passer d’un côté de l’île à l’autre. Du coup c’est moins intéressant car on ne longe pas la mer, c’est que de la forêt (beaucoup de fougères bien sûr...). Ca monte pas mal par moments, et comme il a plu la veille, on doit éviter quelques mares de boue... Au refuge, on se retrouve juste avec un couple de néo-zélandais pas très bavards. On se contente donc de préparer notre bon repas (soupe en sachet et noodles... Triste ) et direct au lit !







DE NORTH ARM HUT A HALF MOON BAY

Si nos hizo mal tiempo el primer día... esto ya fue el triple!! Vaya un tormentón y airazo que hacía. Estábamos todavía dentro de la cabaña pensándonoslo dos veces antes de salir, pero luego te acostumbras rápido a caminar lloviendo, además que esta parte era súper fácil y en llano, así que puedes caminar sin mirar mucho donde pisas y pensar en nuevos “pájaros”, que surgieron unos cuantos Se marre.
Al llegar al final del Rakiura Track vimos la dichosa y buscada señal de ¡cuidado kiwis! Fotito al canto y vámonos al ferry que las vacas nos esperan, nuestro próximo helpx.


Comme le premier jour, la pluie est de la partie... mais ce tronçon est plat et longe la mer donc ça passe vite ! Ca permet juste de profiter des bienfaits de la marche, se mettre dans sa bulle et se poser des questions existentielles : qu’est ce qu’on va faire en rentrant ? et dans 10 ans ? pourquoi les kiwis n’ont pas d’ailes ? qu’est-ce qu’on va bouffer ce soir ? qui va être sélectionné pour le prochain match de l’équipe de France ? Se marre
Sortis de notre forêt, on prend la photo typique à côté du panneau « attention, kiwis » et on se rapproche du ferry. Les vaches nous attendent pour notre prochain HelpX !



A&A.

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Adrien Alicia
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