Le 29/01/16, 7:37
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On rejoint Te Anau dans le Fjordland pour notre premier long trek sur la Kepler Track. On prépare notre gros sac avec 4 jours de conserves, légumes, pâtes instantanées, soupes et plats déshydratés.
Le chemin commence à travers une forêt de fougères dans une ambiance tropicale humide (mis à part les 10°C ambiants). Puis la forêt entière se recouvre de mousse. On compte au moins une vingtaine d'espèces différentes arrangées en petits jardins japonais.
En sortant du « bush » (forêt en néo-zélandais), on entre dans une autre forêt... de nuages. En arrivant au gîte, le ranger nous initie aux mystères de la flore alpine à défaut de nous parler de la géologie du lac et des montagnes environnantes cachés derrière une épaisse couche de brouillard.
"Think small" nous explique-t-il : à cause des vents violents, toutes les espèces de plantes se sont miniaturisées et ont développé des méthodes pour éviter la sécheresse. Et quand on y regarde de près, la faune est effectivement très intéressante (ça tombe bien, il n'y a rien d'autre à voir).
Lors d'un pique-nique, on fait la connaissance du kéa, le seul perroquet de montagne, une grosse boule de plume plutôt intelligente qui a failli enfermer Alice aux toilettes.
Vue la météo, nous avons toute la journée du lendemain pour réviser nos connaissances et reconnaître les espèces de « daisy » (marguerite), de « dragon tongue » et de « curly grass ». Nous redescendons ensuite dans la forêt de mousse et de fougères pour notre prochain gîte près d'une cascade.
Pendant une petite balade nocturne près du gîte, nous avons aperçu furtivement... un kiwi ! Avec sa forme de poire en plumes de la taille d'une grosse poule, son long bec et ses moustaches, il est quand même mignon. Les petits oiseaux sont moins timides et viennent parfois virevolter autour de notre tête, particulièrement le « Fantail » avec sa queue en éventail qui vole comme une feuille morte ou encore le Robin sautillant et un brin provoquant qui vient dénicher des vers de terre à nos pieds.
Le chemin commence à travers une forêt de fougères dans une ambiance tropicale humide (mis à part les 10°C ambiants). Puis la forêt entière se recouvre de mousse. On compte au moins une vingtaine d'espèces différentes arrangées en petits jardins japonais.
En sortant du « bush » (forêt en néo-zélandais), on entre dans une autre forêt... de nuages. En arrivant au gîte, le ranger nous initie aux mystères de la flore alpine à défaut de nous parler de la géologie du lac et des montagnes environnantes cachés derrière une épaisse couche de brouillard.
"Think small" nous explique-t-il : à cause des vents violents, toutes les espèces de plantes se sont miniaturisées et ont développé des méthodes pour éviter la sécheresse. Et quand on y regarde de près, la faune est effectivement très intéressante (ça tombe bien, il n'y a rien d'autre à voir).
Lors d'un pique-nique, on fait la connaissance du kéa, le seul perroquet de montagne, une grosse boule de plume plutôt intelligente qui a failli enfermer Alice aux toilettes.
Vue la météo, nous avons toute la journée du lendemain pour réviser nos connaissances et reconnaître les espèces de « daisy » (marguerite), de « dragon tongue » et de « curly grass ». Nous redescendons ensuite dans la forêt de mousse et de fougères pour notre prochain gîte près d'une cascade.
Pendant une petite balade nocturne près du gîte, nous avons aperçu furtivement... un kiwi ! Avec sa forme de poire en plumes de la taille d'une grosse poule, son long bec et ses moustaches, il est quand même mignon. Les petits oiseaux sont moins timides et viennent parfois virevolter autour de notre tête, particulièrement le « Fantail » avec sa queue en éventail qui vole comme une feuille morte ou encore le Robin sautillant et un brin provoquant qui vient dénicher des vers de terre à nos pieds.