Le 01/06/16, 1:45
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En arrivant à Yosemite, nous avions prévu de dormir ici...
Puis nous nous sommes ravisés : le camping près d’une rivière un peu plus bas n’était pas si mal !
Une bonne partie du parc est encore sous la neige, mais le soleil brille et les températures sont très agréables. Nous partons nous promener dans la vallée où ici, la neige a cédé sa place aux touristes. Le printemps est la période idéale pour les cascades : la plus haute d’Amérique du Nord (Yosemite fall) et la cascade Vernal, qui est l’aboutissement d’un long toboggan de granit. Il y a tellement d’eau que la rivière déborde de son lit.
Les dômes de granit et les toboggans nous rappellent Cochamo, au Chili, qui était très justement comparé à Yosemite.
Le lendemain, nous faisons une randonnée dans une partie un peu plus sauvage et moins fréquentée.
Elle est aussi plus en altitude et, malgré les avertissements du ranger, nous avons été surpris par la quantité de neige. Sans marque sur les arbres et avec seulement quelques personnes avant nous pour marquer les traces, nous nous sommes perdus plusieurs fois. Heureusement la technologie est venue à notre rescousse et le GPS nous a sorti de là ! Le chemin suit un bout du John Muir Trail, une randonnée d’une dizaine de jours que nous aurions faite si nous avions eu plus de temps. Mais avec tant de neige, nous avons plaint les quelques intrépides qui se lançaient dans l’aventure avec juste une boussole et un sac de 15 kg.
Pour arriver au lac au bout du chemin, nous passons une heure à essayer de contourner les rivières sans effondrer les ponts de neige un peu incertains. Nous finissons par traverser pieds nus pour atteindre le lac gelé. Le retour est heureusement plus simple et nous sommes très contents d’avoir fait cette randonnée (et de ne pas camper là-haut).
Puis nous nous sommes ravisés : le camping près d’une rivière un peu plus bas n’était pas si mal !
Une bonne partie du parc est encore sous la neige, mais le soleil brille et les températures sont très agréables. Nous partons nous promener dans la vallée où ici, la neige a cédé sa place aux touristes. Le printemps est la période idéale pour les cascades : la plus haute d’Amérique du Nord (Yosemite fall) et la cascade Vernal, qui est l’aboutissement d’un long toboggan de granit. Il y a tellement d’eau que la rivière déborde de son lit.
Le lendemain, nous faisons une randonnée dans une partie un peu plus sauvage et moins fréquentée.
Elle est aussi plus en altitude et, malgré les avertissements du ranger, nous avons été surpris par la quantité de neige. Sans marque sur les arbres et avec seulement quelques personnes avant nous pour marquer les traces, nous nous sommes perdus plusieurs fois. Heureusement la technologie est venue à notre rescousse et le GPS nous a sorti de là ! Le chemin suit un bout du John Muir Trail, une randonnée d’une dizaine de jours que nous aurions faite si nous avions eu plus de temps. Mais avec tant de neige, nous avons plaint les quelques intrépides qui se lançaient dans l’aventure avec juste une boussole et un sac de 15 kg.
Pour arriver au lac au bout du chemin, nous passons une heure à essayer de contourner les rivières sans effondrer les ponts de neige un peu incertains. Nous finissons par traverser pieds nus pour atteindre le lac gelé. Le retour est heureusement plus simple et nous sommes très contents d’avoir fait cette randonnée (et de ne pas camper là-haut).