Le 06/06/11, 16:01
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J’en profite pour vous parler un peu d’Hanoi, la capitale du Vietnam. C’est une ville pleine d’énergie, du monde, des motos a gogo, plein de petites boutiques, des petits resto de rue, des cafés, des micro brasseries de rue où l’on savoure une pression bien fraiche, des vendeurs à la sauvette, des vietnamiens qui font de la gym tonique en pleine rue... Bref, ca grouille de partout et on adore! A chaque coin de rue, il y a quelque chose à voir. La ville dégage une ambiance très sympathique, typiquement asiatique. Pas de grattes ciels modernes comme à Bangkok, ce n’est pas une ville « bling bling ». C’est au contraire très simple et c’est aussi cet aspect que nous apprécions particulièrement.
Nous nous baladerons quelques heures dans la vieille ville, en nous laissant aller dans un dédale de petites ruelles. Parmi nos visites, nous avons vraiment aime le musée d’ethnologie qui nous a permis d’en savoir plus sur les minorités ethniques (très utile avant notre trek à Sapa) et découvrir les différentes formes d’habitat grâce à la reconstitution de maisons typiques dans lesquelles nous pouvons rentrer pour y visiter les cuisines, chambres... Très intéressant.
Les taxis d’Hanoi nous donnent en revanche du fil à retordre. Petite anecdote marrante qui vaut bien quelques lignes : nous prenons un premier taxi pour nous rendre au temple de la littérature. On demande au chauffeur de mettre en marche son compteur, ce qu’il fait. Nous payons tout de même un prix exorbitant pour une course de 5 minutes, le compteur est visiblement trafiqué. Pour la 2eme course, nous lui demandons avant combien cela va nous couter à peu près, juste pour avoir un ordre de prix. Il nous annonce autour de 100 000 dongs ; on est ok. Il met son compteur en route. Nous arrivons à destination et le compteur affiche 72000 dongs. On lui donne 100 000 et il ne veut pas nous rendre notre monnaie sous prétexte qu’il nous a dit 100 000 auparavant. Nous insistons, il ne veut pas. Nous ne sommes pas contents et sommes bien décidés à essayer de récupérer cet argent qui ne représente vraiment rien en euros (1 euro en fait !) mais c’est sur le principe que nous ne sommes pas d’accord. Adrien descend de la voiture et appelle la compagnie de taxi (le numéro est inscrit sur la voiture) pendant que moi je reste a l’intérieur avec la porte ouverte. Le conducteur commence à s’énerver et me fait signe de partir. Je lui dis que je reste là tant qu’il n’aura pas rendu l’argent. Adrien est en communication avec plusieurs personnes qui essaient de comprendre son histoire. Tout d’un coup, le conducteur plus que furax commence à partir avec moi toujours dans la voiture et la porte ouverte ! Je lui dis de stopper mais il continue. Au bout de quelques mètres, voyant qu’il s’énerve de plus en plus et devient même agressif, je décide de fermer la porte pour qu’il stoppe. Je descends et pars en claquant la porte, furax. Je rejoins Adrien toujours en communication. La compagnie de taxi nous rappellera plusieurs fois. Ils nous disent qu’ils veulent nous rembourser l’argent. Quelques jours passent, nous partons à Sapa et en revenant, qui nous rappelle ? Encore la compagnie de taxi qui veut absolument nous rembourser. Ils viendront quelques heures plus tard déposer 30 000 dongs à l’hôtel ! On hallucine ! On ne pensait pas que notre appel allait aboutir à qqche. Le chauffeur de taxi a du prendre un sacré savon et nous sommes bien contents !
Nous ne prendrons plus de taxi par la suite. Nous nous mettrons à la mode locale c'est-à-dire le taxi moto (à trois sur la moto, haha !), bien plus pratique et on peut négocier le prix avant.
Nous nous baladerons quelques heures dans la vieille ville, en nous laissant aller dans un dédale de petites ruelles. Parmi nos visites, nous avons vraiment aime le musée d’ethnologie qui nous a permis d’en savoir plus sur les minorités ethniques (très utile avant notre trek à Sapa) et découvrir les différentes formes d’habitat grâce à la reconstitution de maisons typiques dans lesquelles nous pouvons rentrer pour y visiter les cuisines, chambres... Très intéressant.
Les taxis d’Hanoi nous donnent en revanche du fil à retordre. Petite anecdote marrante qui vaut bien quelques lignes : nous prenons un premier taxi pour nous rendre au temple de la littérature. On demande au chauffeur de mettre en marche son compteur, ce qu’il fait. Nous payons tout de même un prix exorbitant pour une course de 5 minutes, le compteur est visiblement trafiqué. Pour la 2eme course, nous lui demandons avant combien cela va nous couter à peu près, juste pour avoir un ordre de prix. Il nous annonce autour de 100 000 dongs ; on est ok. Il met son compteur en route. Nous arrivons à destination et le compteur affiche 72000 dongs. On lui donne 100 000 et il ne veut pas nous rendre notre monnaie sous prétexte qu’il nous a dit 100 000 auparavant. Nous insistons, il ne veut pas. Nous ne sommes pas contents et sommes bien décidés à essayer de récupérer cet argent qui ne représente vraiment rien en euros (1 euro en fait !) mais c’est sur le principe que nous ne sommes pas d’accord. Adrien descend de la voiture et appelle la compagnie de taxi (le numéro est inscrit sur la voiture) pendant que moi je reste a l’intérieur avec la porte ouverte. Le conducteur commence à s’énerver et me fait signe de partir. Je lui dis que je reste là tant qu’il n’aura pas rendu l’argent. Adrien est en communication avec plusieurs personnes qui essaient de comprendre son histoire. Tout d’un coup, le conducteur plus que furax commence à partir avec moi toujours dans la voiture et la porte ouverte ! Je lui dis de stopper mais il continue. Au bout de quelques mètres, voyant qu’il s’énerve de plus en plus et devient même agressif, je décide de fermer la porte pour qu’il stoppe. Je descends et pars en claquant la porte, furax. Je rejoins Adrien toujours en communication. La compagnie de taxi nous rappellera plusieurs fois. Ils nous disent qu’ils veulent nous rembourser l’argent. Quelques jours passent, nous partons à Sapa et en revenant, qui nous rappelle ? Encore la compagnie de taxi qui veut absolument nous rembourser. Ils viendront quelques heures plus tard déposer 30 000 dongs à l’hôtel ! On hallucine ! On ne pensait pas que notre appel allait aboutir à qqche. Le chauffeur de taxi a du prendre un sacré savon et nous sommes bien contents !
Nous ne prendrons plus de taxi par la suite. Nous nous mettrons à la mode locale c'est-à-dire le taxi moto (à trois sur la moto, haha !), bien plus pratique et on peut négocier le prix avant.