Le 06/07/12, 20:32
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Après la dernière soirée, le départ à 6h du matin n’est pas évident et une longue journée de bus nous attend : 5h jusqu’à Monteria puis 6h de mini van bondé sans clim sur un chemin plus que chaotique jusqu’á Turbo. Finalement le mini van nous laisse au milieu de la ville et sans indication sur l’endroit ou nous nous trouvons. Heureusement, une famille colombienne est descendue en même temps que nous et nous conseille l’hôtel ou elle se rend qui est à côté du port.
Le lendemain matin, toujours accompagnés de Matt, nous partons pour Capurgana. Pas de chance la mer est agitée et les conducteurs du bateau veulent arriver au plus vite. La première demi-heure était vraiment marrante, les bons que fait le bateau grâce aux creux des vagues sont impressionnants mais les trois heures suivantes on a surtout eu mal aux fesses. On a toutes fois eu la chance de voir des dauphins relativement grands sur le chemin.
Apres avoir posé nos affaires, nous partons tout de suite a la recherche du propriétaire de l’agence d’excursions pour les iles San Blas. On finira par le trouver le lendemain. L’excursion que nous voulons faire pour les iles n’est pas disponible car la majorité des personnes qui sont présentes à ce moment veulent seulement passer au Panama. Qu’à cela ne tienne, on va se débrouiller autrement. On demande au patron de l’agence de nous débarquer sur une ile habitée par des indigènes (les Kunas) et on fait tout par nos propre moyens jusqu’au retour du bateau 3 jours plus tard.
Nous partons deux jours plus tard. Après une traversée pluvieuse et 2 h au poste d’immigration, nous arrivons trempés dans le village. Nous avons à peine le temps de dire au revoir a Matt qui continu vers le Panama qu’un jeune homme nous emmène à l’hôtel du village. Il s’agit de petites cabañas sur pilotis dans lesquelles sont pendues deux hamacs. Les toilettes sont dans une petite cabane à coté et donne directement dans la mer. Nous sommes les seuls touristes présents sur l’île. Nous sommes arrivés au milieu d’une sorte de kermesse pour les enfants, la musique est à fond et tout le monde danse, nous essayons de nous faire discrets mais toutes les petites filles veulent danser avec Alex, nous y passons un moment puis nous allons nous coucher.
Le lendemain, nous partons avec le jeune homme qui nous a emmenés à l´hôtel (Alex !!!) sur une ile déserte profiter de la plage et de la lagune puis faire de la plongée pour voir les coraux et les poissons, nous finissons la journée en explorant en canoë les mangroves et les iles environnantes. Le seul restaurant de l’ile fait des plats délicieux à base de poissons, et Alex teste même la langoustine fraichement pêchée.
Le jour suivant, nous partons avec le bateau à moteur explorer des iles plus éloignées et visiter d’autres villages indigènes. Les gens du village sont très accueillants et les enfants adorent nous poser des questions. Il n’est pas toujours évident de ce comprendre car ici la langue officielle est le Kunas et les enfants apprennent l’espagnol à l’école.
Pour notre dernière matinée, nous repartons sur la première ile déserte profiter du calme et le la mer cristalline avant notre dernière semaine de voyage qui s’annonce chargée. Rejoindre Quito depuis Capurgana n’est pas une mince affaire.
Le lendemain matin, toujours accompagnés de Matt, nous partons pour Capurgana. Pas de chance la mer est agitée et les conducteurs du bateau veulent arriver au plus vite. La première demi-heure était vraiment marrante, les bons que fait le bateau grâce aux creux des vagues sont impressionnants mais les trois heures suivantes on a surtout eu mal aux fesses. On a toutes fois eu la chance de voir des dauphins relativement grands sur le chemin.
Apres avoir posé nos affaires, nous partons tout de suite a la recherche du propriétaire de l’agence d’excursions pour les iles San Blas. On finira par le trouver le lendemain. L’excursion que nous voulons faire pour les iles n’est pas disponible car la majorité des personnes qui sont présentes à ce moment veulent seulement passer au Panama. Qu’à cela ne tienne, on va se débrouiller autrement. On demande au patron de l’agence de nous débarquer sur une ile habitée par des indigènes (les Kunas) et on fait tout par nos propre moyens jusqu’au retour du bateau 3 jours plus tard.
Nous partons deux jours plus tard. Après une traversée pluvieuse et 2 h au poste d’immigration, nous arrivons trempés dans le village. Nous avons à peine le temps de dire au revoir a Matt qui continu vers le Panama qu’un jeune homme nous emmène à l’hôtel du village. Il s’agit de petites cabañas sur pilotis dans lesquelles sont pendues deux hamacs. Les toilettes sont dans une petite cabane à coté et donne directement dans la mer. Nous sommes les seuls touristes présents sur l’île. Nous sommes arrivés au milieu d’une sorte de kermesse pour les enfants, la musique est à fond et tout le monde danse, nous essayons de nous faire discrets mais toutes les petites filles veulent danser avec Alex, nous y passons un moment puis nous allons nous coucher.
Le lendemain, nous partons avec le jeune homme qui nous a emmenés à l´hôtel (Alex !!!) sur une ile déserte profiter de la plage et de la lagune puis faire de la plongée pour voir les coraux et les poissons, nous finissons la journée en explorant en canoë les mangroves et les iles environnantes. Le seul restaurant de l’ile fait des plats délicieux à base de poissons, et Alex teste même la langoustine fraichement pêchée.
Le jour suivant, nous partons avec le bateau à moteur explorer des iles plus éloignées et visiter d’autres villages indigènes. Les gens du village sont très accueillants et les enfants adorent nous poser des questions. Il n’est pas toujours évident de ce comprendre car ici la langue officielle est le Kunas et les enfants apprennent l’espagnol à l’école.
Pour notre dernière matinée, nous repartons sur la première ile déserte profiter du calme et le la mer cristalline avant notre dernière semaine de voyage qui s’annonce chargée. Rejoindre Quito depuis Capurgana n’est pas une mince affaire.