Le 21/08/11, 16:24
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Aujourd’hui, nous travaillons à Villa Del Carmen. Mais lorsque nous arrivons au rendez-vous, notre programme de la journée semble compromis. Tous les hommes du villages sont réunis outils à la main. En effet, la communauté a prévu de réaménager sa place principale et tous ont été convoqués à participer aux travaux. Au moment où nous entrons dans la localité, les hommes sont en plein débat. Faut-il faire une ou deux rampes d’accès à la future place?
Mais nous avons sous-estimé les talents d’organisation des habitants. Cinq personnes ont été désignées au préalable pour travailler avec nous. Et parmi ces cinq personnes figure notamment le président de la communauté. Nous découvrons également que le passé de ce village est particulièrement bien documenté. Depuis des années, le compte rendu de toutes les réunions ou événements d’importance majeure est consigné dans un grand livre. Nous apprenons donc énormément.
Pour nous donner un peu plus de cœur à l'ouvrage, les bénéficiaires du projet ont prévu un peu de chicha à notre attention. Mais, étant donné qu’il n’y a qu’un verre pour tous, on n’a pas vraiment le temps de la savourer. Il faut boire cul-sec et passer au voisin.
En milieu d’après-midi, nous sommes à notre tour convoqués par le reste de la communauté qui veut en savoir un peu plus sur ce que nous «avons fabriqué » toute la journée. Nous laissons au Señor Javier le soin d’exposer notre projet. Les longs discours, ça le connait.
Mais nous avons sous-estimé les talents d’organisation des habitants. Cinq personnes ont été désignées au préalable pour travailler avec nous. Et parmi ces cinq personnes figure notamment le président de la communauté. Nous découvrons également que le passé de ce village est particulièrement bien documenté. Depuis des années, le compte rendu de toutes les réunions ou événements d’importance majeure est consigné dans un grand livre. Nous apprenons donc énormément.
Pour nous donner un peu plus de cœur à l'ouvrage, les bénéficiaires du projet ont prévu un peu de chicha à notre attention. Mais, étant donné qu’il n’y a qu’un verre pour tous, on n’a pas vraiment le temps de la savourer. Il faut boire cul-sec et passer au voisin.
En milieu d’après-midi, nous sommes à notre tour convoqués par le reste de la communauté qui veut en savoir un peu plus sur ce que nous «avons fabriqué » toute la journée. Nous laissons au Señor Javier le soin d’exposer notre projet. Les longs discours, ça le connait.