Le 23/08/11, 16:30
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Il faut bien se résigner à quitter le petit cocon de la maison Rupp à Boone, même si nous y avons passé des jours très heureux... Antoine et Maud ont passé des heures sur le piano et peuvent vous jouer « Au clair de la lune », « Sur le pont d’Avignon » et « Vive le vent » à 1 ou 2 mains, sur toutes les octaves et parfois en canon... Nous avons même imposé des limites horaires par égard pour les voisins... D’ailleurs, nous avons décidé de ne partir que le 15 Août au matin, et faire la route jusqu’à Washington d’une seule traite, pour profiter une dernière journée de la maison, dont il fallait que je fasse le ménage (avec des tapis et de la moquette partout...). Et pas question qu’il reste un grain de poussière... Mais je suis organisée... Ceux qui me connaissent le savent... Premièrement j’avais limité le champ d’action des Stella’s à quelques pièces... et chaussons pour tout le monde dès la porte du garage passée... Ah oui! Parce que l’on gare la voiture dans le garage s’il vous plait... Cela limite les dégâts...
Et puis j’ai fait amie amie avec Tyson! Le fort et musclé Tyson... De quoi faire pâlir Salva... D’ailleurs quand je commence avec Tyson... je n’arrive plus à le lâcher... C’est tellement agréable... un aspirateur efficace !!! Et oui ! Tyson c’est ainsi que j’ai baptisé l’aspirateur Dyson (marque anglaise peu distribuée en France), muni d’un rouleau brosse aspirant... Un plaisir de voir les miettes disparaitre dès le premier passage... Parce que je ne vous l’ai peut-être pas précisé, mais quand je dis qu’il y a des tapis partout... c’est vraiment partout, puisqu’il y en a même dans la cuisine... sous la table à manger... au milieu de l’espace où l’on cuisine! (là où raisonnablement l’on ne trouve que du carrelage...). Remarquez cela présente l’intérêt de ne pas voir les projections de graisses quand il y en a...
Autre anecdote (mais qui nous a contrarié sur le coup !)... Nous avons donc décidé de rester jusqu’au 15 au matin (comme il avait été précisé initialement dans notre contrat avec Dick et Mary). Mais quand nous les avons rencontrés à l’arrivée le 3 Août, nous avions évoqué la possibilité de partir peut-être dès le samedi 13 ou dimanche 14. Nous n’osions pas leur dire que cela dépendait de ce que nous trouverions à faire pour occuper la famille Stella... Nous avions invoqué la suite de notre voyage... Eux nous ont dit de ne pas nous en faire... Ils ne rentreraient que le lundi 15 dans la journée, car ils devaient déposer leur fils à l’aéroport de Washington le dimanche 14 puis passer chez des neveux qu’ils ne voyaient que rarement avant de rentrer à Boone. Et, en fait, (comme dit Maud), ils ont changé leur programme et sont rentrés directement de Washington dimanche en début de soirée après une journée de route sous un orage très violent, très fatigués... pour trouver les Stella en plein dans les valises et le ménage !!! Evidemment nous leur avons proposé de leur laisser leur chambre libre (il n’y avait qu’à changer les draps, le ménage était déjà fait, et c’est ce que nous nous sommes mis à faire aussitôt Salva et moi...).
Mais c’est ne pas connaître ces gens charmants qui ont insisté pour aller dormir à l’hôtel, et revenir le lendemain matin pour que nous puissions nous dire au revoir amicalement. Il est certain qu’ils semblaient très fatigués (ils ont tout de même respectivement 76 et 73 ans...) et allaient pouvoir se coucher plus tôt ainsi, car nous aurions immanquablement discuté une partie de la soirée (Mary est aussi (voire plus) bavarde que moi !!!).
C’est donc après de chaleureuses embrassades que nous les avons quittés lundi matin pour prendre la route vers Washington. Boone présente l’inconvénient d’être « un peu » isolé dans la montagne... Nous choisissons donc de repasser par notre chemin d’arrivée (qui « roulait » bien) pour remonter les Appalaches vers le Nord. Nous allons donc de nouveau passer par le Tennessee... Mais seulement sur quelques kms... Enfin !... Nous sommes passés par Mountain City, comme en atteste cette photo...
Ensuite nous gagnons rapidement la Virginie, vaste état au Nord de la Caroline du Nord qui, comme sa voisine s’étend des Appalaches jusqu’à l’Océan Atlantique. Après quelques compromis entre la route que je propose (au vu de la carte papier, car j’ai acheté un livre présentant les cartes de tous les états avec plan des principales villes... ma bible dès que je monte en voiture...), et celle que Mme GPS (et oui! en version Amérique du nord, nous sommes obligés de nous «farcir» la voix gracieuse de Mme... qui ne sait pas prononcer l’anglais... mais bon...) (et non! Je ne m’y fais pas !!!) veut nous imposer... nous arrivons à Sterling, dans la banlieue de Washington où nous trouvons l’Hôtel Sierra. (désolée pour la longueur de la phrase... mais des fois il faut bien dire ce que l’on a sur le cœur, et vous ne savez pas ce que j’endure avec cette Mme GPS... Et puis vous pouvez vous y reprendre à plusieurs fois en lisant... Vous n’êtes pas obligés de lire à voix haute... Sinon, effectivement, vous risquez l’apoplexie !!!).
Cet hôtel de luxe propose des studios où nous allons donc loger deux nuits tous les 6 (grosse économie d’une chambre... trouvé sur internet grâce aux prix « dernières minutes » par Salva, imbattable dans ce genre d’activité...). Il s’agit en fait d’une suite... Et Alexandre va avoir du mal à oublier le petit déjeuner gargantuesque et de qualité proposé...
Nous sommes tellement pressés de découvrir Washington D.C, que nous ne résistons pas à l’envie d’aller y faire un petit tour en voiture dès ce premier soir... juste pour voir... Et il y en a des choses à voir... Mais tout d’abord un peu d’histoire... ou de géographie... Sachez que Washington D.C est une capitale vraiment à part aux U.S.A... Ce n’est pas vraiment un vrai état, car bien que les citoyens payent les mêmes taxes fédérales que tous les citoyens des U.S.A, ils n’ont pas de représentants au congrès ! D’ailleurs ils le manifestent clairement, leur devise que l’on voit sur leur plaque automobile étant : Taxation whithout representation (whithout = sans). Il s’agit du District of Columbia (d’où D.C pour différencier de l’état de Washington qui se trouve sur la côte est, capitale Seattle).
Washington D.C a été conçue au tout début du XIX°s par les «pères fondateurs» (notamment Georges Washington et Thomas Jefferson), au moment même de la création de la jeune république, comme une capitale idéale, à l’image de la toute nouvelle Constitution (1787), qui se voulaient parfaites... Et c’est un français Pierre-Charles L’Enfant, un ingénieur militaire aux côtés des insurgés américains pendant la guerre d’indépendance, qui en est l’urbaniste émérite... Mais la croissance de la ville est très modeste à ses débuts, et il a même été question d’abandonner cette nouvelle capitale au profit de Philadelphie ou New York (plus attirante pour les congressmen : représentants des états au congrès). Mais les anglais, en mettant le feu aux bâtiments officiels à peine achevés, ont renforcé le sentiment d’orgueil des américains après la guerre, qui ont rebâti le Capitole réduit en cendres, et fait subir à la résidence présidentielle un ravalement complet de sa façade. C’est ce qui lui vaudra son surnom de maison blanche, puisque c’est plus blanche qu’avant qu’elle apparut après ce ravalement... La Maison Blanche était baptisée...).
Donc en surface, Washington n’est pas grand... Malgré leur vision avancée de l’avenir des Etats-Unis, les pères fondateurs n’avaient pas prévu une extension urbaine aussi importante... C’est la ville la plus propre, car il n’y a pas d’industries sales au sens propre du terme ( !!! excusez moi je n’en fais pas exprès !) puisque c’est l’administration et la politique qui y forment l’industrie principale... (propre ?). Et le tourisme, car les américains font régulièrement le voyage patriotique à la capitale pour parcourir les «Memorials» et se recueillir devant les stèles des générations précédentes qui ont laissé leur vie pour garantir la Pax Americana... Et tant que normands bercés par les souvenirs du débarquement de juin 1944, nous leurs en sommes aussi reconnaissants, même si nous ne partageons pas toute leur vision de la paix dans le monde...
D’ailleurs, nous commençons notre visite par le Pentagone situé à Arlington, sur la rive ouest du Potomac. Nous pourrons arriver assez près des bâtiments (gigantesques, d’une surface habitable trois fois supérieure à celle de l’Empire State Building, 7748 fenêtres), les parkings étant vides à cette heure de fin d’après-midi. Mais nous ne faisons qu’apercevoir le mémorial des 184 victimes du 11 Septembre 2001, suite au crash d’un avion kamikaze dans l’aile ouest.
La nuit tombe tranquillement et nous avons plaisir à voir s’illuminer progressivement les différents bâtiments sur Washington que nous rejoignons rapidement. Un tour sur le l’extrémité ouest du Mall (sorte de Champs de Mars entre le Capitole et le fleuve Potomac, qui reçoit la plupart des mémoriaux et des musées, et sur lequel s’ouvre perpendiculairement The Ellipse avec le Zero Milestone (point zero des bornes miles et non kilométriques) et la Maison Blanche en arrière plan... En remontant la Constitution Avenue, nous parvenons jusqu’à l’U.S Capitole que nous pouvons contourner à distance (grosse concentration policière avec rues fermées et voitures de police à tous les carrefours). Et nous redescendons sur Indépendance Avenue pour retourner à notre hôtel, en ayant une vision plus précise de ce que nous pourrons associer comme visites le lendemain... car nous n’avons qu’une envie... c’est d’être à demain pour voir de plus près tous ces immeubles et les différents trésors qu’ils abritent...
Je souhaiterais pour terminer vous dire un mot (ou deux) d’explication sur le fonctionnement du congrès (pouvoir législatif, comme en France) aux U.S.A. Il y a 2 chambres (comme en France) : le Sénat et la Chambre des Représentants. Chaque état envoi au Congrès deux sénateurs (donc 50 X 2 = 100 sénateurs). Le nombre de Représentants dépend du poids démographique de l’état (allant de 1 à 53 représentants) pour garantir une certaine représentation de la population, jusqu’à un total de 435 représentants. Pour en savoir plus, sur le rôle du Congrès, allez voir sur internet... Il y a sites généralistes qui vous donneront des renseignements très clairs...
Pour moi, cela me suffit...
A bientôt pour la suite...
Agnès
Et puis j’ai fait amie amie avec Tyson! Le fort et musclé Tyson... De quoi faire pâlir Salva... D’ailleurs quand je commence avec Tyson... je n’arrive plus à le lâcher... C’est tellement agréable... un aspirateur efficace !!! Et oui ! Tyson c’est ainsi que j’ai baptisé l’aspirateur Dyson (marque anglaise peu distribuée en France), muni d’un rouleau brosse aspirant... Un plaisir de voir les miettes disparaitre dès le premier passage... Parce que je ne vous l’ai peut-être pas précisé, mais quand je dis qu’il y a des tapis partout... c’est vraiment partout, puisqu’il y en a même dans la cuisine... sous la table à manger... au milieu de l’espace où l’on cuisine! (là où raisonnablement l’on ne trouve que du carrelage...). Remarquez cela présente l’intérêt de ne pas voir les projections de graisses quand il y en a...
Autre anecdote (mais qui nous a contrarié sur le coup !)... Nous avons donc décidé de rester jusqu’au 15 au matin (comme il avait été précisé initialement dans notre contrat avec Dick et Mary). Mais quand nous les avons rencontrés à l’arrivée le 3 Août, nous avions évoqué la possibilité de partir peut-être dès le samedi 13 ou dimanche 14. Nous n’osions pas leur dire que cela dépendait de ce que nous trouverions à faire pour occuper la famille Stella... Nous avions invoqué la suite de notre voyage... Eux nous ont dit de ne pas nous en faire... Ils ne rentreraient que le lundi 15 dans la journée, car ils devaient déposer leur fils à l’aéroport de Washington le dimanche 14 puis passer chez des neveux qu’ils ne voyaient que rarement avant de rentrer à Boone. Et, en fait, (comme dit Maud), ils ont changé leur programme et sont rentrés directement de Washington dimanche en début de soirée après une journée de route sous un orage très violent, très fatigués... pour trouver les Stella en plein dans les valises et le ménage !!! Evidemment nous leur avons proposé de leur laisser leur chambre libre (il n’y avait qu’à changer les draps, le ménage était déjà fait, et c’est ce que nous nous sommes mis à faire aussitôt Salva et moi...).
Mais c’est ne pas connaître ces gens charmants qui ont insisté pour aller dormir à l’hôtel, et revenir le lendemain matin pour que nous puissions nous dire au revoir amicalement. Il est certain qu’ils semblaient très fatigués (ils ont tout de même respectivement 76 et 73 ans...) et allaient pouvoir se coucher plus tôt ainsi, car nous aurions immanquablement discuté une partie de la soirée (Mary est aussi (voire plus) bavarde que moi !!!).
C’est donc après de chaleureuses embrassades que nous les avons quittés lundi matin pour prendre la route vers Washington. Boone présente l’inconvénient d’être « un peu » isolé dans la montagne... Nous choisissons donc de repasser par notre chemin d’arrivée (qui « roulait » bien) pour remonter les Appalaches vers le Nord. Nous allons donc de nouveau passer par le Tennessee... Mais seulement sur quelques kms... Enfin !... Nous sommes passés par Mountain City, comme en atteste cette photo...
Ensuite nous gagnons rapidement la Virginie, vaste état au Nord de la Caroline du Nord qui, comme sa voisine s’étend des Appalaches jusqu’à l’Océan Atlantique. Après quelques compromis entre la route que je propose (au vu de la carte papier, car j’ai acheté un livre présentant les cartes de tous les états avec plan des principales villes... ma bible dès que je monte en voiture...), et celle que Mme GPS (et oui! en version Amérique du nord, nous sommes obligés de nous «farcir» la voix gracieuse de Mme... qui ne sait pas prononcer l’anglais... mais bon...) (et non! Je ne m’y fais pas !!!) veut nous imposer... nous arrivons à Sterling, dans la banlieue de Washington où nous trouvons l’Hôtel Sierra. (désolée pour la longueur de la phrase... mais des fois il faut bien dire ce que l’on a sur le cœur, et vous ne savez pas ce que j’endure avec cette Mme GPS... Et puis vous pouvez vous y reprendre à plusieurs fois en lisant... Vous n’êtes pas obligés de lire à voix haute... Sinon, effectivement, vous risquez l’apoplexie !!!).
Cet hôtel de luxe propose des studios où nous allons donc loger deux nuits tous les 6 (grosse économie d’une chambre... trouvé sur internet grâce aux prix « dernières minutes » par Salva, imbattable dans ce genre d’activité...). Il s’agit en fait d’une suite... Et Alexandre va avoir du mal à oublier le petit déjeuner gargantuesque et de qualité proposé...
Nous sommes tellement pressés de découvrir Washington D.C, que nous ne résistons pas à l’envie d’aller y faire un petit tour en voiture dès ce premier soir... juste pour voir... Et il y en a des choses à voir... Mais tout d’abord un peu d’histoire... ou de géographie... Sachez que Washington D.C est une capitale vraiment à part aux U.S.A... Ce n’est pas vraiment un vrai état, car bien que les citoyens payent les mêmes taxes fédérales que tous les citoyens des U.S.A, ils n’ont pas de représentants au congrès ! D’ailleurs ils le manifestent clairement, leur devise que l’on voit sur leur plaque automobile étant : Taxation whithout representation (whithout = sans). Il s’agit du District of Columbia (d’où D.C pour différencier de l’état de Washington qui se trouve sur la côte est, capitale Seattle).
Washington D.C a été conçue au tout début du XIX°s par les «pères fondateurs» (notamment Georges Washington et Thomas Jefferson), au moment même de la création de la jeune république, comme une capitale idéale, à l’image de la toute nouvelle Constitution (1787), qui se voulaient parfaites... Et c’est un français Pierre-Charles L’Enfant, un ingénieur militaire aux côtés des insurgés américains pendant la guerre d’indépendance, qui en est l’urbaniste émérite... Mais la croissance de la ville est très modeste à ses débuts, et il a même été question d’abandonner cette nouvelle capitale au profit de Philadelphie ou New York (plus attirante pour les congressmen : représentants des états au congrès). Mais les anglais, en mettant le feu aux bâtiments officiels à peine achevés, ont renforcé le sentiment d’orgueil des américains après la guerre, qui ont rebâti le Capitole réduit en cendres, et fait subir à la résidence présidentielle un ravalement complet de sa façade. C’est ce qui lui vaudra son surnom de maison blanche, puisque c’est plus blanche qu’avant qu’elle apparut après ce ravalement... La Maison Blanche était baptisée...).
Donc en surface, Washington n’est pas grand... Malgré leur vision avancée de l’avenir des Etats-Unis, les pères fondateurs n’avaient pas prévu une extension urbaine aussi importante... C’est la ville la plus propre, car il n’y a pas d’industries sales au sens propre du terme ( !!! excusez moi je n’en fais pas exprès !) puisque c’est l’administration et la politique qui y forment l’industrie principale... (propre ?). Et le tourisme, car les américains font régulièrement le voyage patriotique à la capitale pour parcourir les «Memorials» et se recueillir devant les stèles des générations précédentes qui ont laissé leur vie pour garantir la Pax Americana... Et tant que normands bercés par les souvenirs du débarquement de juin 1944, nous leurs en sommes aussi reconnaissants, même si nous ne partageons pas toute leur vision de la paix dans le monde...
D’ailleurs, nous commençons notre visite par le Pentagone situé à Arlington, sur la rive ouest du Potomac. Nous pourrons arriver assez près des bâtiments (gigantesques, d’une surface habitable trois fois supérieure à celle de l’Empire State Building, 7748 fenêtres), les parkings étant vides à cette heure de fin d’après-midi. Mais nous ne faisons qu’apercevoir le mémorial des 184 victimes du 11 Septembre 2001, suite au crash d’un avion kamikaze dans l’aile ouest.
La nuit tombe tranquillement et nous avons plaisir à voir s’illuminer progressivement les différents bâtiments sur Washington que nous rejoignons rapidement. Un tour sur le l’extrémité ouest du Mall (sorte de Champs de Mars entre le Capitole et le fleuve Potomac, qui reçoit la plupart des mémoriaux et des musées, et sur lequel s’ouvre perpendiculairement The Ellipse avec le Zero Milestone (point zero des bornes miles et non kilométriques) et la Maison Blanche en arrière plan... En remontant la Constitution Avenue, nous parvenons jusqu’à l’U.S Capitole que nous pouvons contourner à distance (grosse concentration policière avec rues fermées et voitures de police à tous les carrefours). Et nous redescendons sur Indépendance Avenue pour retourner à notre hôtel, en ayant une vision plus précise de ce que nous pourrons associer comme visites le lendemain... car nous n’avons qu’une envie... c’est d’être à demain pour voir de plus près tous ces immeubles et les différents trésors qu’ils abritent...
Je souhaiterais pour terminer vous dire un mot (ou deux) d’explication sur le fonctionnement du congrès (pouvoir législatif, comme en France) aux U.S.A. Il y a 2 chambres (comme en France) : le Sénat et la Chambre des Représentants. Chaque état envoi au Congrès deux sénateurs (donc 50 X 2 = 100 sénateurs). Le nombre de Représentants dépend du poids démographique de l’état (allant de 1 à 53 représentants) pour garantir une certaine représentation de la population, jusqu’à un total de 435 représentants. Pour en savoir plus, sur le rôle du Congrès, allez voir sur internet... Il y a sites généralistes qui vous donneront des renseignements très clairs...
Pour moi, cela me suffit...
A bientôt pour la suite...
Agnès