Le 04/06/14, 4:45
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Chef-lieu de la province de Xieng Khuang, située à 1500 mètres d'altitude au milieu des massifs montagneux du centre du Laos, cette petite ville s'étend sur 3 km seulement et compte environ 60 000 habitants.
La région est le berceau d'une civilisation vieille de plus de trois millénaires comme en témoignent ces fameuses jarres taillées dans la pierre dont l'usage était probablement funéraire (ossements trouvés et traces de crémation).
Ponsavanh, c'est aussi le triste record d'être la ville la plus bombardée par les USA entre 1968 et 1973. On décide de louer des scooters et on part explorer le coin. Quand on se ballade dans la plaine des jarres, on peut encore voir certains critères de tailles impressionnantes. Il faut marcher sur les parcours aux bornes blanches, autrement dit les parcours déminés. Autant vous dire qu'on ne s'est pas amusés à sortir des sentiers battus ni de frôler les bornes rouges!! Encore de magnifiques paysages et des rizières à perte de vue!
La ville, en elle-même, ne présente pas de grand intérêt si ce n'est pour ses guesthouses et bars qui entourent leurs terrasses de bombes désactivées (ils le prennent plutôt bien dis donc!). Quand on voit la taille et certains engins, on se égalise à quelle point, la période a du été horrible pour les Laotiens... C'est plutôt triste de prendre conscience de ça à côté d'une bombes de 2m de haut...
Et pour marquer notre passage dans ce coin pas touristique du tout du Laos, on profite des tarifs basse saison et de la zone pour s'offrir la suite présidentielle du plus grand hôtel de Ponsavanh. 2 chambres, 2 sdb avec jacuzzi, salon et salle a manger: pas mal et le tout pour la modique somme de 45 euros pour trois personnes! La suite présidentielle, tu te l'offres au Laos, pas à Paris!
2 jours plus tard, départ pour Pakse et le plateau des Boloven pour 200 km de rando en moto, 18h de bus au programme, on vous racontera ce que ça a donné ^^
La région est le berceau d'une civilisation vieille de plus de trois millénaires comme en témoignent ces fameuses jarres taillées dans la pierre dont l'usage était probablement funéraire (ossements trouvés et traces de crémation).
Ponsavanh, c'est aussi le triste record d'être la ville la plus bombardée par les USA entre 1968 et 1973. On décide de louer des scooters et on part explorer le coin. Quand on se ballade dans la plaine des jarres, on peut encore voir certains critères de tailles impressionnantes. Il faut marcher sur les parcours aux bornes blanches, autrement dit les parcours déminés. Autant vous dire qu'on ne s'est pas amusés à sortir des sentiers battus ni de frôler les bornes rouges!! Encore de magnifiques paysages et des rizières à perte de vue!
La ville, en elle-même, ne présente pas de grand intérêt si ce n'est pour ses guesthouses et bars qui entourent leurs terrasses de bombes désactivées (ils le prennent plutôt bien dis donc!). Quand on voit la taille et certains engins, on se égalise à quelle point, la période a du été horrible pour les Laotiens... C'est plutôt triste de prendre conscience de ça à côté d'une bombes de 2m de haut...
Et pour marquer notre passage dans ce coin pas touristique du tout du Laos, on profite des tarifs basse saison et de la zone pour s'offrir la suite présidentielle du plus grand hôtel de Ponsavanh. 2 chambres, 2 sdb avec jacuzzi, salon et salle a manger: pas mal et le tout pour la modique somme de 45 euros pour trois personnes! La suite présidentielle, tu te l'offres au Laos, pas à Paris!
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