Le 04/02/14, 11:56
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Décidés à faire un tour en éléphants, on se renseigne sur les différents camps existants autour de Kanchanaburi pour pouvoir vivre notre expérience unique avec nos amis les pachydermes ! Beaucoup de controverse au sujet des camps d’éléphants en Thaïlande, on voulait donc trouver un endroit qui les traite bien et utilise une majeure partie des profits pour leurs soins.
Trouvé ! Le camp de TaweeChaï à 45 km de Kanchanaburi, nous arrivons en fin d’après-midi et à notre grand étonnement : QUASI PAS DE TOURISTES ! Yes, cela veut dire plus de privilèges pour nous ! On signe pour un tour d’une petite heure et une baignade avec les éléphants.
Il est aussi possible d’approcher des éléphanteaux et de les nourrir ; c’est assez marrant de les voir engloutir les bananes puis recracher la peau au loin. Un peu dur de les voir attacher avec peu de possibilités de déplacement mais ils ne semblent pas malheureux et sont même joueurs
Le tour est bien sympa avec une belle vue. Notre éléphants cueille des plantes et des fleurs pour que notre « chauffeur » nous fabrique de très belles couronnes végétales. Et la baignade... Quel moment privilégié !
Une baignade seuls avec une dizaine d’éléphants et seulement quelques thaïs pour nous accompagner. On se shampouine (ben oui ça se lave un éléphant), on s’amuse, on fait un câlin, on va sous l’eau ! Bref c’est génial !
Au bilan, on repart du camp tout contents et sans réaliser encore ce que l’on vient de vivre ! Là encore, il a fallu se retenir d’adopter un éléphanteau. Quand on a compris le nombre de kilos de nourriture nécessaires par jour, on s’est dit qu’on n’avait pas vraiment les moyens !
Pour les non habitués aux éléphants :
- Bien choisir le camp où aller : beaucoup de problèmes de maltraitance
- Un éléphant ça gratte. Non, un éléphant n’a pas le poil doux. Donc, pas de short, pas de robe, pas de jupe... et je vous laisse découvrir les photos pour comprendre pourquoi je donne ce conseil !
- Lors de la baignade, le concept de l’éléphant qui décide de te jeter de l’eau dessus pour jouer. Alors, ne pas croire qu’il va s’agir d’un « pssshiit » délicat, le registre, c’est plutôt « Prends toi 25 L d’eau dans la tête et essaie de ne pas t’évanouir ! ». Un éléphant, ça trompe énormément.
- Un éléphant, c’est costaud ! ça soulève tout et n’importe quoi sans la moindre difficulté.
Le lendemain, dernier jour à Kanchanaburi, on repart en scooter. Direction : la Vallée des Roses. Un endroit pas du tout touristique, complètement perdu dans la cambrousse thaïlandaise. On y découvre des paysages magnifiques au milieu des champs et un bout de jungle qui nous permettra d’approcher des singes en pleines acrobaties !
On trouve aussi une belle maison abandonnée dans des champs de roses proposant des locations de bungalows en bambou absolument magnifiques. On y tombera sur plusieurs petits chiots, minuscules, trop chou : dur de ne pas en embarquer un !
Un week-end à Kanchanaburi au top et encore une fois, qu’est-ce que ce pays est beau !
Trouvé ! Le camp de TaweeChaï à 45 km de Kanchanaburi, nous arrivons en fin d’après-midi et à notre grand étonnement : QUASI PAS DE TOURISTES ! Yes, cela veut dire plus de privilèges pour nous ! On signe pour un tour d’une petite heure et une baignade avec les éléphants.
Il est aussi possible d’approcher des éléphanteaux et de les nourrir ; c’est assez marrant de les voir engloutir les bananes puis recracher la peau au loin. Un peu dur de les voir attacher avec peu de possibilités de déplacement mais ils ne semblent pas malheureux et sont même joueurs
Le tour est bien sympa avec une belle vue. Notre éléphants cueille des plantes et des fleurs pour que notre « chauffeur » nous fabrique de très belles couronnes végétales. Et la baignade... Quel moment privilégié !
Une baignade seuls avec une dizaine d’éléphants et seulement quelques thaïs pour nous accompagner. On se shampouine (ben oui ça se lave un éléphant), on s’amuse, on fait un câlin, on va sous l’eau ! Bref c’est génial !
Au bilan, on repart du camp tout contents et sans réaliser encore ce que l’on vient de vivre ! Là encore, il a fallu se retenir d’adopter un éléphanteau. Quand on a compris le nombre de kilos de nourriture nécessaires par jour, on s’est dit qu’on n’avait pas vraiment les moyens !
Pour les non habitués aux éléphants :
- Bien choisir le camp où aller : beaucoup de problèmes de maltraitance
- Un éléphant ça gratte. Non, un éléphant n’a pas le poil doux. Donc, pas de short, pas de robe, pas de jupe... et je vous laisse découvrir les photos pour comprendre pourquoi je donne ce conseil !
- Lors de la baignade, le concept de l’éléphant qui décide de te jeter de l’eau dessus pour jouer. Alors, ne pas croire qu’il va s’agir d’un « pssshiit » délicat, le registre, c’est plutôt « Prends toi 25 L d’eau dans la tête et essaie de ne pas t’évanouir ! ». Un éléphant, ça trompe énormément.
- Un éléphant, c’est costaud ! ça soulève tout et n’importe quoi sans la moindre difficulté.
Le lendemain, dernier jour à Kanchanaburi, on repart en scooter. Direction : la Vallée des Roses. Un endroit pas du tout touristique, complètement perdu dans la cambrousse thaïlandaise. On y découvre des paysages magnifiques au milieu des champs et un bout de jungle qui nous permettra d’approcher des singes en pleines acrobaties !
On trouve aussi une belle maison abandonnée dans des champs de roses proposant des locations de bungalows en bambou absolument magnifiques. On y tombera sur plusieurs petits chiots, minuscules, trop chou : dur de ne pas en embarquer un !
Un week-end à Kanchanaburi au top et encore une fois, qu’est-ce que ce pays est beau !