Le 02/02/14, 18:55
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Comment décrire ce week-end de 4 jours (dur, dur le rythme) à part qu’il a été génial et étonnant...
Jeudi matin, nous partons en direction de Kanchanaburi, ville située dans l’ouest thaïlandais à quelques kilomètres de la Birmanie. C’est une province absolument superbe avec beaucoup de choses à faire et à découvrir. Il faudra donc qu’on y retourne mais en attendant, voici un aperçu de notre expérience là-bas.
Nous arrivons jeudi en début d’après-midi ; une fois les affaires déposées à l’hôtel, on part louer un scooter (cela va devenir une habitude dès qu’on part en excursion, quelqu’un a dû me communiquer sa passion pour les deux-roues ^^). 600 baht pour 4 jours : cool, c’est pas cher !
Première étape : découvrir un peu Kanchanaburi, sa rue principale, son marché et son fameux pont : le pont de la Rivière Kwaï. Ce pont ferroviaire de 300 m symbolise le dur labeur de ceux qui le construisirent. La partie centrale du pont a été détruite en 1945 par les Alliés et seules les travées extérieures incurvées sont d’origine. Un bel endroit, chargé d’histoire.
Du coup, le lendemain, nous décidons d’emprunter le fameux train de la mort (Death Railway) qui passe sur le célèbre pont et d’aller jusqu’à Nam Tok (2h30 de train à peu près), ce qui nous permettra de voir un peu de pays. Départ à 6h30 du matin (pas évident mais tout est dans le mental non ?). Un trajet 100% thaï – qui vont à l’école, au travail, un rythme qui nous semble éprouvant – le train est bondé mais le contrôleur nous repère très vite et nous invite à nous asseoir dans l’espace réservé au personnel. On a donc une fenêtre pour nous tous seuls pour découvrir de très beaux paysages. 6h30 du matin, c’est aussi le moyen de voir le lever du soleil au-dessus des montagnes et rizières (il fallait bien qu’on trouve un élément motivant pour nous convaincre de nous lever !).
Une fois arrivés à Nam Tok, on en profite pour faire un tour aux cascades de Saï Yok mais elles n’ont rien d’exceptionnelles et sont même décevantes (surtout après le parc national d’Erawan que l’on explore vendredi – voir post suivant). Par contre, on y trouve des arbres impressionnants avec des racines de notre taille. C’est aussi l’occasion de nous balader dans le marché de Nam Tok, d’acheter des bricoles (qu’on oubliera plus tard dans la journée dans le bus retour pour Kanchanaburi... no comment).
Convaincus que ça doit être bien sympa de faire un peu de canoë sur la rivière Kwaï, notamment pour admirer le pont sous un autre angle, on choisit de booker une descente de la rivière de 15 km dimanche après-midi, juste avant de rentrer à Bangkok. Le résultat est celui espéré : c’est magnifique et on termine juste à temps pour le coucher du soleil.
Et ce n’est pas fini (voir les post Kanchanaburi Partie 2 et Partie 3) ! Plus de 250 km parcourus en scooter, des éléphants, des singes, des paysages atypiques, de la jungle, TOUJOURS PAS d’araignées que je qualifierai d’inacceptables (JE SURVIS !) et aussi de l’abus : 4 massages sur 3 jours ! Un intégral, deux des pieds et un du visage. OUI, on a clairement abusé mais là pour le coup, on n’a pas pu résister et on ne regrette rien ! Enfin, Thomas peut-être un peu le dernier massage des pieds : il en est sorti en ayant plus que jamais conscience qu’il avait des pieds ^^
Jeudi matin, nous partons en direction de Kanchanaburi, ville située dans l’ouest thaïlandais à quelques kilomètres de la Birmanie. C’est une province absolument superbe avec beaucoup de choses à faire et à découvrir. Il faudra donc qu’on y retourne mais en attendant, voici un aperçu de notre expérience là-bas.
Nous arrivons jeudi en début d’après-midi ; une fois les affaires déposées à l’hôtel, on part louer un scooter (cela va devenir une habitude dès qu’on part en excursion, quelqu’un a dû me communiquer sa passion pour les deux-roues ^^). 600 baht pour 4 jours : cool, c’est pas cher !
Première étape : découvrir un peu Kanchanaburi, sa rue principale, son marché et son fameux pont : le pont de la Rivière Kwaï. Ce pont ferroviaire de 300 m symbolise le dur labeur de ceux qui le construisirent. La partie centrale du pont a été détruite en 1945 par les Alliés et seules les travées extérieures incurvées sont d’origine. Un bel endroit, chargé d’histoire.
Du coup, le lendemain, nous décidons d’emprunter le fameux train de la mort (Death Railway) qui passe sur le célèbre pont et d’aller jusqu’à Nam Tok (2h30 de train à peu près), ce qui nous permettra de voir un peu de pays. Départ à 6h30 du matin (pas évident mais tout est dans le mental non ?). Un trajet 100% thaï – qui vont à l’école, au travail, un rythme qui nous semble éprouvant – le train est bondé mais le contrôleur nous repère très vite et nous invite à nous asseoir dans l’espace réservé au personnel. On a donc une fenêtre pour nous tous seuls pour découvrir de très beaux paysages. 6h30 du matin, c’est aussi le moyen de voir le lever du soleil au-dessus des montagnes et rizières (il fallait bien qu’on trouve un élément motivant pour nous convaincre de nous lever !).
Une fois arrivés à Nam Tok, on en profite pour faire un tour aux cascades de Saï Yok mais elles n’ont rien d’exceptionnelles et sont même décevantes (surtout après le parc national d’Erawan que l’on explore vendredi – voir post suivant). Par contre, on y trouve des arbres impressionnants avec des racines de notre taille. C’est aussi l’occasion de nous balader dans le marché de Nam Tok, d’acheter des bricoles (qu’on oubliera plus tard dans la journée dans le bus retour pour Kanchanaburi... no comment).
Convaincus que ça doit être bien sympa de faire un peu de canoë sur la rivière Kwaï, notamment pour admirer le pont sous un autre angle, on choisit de booker une descente de la rivière de 15 km dimanche après-midi, juste avant de rentrer à Bangkok. Le résultat est celui espéré : c’est magnifique et on termine juste à temps pour le coucher du soleil.
Et ce n’est pas fini (voir les post Kanchanaburi Partie 2 et Partie 3) ! Plus de 250 km parcourus en scooter, des éléphants, des singes, des paysages atypiques, de la jungle, TOUJOURS PAS d’araignées que je qualifierai d’inacceptables (JE SURVIS !) et aussi de l’abus : 4 massages sur 3 jours ! Un intégral, deux des pieds et un du visage. OUI, on a clairement abusé mais là pour le coup, on n’a pas pu résister et on ne regrette rien ! Enfin, Thomas peut-être un peu le dernier massage des pieds : il en est sorti en ayant plus que jamais conscience qu’il avait des pieds ^^