Le 08/03/12, 13:16
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Il est temps pour moi de dresser le bilan de mes péripéties.
Si je devais résumer ce mois de vadrouille en quelques chiffres :
• 5500 km (à cela s’ajoute tout ce que mon compte tour ne comptabilise pas quand il décide de passer en mode fainéant).
• 1356 photos ; pire qu’une chinoise !
• 28 jours de vadrouille, mais plus d’une nuit... (Les amateurs de vampires comprendront)
• 11 nuit en couchsurfing, 10 nuits dans ma voiture, 3 nuits à l’hôtel, 2 invitations chez des locaux (plus une refusée), 2 nuits chez ma tante.
• 3 jours de carnaval
• 3 sites naturels coup de cœur : le désert de Tabernas suivi par la Sierra Nevada, El Torcal et le canyon d’El Chorro
• 2 villes coups de cœur : Grenade et Valence
• 2 invitations pour des voyages ultérieurs : une sur Madrid et une sur Ibiza
• 2 livres m’ont accompagné tout au long de ce voyage. Merci Lewis Caroll !
• 1 via ferrata, à en croire des sources internet, étant l’une des plus difficiles et dangereuses d’Europe.
• 1 bière, et plein d’autres !
• D’innombrables moments émerveillement
Une constatation : Sur le plan personnel, j’ai trouvé ce que je cherchais, voir bien plus. C’est le principal.
Je peux donc revenir sur Marseille sereinement en n’ayant aucun regret de stopper mon voyage. Que des bons souvenirs, même les périodes de galères (et il y en a eu pas mal mine de rien !).
Des résolutions :
• Partir en tour du monde avant mes 30ans. Ca me laisse quelques années pour trouver la personne avec qui partager l’aventure, les lieux, régler les multiples formalités. J’ai pour idée de faire un voyage en faisant le tour des écoles dans le monde. A voir.
• Peaufiner mon anglais (entendez par là, apprendre totalement cette langue).
• Apprendre la téléportation. Mais pour ça il va falloir que je retourne à l’école, même si ça ne doit pas être sorcier !
Des remerciements :
• A ceux qui m'ont hébergé (Carlos, Alex pour ne citer qu'eux) et toutes les personnes ayant croisé ma route (Michael, Faly et toute la communauté d'El chorro, Jésus avec toute sa bande fanfaresque...) qui m'ont permis de passé un excellent voyage.
• A ceux qui m'ont aidé à préparer ce voyage ( Nir sans qui je serai encore perdu en Espagne à l'heure qu'il est ; même si le soir de l'installation du GPS sur mon téléphone fut un traumatisme , John pour tes planches qui m’ont servi bien plus que je ne l’aurais pensé)
• A ceux qui m'ont suivis chaque jours à travers mes écris et m’ont encouragé à continuer mon voyage (ma So, Brioche, John, Nir, Hervé, Flo, Jojo, Antoine,...)
• A ma tante avec qui j'ai passé 2 agréables soirées sur Montpellier.
• A ma mère et mon frangin, car ce sont ma mère et mon frangin ! (et même s'ils me râlent dessus quand je squatte à Marseille, je sais qu'ils sont content que je revienne sur la cité phocéenne... au moins un peu ! Enfin je l’espère).
• Et enfin, à Antoine de Maximy pour son excellente émission « J’irai dormir chez vous » qui a su éveiller mon esprit d’aventurière...
Le mot de la fin sera celui qui m’aura été attribué par plusieurs espagnols durant ce mois (et que je dédicace à mes Fous Furieux de Marseille) : Loca Loca !
Alice, Alice, Alice... Ma petite... Que dire de toi ?
Durant un mois je t’ai cherché, j’ai parcouru un pays de part et d’autre, murmuré ton nom par-ci par-là. J’ai croisé, sur mon chemin, des signes de ta présence. Je le sais, tu n’étais jamais loin de moi. A quoi un pays merveilleux peut-il bien ressembler ? Tu avais ton idée du merveilleux, tantôt un jardin incessible, tantôt la fin d’un échiquier vivant. Mais, si finalement le pays merveilleux n’était pas un lieu ni une finalité en-soi ? Si finalement chaque instant, chaque rire, chaque rencontre, chaque découverte, chaque questionnement, chaque peur et moment de doutes, chaque attente, chaque étonnement, chaque obstacle, chaque rêve avait son importance ? Si finalement, le merveilleux se cachait dans tout cela ? Un pays merveilleux dépourvu de tout cela, pourrait-il vraiment procurer la même magie ? Serait-il aussi appréciable ? Je ne crois pas. Et Alice, je pense que tu le sais bien.
Durant un mois, telle une enfant naïve, allant de lieux en lieux au gré des rencontres en suivant mon instinct et mes intuitions, j’ai constamment été émerveillé.
En y réfléchissant, peut-être qu’au fond de chacun d’entre nous, une Alice sommeille...
Si je devais résumer ce mois de vadrouille en quelques chiffres :
• 5500 km (à cela s’ajoute tout ce que mon compte tour ne comptabilise pas quand il décide de passer en mode fainéant).
• 1356 photos ; pire qu’une chinoise !
• 28 jours de vadrouille, mais plus d’une nuit... (Les amateurs de vampires comprendront)
• 11 nuit en couchsurfing, 10 nuits dans ma voiture, 3 nuits à l’hôtel, 2 invitations chez des locaux (plus une refusée), 2 nuits chez ma tante.
• 3 jours de carnaval
• 3 sites naturels coup de cœur : le désert de Tabernas suivi par la Sierra Nevada, El Torcal et le canyon d’El Chorro
• 2 villes coups de cœur : Grenade et Valence
• 2 invitations pour des voyages ultérieurs : une sur Madrid et une sur Ibiza
• 2 livres m’ont accompagné tout au long de ce voyage. Merci Lewis Caroll !
• 1 via ferrata, à en croire des sources internet, étant l’une des plus difficiles et dangereuses d’Europe.
• 1 bière, et plein d’autres !
• D’innombrables moments émerveillement
Une constatation : Sur le plan personnel, j’ai trouvé ce que je cherchais, voir bien plus. C’est le principal.
Je peux donc revenir sur Marseille sereinement en n’ayant aucun regret de stopper mon voyage. Que des bons souvenirs, même les périodes de galères (et il y en a eu pas mal mine de rien !).
Des résolutions :
• Partir en tour du monde avant mes 30ans. Ca me laisse quelques années pour trouver la personne avec qui partager l’aventure, les lieux, régler les multiples formalités. J’ai pour idée de faire un voyage en faisant le tour des écoles dans le monde. A voir.
• Peaufiner mon anglais (entendez par là, apprendre totalement cette langue).
• Apprendre la téléportation. Mais pour ça il va falloir que je retourne à l’école, même si ça ne doit pas être sorcier !
Des remerciements :
• A ceux qui m'ont hébergé (Carlos, Alex pour ne citer qu'eux) et toutes les personnes ayant croisé ma route (Michael, Faly et toute la communauté d'El chorro, Jésus avec toute sa bande fanfaresque...) qui m'ont permis de passé un excellent voyage.
• A ceux qui m'ont aidé à préparer ce voyage ( Nir sans qui je serai encore perdu en Espagne à l'heure qu'il est ; même si le soir de l'installation du GPS sur mon téléphone fut un traumatisme , John pour tes planches qui m’ont servi bien plus que je ne l’aurais pensé)
• A ceux qui m'ont suivis chaque jours à travers mes écris et m’ont encouragé à continuer mon voyage (ma So, Brioche, John, Nir, Hervé, Flo, Jojo, Antoine,...)
• A ma tante avec qui j'ai passé 2 agréables soirées sur Montpellier.
• A ma mère et mon frangin, car ce sont ma mère et mon frangin ! (et même s'ils me râlent dessus quand je squatte à Marseille, je sais qu'ils sont content que je revienne sur la cité phocéenne... au moins un peu ! Enfin je l’espère).
• Et enfin, à Antoine de Maximy pour son excellente émission « J’irai dormir chez vous » qui a su éveiller mon esprit d’aventurière...
Le mot de la fin sera celui qui m’aura été attribué par plusieurs espagnols durant ce mois (et que je dédicace à mes Fous Furieux de Marseille) : Loca Loca !
Alice, Alice, Alice... Ma petite... Que dire de toi ?
Durant un mois je t’ai cherché, j’ai parcouru un pays de part et d’autre, murmuré ton nom par-ci par-là. J’ai croisé, sur mon chemin, des signes de ta présence. Je le sais, tu n’étais jamais loin de moi. A quoi un pays merveilleux peut-il bien ressembler ? Tu avais ton idée du merveilleux, tantôt un jardin incessible, tantôt la fin d’un échiquier vivant. Mais, si finalement le pays merveilleux n’était pas un lieu ni une finalité en-soi ? Si finalement chaque instant, chaque rire, chaque rencontre, chaque découverte, chaque questionnement, chaque peur et moment de doutes, chaque attente, chaque étonnement, chaque obstacle, chaque rêve avait son importance ? Si finalement, le merveilleux se cachait dans tout cela ? Un pays merveilleux dépourvu de tout cela, pourrait-il vraiment procurer la même magie ? Serait-il aussi appréciable ? Je ne crois pas. Et Alice, je pense que tu le sais bien.
Durant un mois, telle une enfant naïve, allant de lieux en lieux au gré des rencontres en suivant mon instinct et mes intuitions, j’ai constamment été émerveillé.
En y réfléchissant, peut-être qu’au fond de chacun d’entre nous, une Alice sommeille...