Le 18/04/11, 23:39
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Un deuxieme petit post sur Otavalo avec presque 15 jours de retards, les lecteurs assidus s'impatientent, ils ont raison!
Otavalo est connu (sans exces non plus) pour son marche artisanal suppose etre un des plus grands et des meilleurs d'Amerique du Sud. C'est vrai qu'il est vraiment sympa et que pour une fois, il y a plein de choses differentes. Il y a marche pratiquement tous les jours mais le grand jour, c'est le samedi. Le samedi, il y a tout! Artisanat bien sur, mais aussi nourriture, linge ou quincaillerie, vaches, poules, etc... Tous les indigenes viennent des montagnes environnantes pour acheter et vendre. La partie non artisanale est en fait bien plus chouette.
On cherche le marche aux bestiaux et on voit rentrer des coqs par une petite porte.
Nous suivons, il s'agit de l'association municipale de combats de coqs.
On paye un dollar chacun et nous arrivons dans l'arene!
Le prochain combat est dans une bonne demi heure. Du coup, on s'installe, on boit une biere, on va voir les cages de coqs, ils sont prets!
On nous explique que les eperons qu'on leur ajoute aux pattes sont en carapace de tortue (?!), en tout cas, cést dur et tres eguise.
Et puis ca commence. Les paris sont eleves. Ils se prennent souvent avant le combat, apres avoir inspecte le coq et discute avec le proprietaire. Mais pour certains proprietaires exaltes, le business se fait en cours de partie.
Les combats sont assez rapides et assez beaux, les couleurs se melangent, blanc et blanc, noir et noir, noir et blanc...
Les tribunes comptent leur lot de connaisseurs, l'escalier 6 des arenes de Mont de Marsan n'a qu'a bien se tenir!
Enfin, apres 5 ou 6 matchs, nous partons, laissant vainqueurs et vaincus deja de retour dans leurs cages:
A vite pour un post sur notre sejour (de la balle!) a Guayaquil chez Vincent et Alicia
Otavalo est connu (sans exces non plus) pour son marche artisanal suppose etre un des plus grands et des meilleurs d'Amerique du Sud. C'est vrai qu'il est vraiment sympa et que pour une fois, il y a plein de choses differentes. Il y a marche pratiquement tous les jours mais le grand jour, c'est le samedi. Le samedi, il y a tout! Artisanat bien sur, mais aussi nourriture, linge ou quincaillerie, vaches, poules, etc... Tous les indigenes viennent des montagnes environnantes pour acheter et vendre. La partie non artisanale est en fait bien plus chouette.
On cherche le marche aux bestiaux et on voit rentrer des coqs par une petite porte.
Nous suivons, il s'agit de l'association municipale de combats de coqs.
On paye un dollar chacun et nous arrivons dans l'arene!
Le prochain combat est dans une bonne demi heure. Du coup, on s'installe, on boit une biere, on va voir les cages de coqs, ils sont prets!
On nous explique que les eperons qu'on leur ajoute aux pattes sont en carapace de tortue (?!), en tout cas, cést dur et tres eguise.
Et puis ca commence. Les paris sont eleves. Ils se prennent souvent avant le combat, apres avoir inspecte le coq et discute avec le proprietaire. Mais pour certains proprietaires exaltes, le business se fait en cours de partie.
Les combats sont assez rapides et assez beaux, les couleurs se melangent, blanc et blanc, noir et noir, noir et blanc...
Les tribunes comptent leur lot de connaisseurs, l'escalier 6 des arenes de Mont de Marsan n'a qu'a bien se tenir!
Enfin, apres 5 ou 6 matchs, nous partons, laissant vainqueurs et vaincus deja de retour dans leurs cages:
A vite pour un post sur notre sejour (de la balle!) a Guayaquil chez Vincent et Alicia
