Le 16/04/16, 19:34
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Nous avons beaucoup hésité à y aller, mais finalement, nous avons craqué ! Nous voilà partis pour 35h de bus en direction du nord du Chili, vers le désert le plus aride du monde, le désert d’Atacama. Nous avons enchaîné les films pendant que le bus enchaînait les km et au petit matin, nous ouvrons les yeux sur un paysage escarpé où la vie lutte pour s’installer.
San Pedro d’Atacama est une ville du désert installée sur une grande oasis ; les maisons sont de plain-pied en adobe orangé dans des rues de terre battue. L’eau est rare, pleine d’arsenic et les coupures sont fréquentes, mais le temps est agréable. Il fait beau tout le temps et paraît-il que certaines zones du désert n’ont pas reçu de pluie depuis 12000 ans !
Nous réservons plusieurs tours pour visiter la région. Le premier nous emmène à la vallée de la lune, dont nous avons eu un premier aperçu en arrivant en bus.
Puis nous allons voir les Piedras Rojas, un site où se mêlent des pierres rouges volcaniques, un lac vert pâle plein d’arsenic et des montagnes orangées (de l'autre côté de l'appareil photo).
Sur le chemin du retour, nous visitons des lagunes au bleu profond où courent une famille de vigognes et un salar où se retrouvent quelques flamants roses.
Notre troisième excursion est plus sportive (pour les fesses au moins...) : une virée dans le désert en 4x4, hors des pistes, vers le Salar de Tara. Nous roulons dans un immense cratère de 2400km² où au milieu de nulle part nous trouvons de l’obsidienne et un indien de pierre.
Tout au bout, le salar de Tara est magnifique et entouré de cathédrales de pierre. Des lamas, rubans dans les cheveux, viennent poser pour nous.
Le dernier jour, nous allons voir les célèbres geysers de Tatio au lever du soleil. La zone géothermique est jolie et nous rappelle beaucoup celle que nous avions vue quelques années plus tôt en Bolivie. Il paraît que c’est la troisième plus grande du monde, mais nous sommes quand même un peu déçus. Les geysers font un mètre de haut maximum et les 10m qu’on nous annonce dans les brochures décrivent la hauteur du nuage de vapeur...
Comme il fait très froid, Vincent en profite pour se baigner dans une source chaude (Alice trempe juste les pieds).
Toute la région d’Atacama est superbe, pleine de couleurs minérales, d’animaux (surtout des vigognes) et nous ne regrettons pas les 68h de bus aller-retour !
San Pedro d’Atacama est une ville du désert installée sur une grande oasis ; les maisons sont de plain-pied en adobe orangé dans des rues de terre battue. L’eau est rare, pleine d’arsenic et les coupures sont fréquentes, mais le temps est agréable. Il fait beau tout le temps et paraît-il que certaines zones du désert n’ont pas reçu de pluie depuis 12000 ans !
Nous réservons plusieurs tours pour visiter la région. Le premier nous emmène à la vallée de la lune, dont nous avons eu un premier aperçu en arrivant en bus.
Puis nous allons voir les Piedras Rojas, un site où se mêlent des pierres rouges volcaniques, un lac vert pâle plein d’arsenic et des montagnes orangées (de l'autre côté de l'appareil photo).
Sur le chemin du retour, nous visitons des lagunes au bleu profond où courent une famille de vigognes et un salar où se retrouvent quelques flamants roses.
Notre troisième excursion est plus sportive (pour les fesses au moins...) : une virée dans le désert en 4x4, hors des pistes, vers le Salar de Tara. Nous roulons dans un immense cratère de 2400km² où au milieu de nulle part nous trouvons de l’obsidienne et un indien de pierre.
Tout au bout, le salar de Tara est magnifique et entouré de cathédrales de pierre. Des lamas, rubans dans les cheveux, viennent poser pour nous.
Le dernier jour, nous allons voir les célèbres geysers de Tatio au lever du soleil. La zone géothermique est jolie et nous rappelle beaucoup celle que nous avions vue quelques années plus tôt en Bolivie. Il paraît que c’est la troisième plus grande du monde, mais nous sommes quand même un peu déçus. Les geysers font un mètre de haut maximum et les 10m qu’on nous annonce dans les brochures décrivent la hauteur du nuage de vapeur...
Comme il fait très froid, Vincent en profite pour se baigner dans une source chaude (Alice trempe juste les pieds).
Toute la région d’Atacama est superbe, pleine de couleurs minérales, d’animaux (surtout des vigognes) et nous ne regrettons pas les 68h de bus aller-retour !