Le 03/03/16, 0:58
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Nous voilà en Argentine, le pays de la viande de bœuf et du tango !
(et de Mafalda)
Ni l’un ni l’autre ne sont un mythe : à deux pas de notre hôtel à Buenos Aires, sur une jolie placette, des danseurs amateurs viennent chaque soir faire une démonstration de tango contre quelques pesos. Puis, nous testons le demi-steak de bœuf, une belle pièce de viande d’au moins 300g (dur d’imaginer la taille du steak entier), cuite à la perfection et fondante sous la langue. Il va falloir fermer les yeux pendant quelques semaines sur les 5 fruits et légumes par jour, à moins que les nutritionnistes se contentent de pâtes et de frites.
Malgré le décalage horaire qui se ressent, pas de grasse matinée ! Nous partons visiter le centre de Buenos Aires, la plaza de Mayo et sa casa rosada (le palais du gouvernement) mais aussi le congrès et la place de l’obélisque. Ces jolis bâtiments classiques nous rappellent certaines capitales européennes, on se sent moins loin de chez nous !
Sur le port, nous visitons « La Fragata Sarmiento », le premier bâteau-école de la marine argentine. C’est un grand voilier de la fin du 19ème siècle, mais c’est son gros moteur à vapeur qui nous passionne. Il a fait l’équivalent de 40 fois le tour du monde avant de devenir un musée flottant.
Le lendemain, nous nous rendons à la « república de la Boca », un quartier populaire peint de toutes les couleurs par ses habitants en 1930, principalement des immigrés italiens. Ces quelques rues sont devenues très touristiques, mais il n’est pas recommandé de s’éloigner, ne serait-ce d’un « cuadra » (paté de maison), si on ne veut pas se retrouver en mauvaise compagnie.
Nous finissons la journée par la visite du cimetière de la Recoleta, un dédale très quadrillé de vieilles tombes à l’architecture plus extravagante les unes que les autres. Un vieux chat aveugle et sans oreille veille près d’un caveau défraîchi.
La fleur de Buenos Aires, qui est sensée s'ouvrir et se refermer en fonction du soleil.
(et de Mafalda)
Ni l’un ni l’autre ne sont un mythe : à deux pas de notre hôtel à Buenos Aires, sur une jolie placette, des danseurs amateurs viennent chaque soir faire une démonstration de tango contre quelques pesos. Puis, nous testons le demi-steak de bœuf, une belle pièce de viande d’au moins 300g (dur d’imaginer la taille du steak entier), cuite à la perfection et fondante sous la langue. Il va falloir fermer les yeux pendant quelques semaines sur les 5 fruits et légumes par jour, à moins que les nutritionnistes se contentent de pâtes et de frites.
Malgré le décalage horaire qui se ressent, pas de grasse matinée ! Nous partons visiter le centre de Buenos Aires, la plaza de Mayo et sa casa rosada (le palais du gouvernement) mais aussi le congrès et la place de l’obélisque. Ces jolis bâtiments classiques nous rappellent certaines capitales européennes, on se sent moins loin de chez nous !
Sur le port, nous visitons « La Fragata Sarmiento », le premier bâteau-école de la marine argentine. C’est un grand voilier de la fin du 19ème siècle, mais c’est son gros moteur à vapeur qui nous passionne. Il a fait l’équivalent de 40 fois le tour du monde avant de devenir un musée flottant.
Le lendemain, nous nous rendons à la « república de la Boca », un quartier populaire peint de toutes les couleurs par ses habitants en 1930, principalement des immigrés italiens. Ces quelques rues sont devenues très touristiques, mais il n’est pas recommandé de s’éloigner, ne serait-ce d’un « cuadra » (paté de maison), si on ne veut pas se retrouver en mauvaise compagnie.
Nous finissons la journée par la visite du cimetière de la Recoleta, un dédale très quadrillé de vieilles tombes à l’architecture plus extravagante les unes que les autres. Un vieux chat aveugle et sans oreille veille près d’un caveau défraîchi.
La fleur de Buenos Aires, qui est sensée s'ouvrir et se refermer en fonction du soleil.