Le 15/02/16, 2:03
172.53090926667-41.429815333333
Nous avons prévu quatre jours de trek dans le Parc National du Tongariro, une zone volcanique assez active située entre les plaques australienne et pacifique (qui se déplacent quand même à la vitesse de 4-5cm/an).
Les étapes sont plutôt faciles, notre sac plus léger (nous commençons à maîtriser la nourriture déshydratée !) et le soleil nous accompagne, que demander de plus !
L’intérêt de chaque étape est assez irrégulier. Le clou de la randonnée est le deuxième jour que nous partageons avec les milliers de personnes (oui, jusqu’à 2000 !) qui font l’Alpine Crossing, une balade d’une journée. Mais ce qui nous attend nous fait oublier que nous ne sommes pas seuls !
Après une grimpette dans d’anciennes et récentes coulées de lave, nous arrivons au Red Crater, qui me rappelle un peu les tableaux de Dali.
Nous décidons de nous arrêter pour manger dans ce paysage « dramatique » lorsqu’un rayon de soleil vient révéler l’éclat d’un lac situé en contre-bas. Nous descendons en courant/glissant le long d’une pente de sable pour découvrir ce que nous avons toujours cru méchamment photoshopé, les fameux lacs d’émeraude : une eau verte sublimée par le soleil entourée d’un liseré jaune dans un paysage lunaire : Waaaaaou !!
Nous prenons notre pique-nique sur un promontoire rocheux où aucun touriste ne viendra nous gâcher la vue. Car il faut faire la queue pour venir prendre sa photo devant les lacs !
En s’approchant, on découvre d’autres belles couleurs (que les rastas apprécieraient)
...et des fumerolles qui embaument l’air d’une odeur de soufre (qu’on apprécie moins).
On quitte ce festival de couleurs pour redescendre dans une vallée grise où Alice travaille sa forme.
Pendant les deux jours restant, nous poursuivons notre tour du volcan en compagnie de deux québécois jardiniers (qui ont quatre mois de vacances d’hiver par an...). On croise une belle rivière avec des algues ondulant au fil de l’eau, d’autres rivières moins belles (mais on devient sacrément difficile) qui nous offrent l’occasion de nous laver et des lacs d’un bleu banal (on a l'air blasé ? ).
Les étapes sont plutôt faciles, notre sac plus léger (nous commençons à maîtriser la nourriture déshydratée !) et le soleil nous accompagne, que demander de plus !
L’intérêt de chaque étape est assez irrégulier. Le clou de la randonnée est le deuxième jour que nous partageons avec les milliers de personnes (oui, jusqu’à 2000 !) qui font l’Alpine Crossing, une balade d’une journée. Mais ce qui nous attend nous fait oublier que nous ne sommes pas seuls !
Après une grimpette dans d’anciennes et récentes coulées de lave, nous arrivons au Red Crater, qui me rappelle un peu les tableaux de Dali.
Nous décidons de nous arrêter pour manger dans ce paysage « dramatique » lorsqu’un rayon de soleil vient révéler l’éclat d’un lac situé en contre-bas. Nous descendons en courant/glissant le long d’une pente de sable pour découvrir ce que nous avons toujours cru méchamment photoshopé, les fameux lacs d’émeraude : une eau verte sublimée par le soleil entourée d’un liseré jaune dans un paysage lunaire : Waaaaaou !!
Nous prenons notre pique-nique sur un promontoire rocheux où aucun touriste ne viendra nous gâcher la vue. Car il faut faire la queue pour venir prendre sa photo devant les lacs !
En s’approchant, on découvre d’autres belles couleurs (que les rastas apprécieraient)
...et des fumerolles qui embaument l’air d’une odeur de soufre (qu’on apprécie moins).
On quitte ce festival de couleurs pour redescendre dans une vallée grise où Alice travaille sa forme.
Pendant les deux jours restant, nous poursuivons notre tour du volcan en compagnie de deux québécois jardiniers (qui ont quatre mois de vacances d’hiver par an...). On croise une belle rivière avec des algues ondulant au fil de l’eau, d’autres rivières moins belles (mais on devient sacrément difficile) qui nous offrent l’occasion de nous laver et des lacs d’un bleu banal (on a l'air blasé ? ).