Le 12/03/14, 13:51
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Pour parvenir dans la région de Sapa, il faut voyager une nuit dans le train couchette. Ça bouge un max mais c’est folklorique et plutôt confortable (c’est sûr... c’est loin d’être le TGV de chez nous !) Notre hôtel est vraiment trop bien avec une chambre presque aussi grand qu’un appartement, avec des lampions et même une fausse cheminée. Et oui, ici il fait plutôt frais parce qu’on a pris de l’altitude et on se trouve dans les montagnes du Nord-Ouest vietnamien.
La région de Spa est réputée pour ses rizières en terrasses et pour ses tribus montagnardes qui vivent dans les villages alentours. Les femmes descendent au marché tous les jours pour vendre leurs broderies et vêtements. Elles portent le costume traditionnel, noir, couvert de broderies colorées, des guêtres faites avec un ruban enroulé autour des mollets, une coiffure particulière avec des peignes et des barrettes en argent et de lourdes boucles d’oreilles (on a même vu une dame avec une oreille déchirée, simplement re-scotchée !) Elles sont très joyeuses et rigolent tout le temps. Elles sur le dos leur bébé enrubanné dans des tissus colorés. Elles font aussi plus vieilles que leur âge ; il semble qu’elles travaillent beaucoup plus que les hommes dans ces tribus.
En tout cas, elles proposent aux touristes de les suivre sur les chemins de montagnes et c’est ce qu’on a fait pendant une après-midi. On a été escortés par Su et Lan (et son bébé), deux copines d’enfance d’environ 35 ans, tout sourires et enthousiastes à l’idée de nous ramener chez elles. On a fait un parcours en montagne, sur des chemins rocailleux et presque sans touristes. On a traversé quelques villages d’agriculteurs et surplombé les rizières en terrasses. Surtout le temps fort de la journée, ça a été le repas chez la mère de Lan. La maison se résumait à une grange avec mur en bâche et sol en terre, toit en tôle, une petite table et un banc (+la TV forcément !) Il y avait plein de petits et on nous a raconté plusieurs coutumes (comme par exemple de bruler le front avec une corne de buffle chauffée pour éloigner les migraines ; ce qui laisse une marque rouge sur le front comme pour Su.) On a partagé le repas de la famille et ils ont insisté pour qu’on boive la happy water ! Un tord-boyau de chez eux. Et pour dire « tchin » ici on dit « yo »
Le lendemain on a loué un motorbike (ça nous manquait depuis la Thaïlande) pour aller voir de plus près les villages de la plaine et leurs rizières. C’était beau mais il y avait un max de touristes et on s’est fait entourer de dizaines de vendeuses déchainées... un peu commercial par rapport à la veille !
La région de Spa est réputée pour ses rizières en terrasses et pour ses tribus montagnardes qui vivent dans les villages alentours. Les femmes descendent au marché tous les jours pour vendre leurs broderies et vêtements. Elles portent le costume traditionnel, noir, couvert de broderies colorées, des guêtres faites avec un ruban enroulé autour des mollets, une coiffure particulière avec des peignes et des barrettes en argent et de lourdes boucles d’oreilles (on a même vu une dame avec une oreille déchirée, simplement re-scotchée !) Elles sont très joyeuses et rigolent tout le temps. Elles sur le dos leur bébé enrubanné dans des tissus colorés. Elles font aussi plus vieilles que leur âge ; il semble qu’elles travaillent beaucoup plus que les hommes dans ces tribus.
En tout cas, elles proposent aux touristes de les suivre sur les chemins de montagnes et c’est ce qu’on a fait pendant une après-midi. On a été escortés par Su et Lan (et son bébé), deux copines d’enfance d’environ 35 ans, tout sourires et enthousiastes à l’idée de nous ramener chez elles. On a fait un parcours en montagne, sur des chemins rocailleux et presque sans touristes. On a traversé quelques villages d’agriculteurs et surplombé les rizières en terrasses. Surtout le temps fort de la journée, ça a été le repas chez la mère de Lan. La maison se résumait à une grange avec mur en bâche et sol en terre, toit en tôle, une petite table et un banc (+la TV forcément !) Il y avait plein de petits et on nous a raconté plusieurs coutumes (comme par exemple de bruler le front avec une corne de buffle chauffée pour éloigner les migraines ; ce qui laisse une marque rouge sur le front comme pour Su.) On a partagé le repas de la famille et ils ont insisté pour qu’on boive la happy water ! Un tord-boyau de chez eux. Et pour dire « tchin » ici on dit « yo »
Le lendemain on a loué un motorbike (ça nous manquait depuis la Thaïlande) pour aller voir de plus près les villages de la plaine et leurs rizières. C’était beau mais il y avait un max de touristes et on s’est fait entourer de dizaines de vendeuses déchainées... un peu commercial par rapport à la veille !