Le 22/07/10, 10:21
32.80031634545534.995693763636
Mes derniers jours à Fidji je les ai passé à Nadi. La plaque tournante du tourisme Fidjien, c'est d'ici qu'arrivent et repartent les nombreux touristes venus profiter du soleil des îles Fidjiennes qui offrent sable blanc, eau turquoise et Fireshow pour animer les soirées.
De mon étape Fidjienne, je n'ai pas vu grand chose de tout ça. Je suis resté sur l'île principale de Viti Levu en arpentant la « Coral Coast »au sud de l'île en faisant tout de même une excursion sur l'île Ovalau où est situé Levuka. Un très bon choix pour moi puisque j'ai rencontré des gens super sympa, j'ai vu des paysages comme je les aimes, vert, vastes, parfois déchirés, et souvent loin du cliché carte postale.
Nadi c'est encore l'occasion de rencontrer pas mal de monde. La grande majorité des ces voyageurs ont un billet tour du monde et suivent plus ou moins le même trajet. Les récits de voyages sont toujours sympa à entendre, ça donne surtout envie d'aller découvrir d'autre pays, mais il semble bien que le monde soit vraiment vaste... il va en falloir du temps...C'est aussi les vacances scolaire en Australie et les jeunes Australiens sac sur le dos sont partout, il viennent simplement passer la semaine, prendre et coup de chaud et repartent.
Pour moi Fidji c'est une incroyable surprise. Surpris d'abord pas les gens, d'une gentillesse exemplaire, toujours près à rendre service si besoins. Quand je demande mon chemin, les Fidjiens ne se contentent pas d'une simple explication, non, ils ne déplacent pour être sûr qu'il n'y ai pas d'erreur. Et puis il y a toujours ces mêmes questions qui reviennent à chaque fois, « d'où tu viens? » « combien de temps à Fiji? », « où es tu allé dans Fiji? », « est ce que tu aime Fiji? ». et toujours les même réponses, I'm French, presque un mois à Fiji ... et bien sûr que j'aime Fiji, comment ne pas aimer?
Pendant ce mois, j'ai beaucoup parler Anglais. Plusieurs fois j'ai bien regretté mon agitation en cours, mes rêvasseries à regarder par la fenêtre, et bien sûr mes fraudes multiples...Au final ça fait du bien de réapprendre un peu.
L'empreinte de l'ancien colonisateur Anglais est bien marquée; la conduite à gauche qui surprend toujours autant même après un mois, les écoliers en uniforme. Chaque école a son propre uniforme et sa propre couleur. Couleur vive la plus-part tu temps. J'ai croisé pas mal d'Anglais ou plutôt Anglaises qui était soit infirmière en stage soit institutrice. Une façon pour les britanniques de garder un œil sur la colonie.
Les transports m'ont aussi beaucoup marqué. Les bus sont juste des reliques roulantes. Tant que ça roule tout va bien, idem pour la boite de vitesse, tant que ça craque c'est qu'il y a des dents. Aucun véhicule ne semble avoir d'amortisseurs encore en vie et chaque nid de poule se fait parfaitement ressentir à travers l'armature des sièges qui n'ont plus vraiment de rebondit. L'absence de fenêtre donne cette touche de liberté supplémentaire, et puis cette sonnette qui court le long du bus pour avertir le chauffeur. Un petit « ring ring » et le chauffeur s'arrête à peu près n'importe où. Le bus est vraiment le moyen de transport que j'ai le plus apprécié.
Fidji c'est aussi des paysages magnifique, ceux que je n'ai pas vu (ceux des îles, carte postal) et ceux qu'il y à l'intérieur des terres: luxuriant.
Fidji c'est encore plein d'autre choses, les Backpakers, le Rugby, le Kava et les clubs de guerre vendu en souvenir pour les touristes, les Indiens qui font le commerce pendant que les Fidjiens sont toujours sur le rythme du Fiji Time...
Ici l'hiver fait rage, mais les températures sont d'un idéale inimaginable. Ni trop chaud, ni trop froid. Côté Est j'ai quand même eu droit à pas mal de pluie, en allant vers Ouest, le ciel restait de plus en plus bleu. Pour la crédibilité de mon périple mon teint c'est légèrement cuivré grâce au soleil trouvé à Nadi.
La suite risque d'être un peu plus fraiche puisque je descend vers le Sud. La Nouvelle Calédonie m'attend à deux heures de vol de Fidji.
Je suis à jamais marqué par Fiji...
De mon étape Fidjienne, je n'ai pas vu grand chose de tout ça. Je suis resté sur l'île principale de Viti Levu en arpentant la « Coral Coast »au sud de l'île en faisant tout de même une excursion sur l'île Ovalau où est situé Levuka. Un très bon choix pour moi puisque j'ai rencontré des gens super sympa, j'ai vu des paysages comme je les aimes, vert, vastes, parfois déchirés, et souvent loin du cliché carte postale.
Nadi c'est encore l'occasion de rencontrer pas mal de monde. La grande majorité des ces voyageurs ont un billet tour du monde et suivent plus ou moins le même trajet. Les récits de voyages sont toujours sympa à entendre, ça donne surtout envie d'aller découvrir d'autre pays, mais il semble bien que le monde soit vraiment vaste... il va en falloir du temps...C'est aussi les vacances scolaire en Australie et les jeunes Australiens sac sur le dos sont partout, il viennent simplement passer la semaine, prendre et coup de chaud et repartent.
Pour moi Fidji c'est une incroyable surprise. Surpris d'abord pas les gens, d'une gentillesse exemplaire, toujours près à rendre service si besoins. Quand je demande mon chemin, les Fidjiens ne se contentent pas d'une simple explication, non, ils ne déplacent pour être sûr qu'il n'y ai pas d'erreur. Et puis il y a toujours ces mêmes questions qui reviennent à chaque fois, « d'où tu viens? » « combien de temps à Fiji? », « où es tu allé dans Fiji? », « est ce que tu aime Fiji? ». et toujours les même réponses, I'm French, presque un mois à Fiji ... et bien sûr que j'aime Fiji, comment ne pas aimer?
Pendant ce mois, j'ai beaucoup parler Anglais. Plusieurs fois j'ai bien regretté mon agitation en cours, mes rêvasseries à regarder par la fenêtre, et bien sûr mes fraudes multiples...Au final ça fait du bien de réapprendre un peu.
L'empreinte de l'ancien colonisateur Anglais est bien marquée; la conduite à gauche qui surprend toujours autant même après un mois, les écoliers en uniforme. Chaque école a son propre uniforme et sa propre couleur. Couleur vive la plus-part tu temps. J'ai croisé pas mal d'Anglais ou plutôt Anglaises qui était soit infirmière en stage soit institutrice. Une façon pour les britanniques de garder un œil sur la colonie.
Les transports m'ont aussi beaucoup marqué. Les bus sont juste des reliques roulantes. Tant que ça roule tout va bien, idem pour la boite de vitesse, tant que ça craque c'est qu'il y a des dents. Aucun véhicule ne semble avoir d'amortisseurs encore en vie et chaque nid de poule se fait parfaitement ressentir à travers l'armature des sièges qui n'ont plus vraiment de rebondit. L'absence de fenêtre donne cette touche de liberté supplémentaire, et puis cette sonnette qui court le long du bus pour avertir le chauffeur. Un petit « ring ring » et le chauffeur s'arrête à peu près n'importe où. Le bus est vraiment le moyen de transport que j'ai le plus apprécié.
Fidji c'est aussi des paysages magnifique, ceux que je n'ai pas vu (ceux des îles, carte postal) et ceux qu'il y à l'intérieur des terres: luxuriant.
Fidji c'est encore plein d'autre choses, les Backpakers, le Rugby, le Kava et les clubs de guerre vendu en souvenir pour les touristes, les Indiens qui font le commerce pendant que les Fidjiens sont toujours sur le rythme du Fiji Time...
Ici l'hiver fait rage, mais les températures sont d'un idéale inimaginable. Ni trop chaud, ni trop froid. Côté Est j'ai quand même eu droit à pas mal de pluie, en allant vers Ouest, le ciel restait de plus en plus bleu. Pour la crédibilité de mon périple mon teint c'est légèrement cuivré grâce au soleil trouvé à Nadi.
La suite risque d'être un peu plus fraiche puisque je descend vers le Sud. La Nouvelle Calédonie m'attend à deux heures de vol de Fidji.
Je suis à jamais marqué par Fiji...