Le 07/01/13, 0:46
14.44111024916754.309384033333
Réveillés à 5h30 par le contrôleur pour le petit déjeuner, nous sortons d’une nuit un peu chahutée par les mouvements du train, mais au moins, cette fois, on a dormi !
Nous descendons alors à Hanovre vers 6h20, et montons aussitôt dans le S-Bahn direction Celle. Alors pourquoi Celle ? Pour ceux qui ne le savent pas, c’est la ville juste à côté de là où vivent mon oncle et ma tante. C’est donc une ville que je connais très bien et je vais, donc, laisser Guillaume vous la décrire dans cet article.
Bon, c’est vrai qu’à côté de Stockholm, Berlin, Vienne ou Budapest, Celle, beh, ça change ! Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir y trouver ? Comme Marilou n’a pas cessé de m’en parler auparavant, et même avant notre voyage, je me laisse guider les yeux fermés.
Donc, par où commencer ? Celle (prononcez Tselleuh) est une petite ville dans la banlieue de Hanovre, ayant su conserver son (grand) cœur historique où nous pouvons voir des maisons à colombages typiques du style de la région. Donc petites rues, vieilles maisons, vieille église, même un château ducal (reconverti en théâtre), finalement, c’est un peu Tallinn !
Blague à part, c’est vraiment joli, et plein de caractère. Et surtout, Marilou la connait comme sa poche donc, même si ce n’est pas très grand, on arrive finalement à y faire autant de choses que dans une grande ville inconnue. Au programme : petit-déjeuner dans LE café historique de la ville, le café Kiess, avec une grosse forêt noire et un bon chocolat chaud à la crème au menu (merci Maman de Marilou !). Puis visite des boutiques, récits d’anecdotes, achat de bonbons dans un super magasin où l’on peut trouver de tout fait en chocolat (même des bouteilles de bière ou des iPad !).
On arrive finalement à oublier un peu la fatigue et la lassitude de presque 20 jours de voyage !
Puis le midi, spécialité allemande : la currywurst ! Alors quoi que c’est ? Déjà, devrait y avoir du curry, mais qu’est-ce que le « wurst » ? Beh, une saucisse pardi ! Donc c’est une saucisse au curry, avec du ketchup... au curry ! Rien de tel pour se réchauffer le tube digestif ! Tant mieux, il ne fait pas chaud dehors...
Puis, après ce repas frugal, l’oncle et la tante de Marilou, Werner et Lore, viennent nous chercher pour nous emmener chez eux. On s’enfonce donc dans la campagne hanovrienne, remplie de prairies à chevaux pour arriver dans une agréable maison (ça va nous changer des auberges de jeunesse !).
Bon, comme vous vous en doutez un peu, ich spreche kein Deutsch ! (je ne parle pas allemand !), donc les rapports sont très amusants avec eux, mélange d’anglais, d’allemand et de quelques mots de français lancés tout fièrement par Werner, mais le plus souvent, Marilou = Google Translate !
Le soir, ils nous emmènent chez un Grec. Restaurant où Marilou avait perdu un pari sur le fait de finir son assiette... ne relevant pas l’anecdote, je commande une entrée en plus du plat principal... Et bien je peux vous assurer que les doses allemandes n’ont rien à avoir avec les norvégiennes ! Pour moitié du prix, vous avez le double... Pari de nouveau perdu donc !
Sont fous ces Allemands ! Et l’oncle de Marilou, Werner, n’arrêtant pas de nous dire « Vous Astérix, moi Obélix ! », désolés Uderzo et Goscinny, mais les Gaulois ne font pas les fiers !
Puis c’est le ventre plein à craquer que nous rentrons nous coucher. Demain, encore une nouvelle ville !
Nous descendons alors à Hanovre vers 6h20, et montons aussitôt dans le S-Bahn direction Celle. Alors pourquoi Celle ? Pour ceux qui ne le savent pas, c’est la ville juste à côté de là où vivent mon oncle et ma tante. C’est donc une ville que je connais très bien et je vais, donc, laisser Guillaume vous la décrire dans cet article.
Bon, c’est vrai qu’à côté de Stockholm, Berlin, Vienne ou Budapest, Celle, beh, ça change ! Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir y trouver ? Comme Marilou n’a pas cessé de m’en parler auparavant, et même avant notre voyage, je me laisse guider les yeux fermés.
Donc, par où commencer ? Celle (prononcez Tselleuh) est une petite ville dans la banlieue de Hanovre, ayant su conserver son (grand) cœur historique où nous pouvons voir des maisons à colombages typiques du style de la région. Donc petites rues, vieilles maisons, vieille église, même un château ducal (reconverti en théâtre), finalement, c’est un peu Tallinn !
Blague à part, c’est vraiment joli, et plein de caractère. Et surtout, Marilou la connait comme sa poche donc, même si ce n’est pas très grand, on arrive finalement à y faire autant de choses que dans une grande ville inconnue. Au programme : petit-déjeuner dans LE café historique de la ville, le café Kiess, avec une grosse forêt noire et un bon chocolat chaud à la crème au menu (merci Maman de Marilou !). Puis visite des boutiques, récits d’anecdotes, achat de bonbons dans un super magasin où l’on peut trouver de tout fait en chocolat (même des bouteilles de bière ou des iPad !).
On arrive finalement à oublier un peu la fatigue et la lassitude de presque 20 jours de voyage !
Puis le midi, spécialité allemande : la currywurst ! Alors quoi que c’est ? Déjà, devrait y avoir du curry, mais qu’est-ce que le « wurst » ? Beh, une saucisse pardi ! Donc c’est une saucisse au curry, avec du ketchup... au curry ! Rien de tel pour se réchauffer le tube digestif ! Tant mieux, il ne fait pas chaud dehors...
Puis, après ce repas frugal, l’oncle et la tante de Marilou, Werner et Lore, viennent nous chercher pour nous emmener chez eux. On s’enfonce donc dans la campagne hanovrienne, remplie de prairies à chevaux pour arriver dans une agréable maison (ça va nous changer des auberges de jeunesse !).
Bon, comme vous vous en doutez un peu, ich spreche kein Deutsch ! (je ne parle pas allemand !), donc les rapports sont très amusants avec eux, mélange d’anglais, d’allemand et de quelques mots de français lancés tout fièrement par Werner, mais le plus souvent, Marilou = Google Translate !
Le soir, ils nous emmènent chez un Grec. Restaurant où Marilou avait perdu un pari sur le fait de finir son assiette... ne relevant pas l’anecdote, je commande une entrée en plus du plat principal... Et bien je peux vous assurer que les doses allemandes n’ont rien à avoir avec les norvégiennes ! Pour moitié du prix, vous avez le double... Pari de nouveau perdu donc !
Sont fous ces Allemands ! Et l’oncle de Marilou, Werner, n’arrêtant pas de nous dire « Vous Astérix, moi Obélix ! », désolés Uderzo et Goscinny, mais les Gaulois ne font pas les fiers !
Puis c’est le ventre plein à craquer que nous rentrons nous coucher. Demain, encore une nouvelle ville !