Le 16/12/12, 18:36
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Après une nuit très fraîche, réveil à 6h30 pour admirer le lever du soleil. Mes mains sont gelées mais les couleurs sont tellement magnifiques que je ne regrette pas d’être dehors.
Je pars à 8h00 seule. Je dois être demain soir à Pokhara, c’est-à-dire que je dois descendre en 2 jours dans la vallée (normalement, il faut au moins 3 jours). Je sais que la journée va être longue.
La 1ère partie jusqu’au camp de base du Machhapuchhare est très amusante. Tout est gelé, je dois donc faire du « ski »sur le côté du chemin. Mes chaussures sont totalement imperméables, merci le goretex ! Après quelques chutes sans conséquences, j’arrive au camp de base. Je descends ensuite et je passe par la zone avalanche...pas très rassurée... ! Descente encore en passant par tous les villages. Pour gagner du temps, je ne m’arrête que 10 minutes à chaque village, c’est-à-dire toutes les heures et demi ou deux heures pour boire un coup.
Après plus de 5h de marche, je suis épuisée, je m’arrête manger à Dobhan. 45 minutes après, je suis déjà repartie. La motivation a vraiment disparu. Je marche seule depuis pas mal de temps, je sens chaque partie de mon corps.
Entre Bambou et Sinuwa, c’est montée/ descente sans arrêt...c’est insupportable ! Au milieu d’un escalier de pierre (le plus long du monde à mes yeux), je me fais doubler (pas bien) par un français et un anglais. Nous continuons le chemin ensemble jusqu’à Sinuwa. Le rythme est intense, je suis totalement épuisée.
Nous nous arrêtons à Sinuwa, et nous nous posons tranquillement pour voir le coucher du soleil depuis la terrasse de la guesthouse...avec du fromage...pas pire la vie ! Nous dînons tous ensemble et je pars me coucher assez tôt, car ça n’a pas changé, demain je dois être à Pokhara.
Je pars à 8h00 seule. Je dois être demain soir à Pokhara, c’est-à-dire que je dois descendre en 2 jours dans la vallée (normalement, il faut au moins 3 jours). Je sais que la journée va être longue.
La 1ère partie jusqu’au camp de base du Machhapuchhare est très amusante. Tout est gelé, je dois donc faire du « ski »sur le côté du chemin. Mes chaussures sont totalement imperméables, merci le goretex ! Après quelques chutes sans conséquences, j’arrive au camp de base. Je descends ensuite et je passe par la zone avalanche...pas très rassurée... ! Descente encore en passant par tous les villages. Pour gagner du temps, je ne m’arrête que 10 minutes à chaque village, c’est-à-dire toutes les heures et demi ou deux heures pour boire un coup.
Après plus de 5h de marche, je suis épuisée, je m’arrête manger à Dobhan. 45 minutes après, je suis déjà repartie. La motivation a vraiment disparu. Je marche seule depuis pas mal de temps, je sens chaque partie de mon corps.
Entre Bambou et Sinuwa, c’est montée/ descente sans arrêt...c’est insupportable ! Au milieu d’un escalier de pierre (le plus long du monde à mes yeux), je me fais doubler (pas bien) par un français et un anglais. Nous continuons le chemin ensemble jusqu’à Sinuwa. Le rythme est intense, je suis totalement épuisée.
Nous nous arrêtons à Sinuwa, et nous nous posons tranquillement pour voir le coucher du soleil depuis la terrasse de la guesthouse...avec du fromage...pas pire la vie ! Nous dînons tous ensemble et je pars me coucher assez tôt, car ça n’a pas changé, demain je dois être à Pokhara.
