Le 15/12/12, 18:35
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Réveil à 6h30 pour partir le plus tôt possible pour ABC. Le temps est vraiment magnifique, le soleil se lève tranquillement. Il fait très froid, je prends rapidement mon petit déjeuner, termine mon sac et je pars seule pour ABC. La journée ne va pas être très longue mais grandiose. Le chemin est magnifique, je suis entourée de montagnes enneigées, le ciel bleu...que demander de plus !
Le long du chemin je croise à plusieurs reprises des coréens qui sont très très drôles. A peine arrivée à leur hauteur, l’un d’entre eux prend mon appareil photo pour me prendre sous différents angles. Je suis assez surprise. Ensuite plusieurs personnes se rajoutent et commencent à me prendre en photo avec leur appareil. Me voilà parti pour 10 mn de pause photo... !
Sur le chemin, je vois des porteurs courir je ne comprends pas très bien. Ils me disent « Run, run, run ». Et là j’apprends par un guide que nous passons par une zone à risque en raison des nombreuses avalanches... intéressant... !
Après 2 h de marche, j’arrive au camp de base du Machhapuchhare à 3700 m d’altitude. La vue sur ce sommet est impressionnante, 6997m. Ce sommet est vierge, personne n’a jamais tenté de l’escalader car c’est interdit par le gouvernement népalais. Pourquoi? Je ne sais pas.
Je me pose tranquillement pour m’habituer à l’altitude, le soleil me réchauffe, je commence d’ailleurs à m’endormir. Andy (l’allemand) me réveille, nous prenons le déjeuner tous les 3 et nous sommes repartis pour encore 1h30 de marche jusqu’au camp de base de l’Annapurna perché à plus de 4130 m d’altitude. Nous avons encore 400 m de dénivelée, la montée est plus difficile, l’effort est plus dur en raison du manque d’oxygène. Nous sommes obligés de nous arrêter relativement souvent pour nous habituer à l’altitude et reprendre notre souffle.
L’arrivée au camp de base est magnifique, comme disent les guides, « la montagne s’est ouverte pour nous laisser passer ». La météo n’est pas toujours aussi bonne. Les 4 jours précédents, c’était tempête de neige !
Je pose mon sac dans ma chambre et pars explorer les environs et admirer ce paysage grandiose. Il commence à faire très froid car le soleil est caché derrière les montagnes. Je me pose à l’intérieur me réchauffer, je commence à vouloir écrire mon carnet de route mais je n’y arrive pas. Je commence à sentir un petit mal de tête, des vertiges...c’est le mal d’altitude. Je décide donc de manger. Ils allument un feu sous la table (gaz), c’est impressionnant le bien que ça procure !! Après un bon repas, les effets commencent à s’estomper.
Nous sommes environ une vingtaine autour de la table, à tenter de se réchauffer. Certains jouent aux cartes, d’autres s’endorment, d’autres mangent. C’est un beau spectacle. Je pars me coucher seule dans ma chambre, dans mon duvet sous deux couvertures. La température est d’environ – 25 degré.
Le long du chemin je croise à plusieurs reprises des coréens qui sont très très drôles. A peine arrivée à leur hauteur, l’un d’entre eux prend mon appareil photo pour me prendre sous différents angles. Je suis assez surprise. Ensuite plusieurs personnes se rajoutent et commencent à me prendre en photo avec leur appareil. Me voilà parti pour 10 mn de pause photo... !
Sur le chemin, je vois des porteurs courir je ne comprends pas très bien. Ils me disent « Run, run, run ». Et là j’apprends par un guide que nous passons par une zone à risque en raison des nombreuses avalanches... intéressant... !
Après 2 h de marche, j’arrive au camp de base du Machhapuchhare à 3700 m d’altitude. La vue sur ce sommet est impressionnante, 6997m. Ce sommet est vierge, personne n’a jamais tenté de l’escalader car c’est interdit par le gouvernement népalais. Pourquoi? Je ne sais pas.
Je me pose tranquillement pour m’habituer à l’altitude, le soleil me réchauffe, je commence d’ailleurs à m’endormir. Andy (l’allemand) me réveille, nous prenons le déjeuner tous les 3 et nous sommes repartis pour encore 1h30 de marche jusqu’au camp de base de l’Annapurna perché à plus de 4130 m d’altitude. Nous avons encore 400 m de dénivelée, la montée est plus difficile, l’effort est plus dur en raison du manque d’oxygène. Nous sommes obligés de nous arrêter relativement souvent pour nous habituer à l’altitude et reprendre notre souffle.
L’arrivée au camp de base est magnifique, comme disent les guides, « la montagne s’est ouverte pour nous laisser passer ». La météo n’est pas toujours aussi bonne. Les 4 jours précédents, c’était tempête de neige !
Je pose mon sac dans ma chambre et pars explorer les environs et admirer ce paysage grandiose. Il commence à faire très froid car le soleil est caché derrière les montagnes. Je me pose à l’intérieur me réchauffer, je commence à vouloir écrire mon carnet de route mais je n’y arrive pas. Je commence à sentir un petit mal de tête, des vertiges...c’est le mal d’altitude. Je décide donc de manger. Ils allument un feu sous la table (gaz), c’est impressionnant le bien que ça procure !! Après un bon repas, les effets commencent à s’estomper.
Nous sommes environ une vingtaine autour de la table, à tenter de se réchauffer. Certains jouent aux cartes, d’autres s’endorment, d’autres mangent. C’est un beau spectacle. Je pars me coucher seule dans ma chambre, dans mon duvet sous deux couvertures. La température est d’environ – 25 degré.
