Le 02/06/10, 6:08
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Nous voilà arrivé sur l'île d'Huahine. Petite île vraiment passible, pas un seul bruit de moteur une côte plutot sauvage avec seulement quelques maisons par-ci par-là. On va aller faire un tour à terre demain pour explorer tout ça.
C'était surtout la première « vrai » navigation, 16h au total de nuit. Une très bonne moyenne au début (plus de 7,5 nœuds) puis on a calmé le jeu pour la suite sinon on serait arrivé trop tôt pour le mouillage, en pleine nuit. Toute la première partie était vraiment excitante, un bon vent bien établi, une houle moyenne qui ne chahutait pas trop trop le bateau et surtout le couché de soleil en plein dans l'axe.
Et puis est venu la nuit. le vent et la mer se sont détériorés, les vagues se sont raccourcies et le bateau à commencé une danse particulière, carrément rythmée. J'ai redécouvert le sens de certains mots comme « équilibre »ou « déséquilibre » . je n'ai pas la définition en tête mais j'en ai bien compris le sens. Il y a un bon paquet de fois où je l'ai perdu ...l'équilibre.
Puis est venu le temps de l'orage. La seule chose qui dépasse de l'eau c'est le mat du bateau, de quoi être 100% rassuré quand tu vois les éclairs claquer juste à côté. J'ai donc redécouvert le sens de l'expression « impossible de fermer l'œil de la nuit ». Couplé à la mer et au vent, les conditions orageuses sont devenues moins gérables. Le stress monte...pas tellement envie de finir en brochette! Pour couronner le tout, comme je suis dans la pointe avant du bateau, j'ai a mon actif quelques jolies rotations...(triple et quadruple loots piquer quand même!) je me suis retrouvé plusieurs fois plaqué contre la coque plutôt que sur le matelas...pour rassurer encore ma maman, ce n'est pas toujours comme ça et j'en prend souvent pleins les mirettes.
Un coucher de soleil magique, le son d'un Ukulélé qui vient de la plage et une légère brise encore chaude qui vient adoucir le tout; la fin de journée est vraiment toujours le plus agréable sur les 24h. Le must c'est aussi les pirogues qui passent sans arrêt, il y en a toujours une à porté de vu. Ici c'est le sport numéro 1. Sur les voitures il n'y a pas de porte ski mais des portes pirogues... c'est un genre.
C'était surtout la première « vrai » navigation, 16h au total de nuit. Une très bonne moyenne au début (plus de 7,5 nœuds) puis on a calmé le jeu pour la suite sinon on serait arrivé trop tôt pour le mouillage, en pleine nuit. Toute la première partie était vraiment excitante, un bon vent bien établi, une houle moyenne qui ne chahutait pas trop trop le bateau et surtout le couché de soleil en plein dans l'axe.
Et puis est venu la nuit. le vent et la mer se sont détériorés, les vagues se sont raccourcies et le bateau à commencé une danse particulière, carrément rythmée. J'ai redécouvert le sens de certains mots comme « équilibre »ou « déséquilibre » . je n'ai pas la définition en tête mais j'en ai bien compris le sens. Il y a un bon paquet de fois où je l'ai perdu ...l'équilibre.
Puis est venu le temps de l'orage. La seule chose qui dépasse de l'eau c'est le mat du bateau, de quoi être 100% rassuré quand tu vois les éclairs claquer juste à côté. J'ai donc redécouvert le sens de l'expression « impossible de fermer l'œil de la nuit ». Couplé à la mer et au vent, les conditions orageuses sont devenues moins gérables. Le stress monte...pas tellement envie de finir en brochette! Pour couronner le tout, comme je suis dans la pointe avant du bateau, j'ai a mon actif quelques jolies rotations...(triple et quadruple loots piquer quand même!) je me suis retrouvé plusieurs fois plaqué contre la coque plutôt que sur le matelas...pour rassurer encore ma maman, ce n'est pas toujours comme ça et j'en prend souvent pleins les mirettes.
Un coucher de soleil magique, le son d'un Ukulélé qui vient de la plage et une légère brise encore chaude qui vient adoucir le tout; la fin de journée est vraiment toujours le plus agréable sur les 24h. Le must c'est aussi les pirogues qui passent sans arrêt, il y en a toujours une à porté de vu. Ici c'est le sport numéro 1. Sur les voitures il n'y a pas de porte ski mais des portes pirogues... c'est un genre.