Le 14/03/15, 16:22
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Valérie avait acheté les billets depuis longtemps. La légendaire ligne de train de nuit qui relie Chiang Mai à Bangkok!
Après avoir dit au revoir à Sandra, nous avons embarqué vers 15h30. Le train s’est ébranlé à l’heure prévue (16h00) et nous avons roulé vers le sud pendant 14 heures.
De nombreux temples agrémentent le paysage et des incendies résulte un coucher de Soleil tout rouge. Le train est muni de bancs transformables en couchettes et d’autres couchettes qu’on déploie depuis le plafond. Dans notre wagon, chacun a son lit (le luxe!, de dire Émile). Les employés les déploient vers 20h00 et à 21h00, tout le monde ou presque est couché, les rideaux tirés. Dehors, il fait nuit, mais on peut surveiller la lueur des incendies. Certains sont très étendus et illuminent des montagnes entières. D’autres sont si proches du train que leurs flammes lèchent presque les vitres. On passe rarement plus de 15 minutes à surveiller le noir, le nez collé sur la vitre, sans en voir un. Jeanne, Patrice et Paul-Émile ont passé un long moment à les surveiller. Ils ont tiré les rideaux derrière eux pour se plonger dans le noir et mieux voir les fascinants incendies, même si cela rendait encore plus concentrée l’odeur un peu désagréable et légèrement fétide qui émanait des pieds d’Émile. On a bien rigolé.
On a assez bien dormi, même si le lit était trop court pour Patrice. Ou enfin, on croyait avoir bien dormi, car une fois bien réveillés et arrivés à Bangkok, le sommeil nous a profondément assaillis.
Dans la gare avant de partir
On embarque
La configuration des couchettes
La "chambre" d'Émile
Après avoir dit au revoir à Sandra, nous avons embarqué vers 15h30. Le train s’est ébranlé à l’heure prévue (16h00) et nous avons roulé vers le sud pendant 14 heures.
De nombreux temples agrémentent le paysage et des incendies résulte un coucher de Soleil tout rouge. Le train est muni de bancs transformables en couchettes et d’autres couchettes qu’on déploie depuis le plafond. Dans notre wagon, chacun a son lit (le luxe!, de dire Émile). Les employés les déploient vers 20h00 et à 21h00, tout le monde ou presque est couché, les rideaux tirés. Dehors, il fait nuit, mais on peut surveiller la lueur des incendies. Certains sont très étendus et illuminent des montagnes entières. D’autres sont si proches du train que leurs flammes lèchent presque les vitres. On passe rarement plus de 15 minutes à surveiller le noir, le nez collé sur la vitre, sans en voir un. Jeanne, Patrice et Paul-Émile ont passé un long moment à les surveiller. Ils ont tiré les rideaux derrière eux pour se plonger dans le noir et mieux voir les fascinants incendies, même si cela rendait encore plus concentrée l’odeur un peu désagréable et légèrement fétide qui émanait des pieds d’Émile. On a bien rigolé.
On a assez bien dormi, même si le lit était trop court pour Patrice. Ou enfin, on croyait avoir bien dormi, car une fois bien réveillés et arrivés à Bangkok, le sommeil nous a profondément assaillis.
Dans la gare avant de partir
On embarque
La configuration des couchettes
La "chambre" d'Émile