Le 09/01/15, 10:58
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Nous sommes arrivés sains et saufs à Bali dans la soirée du 8 janvier, et (après une demi-heure de taxi) dans notre petit appartement qu’on appelle ici « villa » (expression nettement exagérée). Il s’agit d’une petite cuisine, deux chambres, un salon et une grande salle de toilette, Chacune de ces pièces donne sur l’extérieur par de grandes portes vitrées refermables. C’est très coquet, très balinais, surtout qu’il y a une grande piscine au centre. Les enfants en ont profité dès le premier soir juste avant d’aller se coucher et en profitent à fond depuis ce temps.
Tous les matins, nous nous levons assez tôt car un coq (eh oui) hystérique commence à chanter dès les premières lueurs. Il est accompagné d’un autre, juste derrière les murs, et ils poursuivent leur rivalité –ô bonheur- jusqu’à 15h00 (AUCUN guide de voyage ne nous a jamais parlé de ça). Dans notre conception de citadins, on croyait que les coqs ne chantaient qu’une seule fois, au lever du Soleil. Déception et cernes de fatigue. Émile et Patrice ont commencé leur exploration de la ville de Sanur, dans laquelle nous nous trouvons, dès le premier matin (plage et épicerie pour déjeuner :: il ont aussi vu un escargot géant d’au moins 17cm) puis, un peu plus tard, ont poursuivi avec Val et Jeanne. La plage est très belle avec ses petits crabes « invisibles » couleur sable et fuyants, ses coraux et ses algues échoués, avec le volcan Gunung Agung en toile de fond. On dîne dans de très beaux petits restaus (appelés warungs) situés le long d’un sentier touristique qui suit le bord de la mer et on rentre ensuite à l’appartement pour une saucette d’après-midi, afin de lutter contre la canicule et faire les devoirs. L’île de Bali est très belle et ses habitants charmants, même si leur anglais est à ce point teinté d’accent qu’on peine à les comprendre. La circulation est infernale et traverser une rue est presque toujours une aventure périlleuse. Les trottoirs sont parsemés de trous dignes d’un film d’Indonesia Jones.
Le lit
La piscine
L'extérieur
Un restaurant
Tous les matins, nous nous levons assez tôt car un coq (eh oui) hystérique commence à chanter dès les premières lueurs. Il est accompagné d’un autre, juste derrière les murs, et ils poursuivent leur rivalité –ô bonheur- jusqu’à 15h00 (AUCUN guide de voyage ne nous a jamais parlé de ça). Dans notre conception de citadins, on croyait que les coqs ne chantaient qu’une seule fois, au lever du Soleil. Déception et cernes de fatigue. Émile et Patrice ont commencé leur exploration de la ville de Sanur, dans laquelle nous nous trouvons, dès le premier matin (plage et épicerie pour déjeuner :: il ont aussi vu un escargot géant d’au moins 17cm) puis, un peu plus tard, ont poursuivi avec Val et Jeanne. La plage est très belle avec ses petits crabes « invisibles » couleur sable et fuyants, ses coraux et ses algues échoués, avec le volcan Gunung Agung en toile de fond. On dîne dans de très beaux petits restaus (appelés warungs) situés le long d’un sentier touristique qui suit le bord de la mer et on rentre ensuite à l’appartement pour une saucette d’après-midi, afin de lutter contre la canicule et faire les devoirs. L’île de Bali est très belle et ses habitants charmants, même si leur anglais est à ce point teinté d’accent qu’on peine à les comprendre. La circulation est infernale et traverser une rue est presque toujours une aventure périlleuse. Les trottoirs sont parsemés de trous dignes d’un film d’Indonesia Jones.
Le lit
La piscine
L'extérieur
Un restaurant