Le 10/10/14, 12:06
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Bien sur comme d'hab je galèreà charger des photos donc ce post n'est toujours pas coñplet de ce coté là .
Nous avons un bus à 7h du matin, autant dire qu'après la soirée de la veille c'est dur pour certain.
Le bus est tout petit et à l'intérieur il n'y a que des travailleurs qui rentrent chez eux pour le week-end car celui ci ne passe que le lundi et le vendredi car celui nous emmène à quelques dizaines de km du continent américain après ce ne sont que des îles dont celle immense de la Terre de Feu.
Nous sommes déposés à San Juan, un lieu dit où il n'ya que des campings, pour la plupart fermés et pour les autres inhabités. Nous avons vraiment l'iñpression d'être au bout du monde, surtout que le bus ne revient pas avant 19h.
Nous devons monter le Monte Tarn au nom si évocateur pour nous que Darwin grimpa "quelques dizaine d'années" avant nous.
Nous prenons donc la piste et passons devant quelques maisons où seuls les chiens montrent que des gens habitent là .
Puis nous arrivons près de plages qui longent le détroit de Magellan.
Nous continuons pas mal de temps mais nous commençons à douter de la route car celle ci ne monte jamais. Nous continuons quand même.
La seule présence humaine c'est le bateau qui passe au loin et les déchets rejetés par les vagues. Il y a aussi cet avis de recherche qui parait assez incongru ici et une table avec une bouilloire au milieu des bois (appartiennent-elles à cet homme? Nous n'avons pas mené l'enquête).
En face se trouve l'isla Dawson. Toutes les montagnes sont enneigées.
A un moment nous voyons quelque chose au loin qui saute hors de l'eau, ce sont des dauphins, trois qui restent un bon moment à nager juste devant nous avant de disparaitre.
Nous sommes désormais sur que nous n'avons pas trouvé le bon chemin. Nous savons qu'au bout de celui il y a un phare, le San Isidro mais il parait un peu pour qu'on l'atteigne car il y a le retour a penser.
Vers midi, la pluie se met à tomber et nous trouvons une petite cascade dans les bois qui longent le chemin et nous nous abritons sous les arbres pour manger.
A partir de là , il y a des rochers qui coupent un peu de la monotonie de la randonnée, nous essayons d'aller plus loin mais nous prenons peur quand nous voyons la marée qui monte, il ne manquerait plus qu'on se retrouve bloqués là .
Nous faisons donc demi tour toujours sous la pluie de plus en plus violente.
A quinze heure nous sommes de nouveau à San Juan, quatre heures à attendre et rien pour nous abriter, nous sommes trempés et frigorifiés. En cherchant un peu on trouve le devant d'un cabanon où nous nous posons et nous arrivons même à faire une petite sieste (enfin surtout Romain qui ronflait).
Une après, nous essayons de chercher le chemin que l'on aurait du prendre. La pluie s'est un peu calmée. Surprise sur la route un peu plus loin un tractopelle est passé et a aplati toute la piste, juste le temps où on dormait. De la présence humaine et on a rien entendu? Si les ouvriers sont un peu plus loin.
En tout cas en explorant la zone nous remarquons qu'il y a beaucoup de camps, scouts, de purification en tous genres, mobil home, tous vides bien sur. Nous ne trouvons toujours pas le bon chemin.
Nous nous posons de nouveau au même emdroit et un peu avant 19h allons au croisement oú le bus nous a déposé.
A 18h45, nous voyons un coin de ciel bleu, à 19h, le fameux Monte Tarn sort des nuages et á 19h15, il fait un soleil radieux. Le bus arrive enfin, le temps de charger quelques bûches dans un des campings et nous partons sur une piste rendue glissante par la pluie. On voit vraiment la dexterité du chauffeur car plusieurs fois nous dérapons et dieu sait que le bord est plogeant et il maîtrise à merveille.
Nous pensons avoir attrapper froid après cette journée et finalement c'est... une insolation que nous avons pendant trois jours avec un bon mal de tête et cette fois ce n'est pas le pisco. En effet même si nous n'avons eu que peu de soleil le matin nous ne sommes pas très loin du trou de la couche d'ozone et les UV bombardent.
En rentrant nous avions repéré un resto français qui fait du guanaco, nous y allons et ma foi c'est pas mauvais en civet.
Nous avons un bus à 7h du matin, autant dire qu'après la soirée de la veille c'est dur pour certain.
Le bus est tout petit et à l'intérieur il n'y a que des travailleurs qui rentrent chez eux pour le week-end car celui ci ne passe que le lundi et le vendredi car celui nous emmène à quelques dizaines de km du continent américain après ce ne sont que des îles dont celle immense de la Terre de Feu.
Nous sommes déposés à San Juan, un lieu dit où il n'ya que des campings, pour la plupart fermés et pour les autres inhabités. Nous avons vraiment l'iñpression d'être au bout du monde, surtout que le bus ne revient pas avant 19h.
Nous devons monter le Monte Tarn au nom si évocateur pour nous que Darwin grimpa "quelques dizaine d'années" avant nous.
Nous prenons donc la piste et passons devant quelques maisons où seuls les chiens montrent que des gens habitent là .
Puis nous arrivons près de plages qui longent le détroit de Magellan.
Nous continuons pas mal de temps mais nous commençons à douter de la route car celle ci ne monte jamais. Nous continuons quand même.
La seule présence humaine c'est le bateau qui passe au loin et les déchets rejetés par les vagues. Il y a aussi cet avis de recherche qui parait assez incongru ici et une table avec une bouilloire au milieu des bois (appartiennent-elles à cet homme? Nous n'avons pas mené l'enquête).
En face se trouve l'isla Dawson. Toutes les montagnes sont enneigées.
A un moment nous voyons quelque chose au loin qui saute hors de l'eau, ce sont des dauphins, trois qui restent un bon moment à nager juste devant nous avant de disparaitre.
Nous sommes désormais sur que nous n'avons pas trouvé le bon chemin. Nous savons qu'au bout de celui il y a un phare, le San Isidro mais il parait un peu pour qu'on l'atteigne car il y a le retour a penser.
Vers midi, la pluie se met à tomber et nous trouvons une petite cascade dans les bois qui longent le chemin et nous nous abritons sous les arbres pour manger.
A partir de là , il y a des rochers qui coupent un peu de la monotonie de la randonnée, nous essayons d'aller plus loin mais nous prenons peur quand nous voyons la marée qui monte, il ne manquerait plus qu'on se retrouve bloqués là .
Nous faisons donc demi tour toujours sous la pluie de plus en plus violente.
A quinze heure nous sommes de nouveau à San Juan, quatre heures à attendre et rien pour nous abriter, nous sommes trempés et frigorifiés. En cherchant un peu on trouve le devant d'un cabanon où nous nous posons et nous arrivons même à faire une petite sieste (enfin surtout Romain qui ronflait).
Une après, nous essayons de chercher le chemin que l'on aurait du prendre. La pluie s'est un peu calmée. Surprise sur la route un peu plus loin un tractopelle est passé et a aplati toute la piste, juste le temps où on dormait. De la présence humaine et on a rien entendu? Si les ouvriers sont un peu plus loin.
En tout cas en explorant la zone nous remarquons qu'il y a beaucoup de camps, scouts, de purification en tous genres, mobil home, tous vides bien sur. Nous ne trouvons toujours pas le bon chemin.
Nous nous posons de nouveau au même emdroit et un peu avant 19h allons au croisement oú le bus nous a déposé.
A 18h45, nous voyons un coin de ciel bleu, à 19h, le fameux Monte Tarn sort des nuages et á 19h15, il fait un soleil radieux. Le bus arrive enfin, le temps de charger quelques bûches dans un des campings et nous partons sur une piste rendue glissante par la pluie. On voit vraiment la dexterité du chauffeur car plusieurs fois nous dérapons et dieu sait que le bord est plogeant et il maîtrise à merveille.
Nous pensons avoir attrapper froid après cette journée et finalement c'est... une insolation que nous avons pendant trois jours avec un bon mal de tête et cette fois ce n'est pas le pisco. En effet même si nous n'avons eu que peu de soleil le matin nous ne sommes pas très loin du trou de la couche d'ozone et les UV bombardent.
En rentrant nous avions repéré un resto français qui fait du guanaco, nous y allons et ma foi c'est pas mauvais en civet.