Le 09/07/14, 23:25
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Aujourd'hui c'est l'heure de faire mes valises, mon avion décolle à 13h30. A 10h, on appelle mon taxi pour qu'il vienne à 10h30. Nous descendons dans le rue, il y a une tonne de taxi, mais on ne reconnaît pas Samuel, le chauffeur d'hier. Le vénézuélien court jusqu'à l'auberge pour le rappeler, il nous attendait dans une petite rue à 100 m.
J'arrive à l'aéroport à 11h40, le chauffeur descend avec moi et amène ma valise jusqu'à l'intérieur de l'aéroport (consigne du vénézuélien apparemment).
C'est l'heure de faire peser ma valise, j'ai le droit deux valises de 25 kg et un bagage à main de 5 kg. Heureusement car, je ne sais comment ni pourquoi, ma valise pesait 24,4 kg ! Et je ne parle pas de mon bagage à main qui devait peser dans les 11 kg !
À 13h30 seulement (heure du départ normalement), ils demandent aux passagers de se présenter au guichet embarquement, où nous embarquons dans un premier temps dans un bus, qui nous amènera jusqu'à notre avion. Ah oui l'avion, c'est un 2x3 places avec des sièges ultra vieux, des toilettes aux odeurs qui se font sentir jusqu'à la moitié de l'avion, les vitres où l'on ne voit quasi plus rien à travers, et au bruit terrible... de quoi ne pas vous rassurer jusqu'à arriver à bon port.
L'aéroport de Tarapoto est, comment dire, petit... très petit. Nous descendons sur la piste, rien n'est balisé. Nous pouvoir apercevoir une porte avec écrit « bienvenidos », nous entrons dans une salle où je reconnais le fameux tapis roulant qui te rend ta valise. Après 30 minutes, je vois ma valise apparaître, je la récupère, je sors... Il n'y a rien, pas un point accueil, office du tourisme ni rien... Comment vais-je faire ? Je n'ai aucune idée d'où me rendre, ni où je vais dormir...
J'attends donc le jeune couple de français que j'avais aperçue à Lima et leur demande si je peux zyeuter les quelques adresses qu'il y a dans le guide Lonely planet. On décide de prendre tous les trois une mototaxi pour 2 soles chacun pour aller jusqu'au centre et qu'on aviserait là-bas.
Il nous dépose près d'un bar : nous arrivons à la mi-temps du match Argentine-Hollande. Ayant enfiler mon maillot de l'Argentine, je ne passe pas incognito. On s'installe en terrasse pour regarder la fin de se match stressant.
Avant les prolongations, je demande aux chauffeurs des mototaxis où se trouve l'auberge la moins chère et la plus proche, je me dépèche d'aller voir en laissant tous mes bagages à mes compagnons français. Effectivement, c'est peu cher : 20 soles (un peu plus de 5 €) pour une chambre privée avec salle de bain. Le seul inconvénient est qu'il n'y a pas de cuisine.
Je remonte ensuite au bar voir la victoire de mon pays de cœur.
Finalement, les deux français vont aussi dormir à la même auberge « El Gran chimu ». Le soir, nous nous retrouvons pour aller dîner au restaurant et faire un tour de ville où nous assistons en direct à un accident d'une mototaxis ayant rencontré une voiture, avant de rentrer à l'auberge.
J'arrive à l'aéroport à 11h40, le chauffeur descend avec moi et amène ma valise jusqu'à l'intérieur de l'aéroport (consigne du vénézuélien apparemment).
C'est l'heure de faire peser ma valise, j'ai le droit deux valises de 25 kg et un bagage à main de 5 kg. Heureusement car, je ne sais comment ni pourquoi, ma valise pesait 24,4 kg ! Et je ne parle pas de mon bagage à main qui devait peser dans les 11 kg !
À 13h30 seulement (heure du départ normalement), ils demandent aux passagers de se présenter au guichet embarquement, où nous embarquons dans un premier temps dans un bus, qui nous amènera jusqu'à notre avion. Ah oui l'avion, c'est un 2x3 places avec des sièges ultra vieux, des toilettes aux odeurs qui se font sentir jusqu'à la moitié de l'avion, les vitres où l'on ne voit quasi plus rien à travers, et au bruit terrible... de quoi ne pas vous rassurer jusqu'à arriver à bon port.
L'aéroport de Tarapoto est, comment dire, petit... très petit. Nous descendons sur la piste, rien n'est balisé. Nous pouvoir apercevoir une porte avec écrit « bienvenidos », nous entrons dans une salle où je reconnais le fameux tapis roulant qui te rend ta valise. Après 30 minutes, je vois ma valise apparaître, je la récupère, je sors... Il n'y a rien, pas un point accueil, office du tourisme ni rien... Comment vais-je faire ? Je n'ai aucune idée d'où me rendre, ni où je vais dormir...
J'attends donc le jeune couple de français que j'avais aperçue à Lima et leur demande si je peux zyeuter les quelques adresses qu'il y a dans le guide Lonely planet. On décide de prendre tous les trois une mototaxi pour 2 soles chacun pour aller jusqu'au centre et qu'on aviserait là-bas.
Il nous dépose près d'un bar : nous arrivons à la mi-temps du match Argentine-Hollande. Ayant enfiler mon maillot de l'Argentine, je ne passe pas incognito. On s'installe en terrasse pour regarder la fin de se match stressant.
Avant les prolongations, je demande aux chauffeurs des mototaxis où se trouve l'auberge la moins chère et la plus proche, je me dépèche d'aller voir en laissant tous mes bagages à mes compagnons français. Effectivement, c'est peu cher : 20 soles (un peu plus de 5 €) pour une chambre privée avec salle de bain. Le seul inconvénient est qu'il n'y a pas de cuisine.
Je remonte ensuite au bar voir la victoire de mon pays de cœur.
Finalement, les deux français vont aussi dormir à la même auberge « El Gran chimu ». Le soir, nous nous retrouvons pour aller dîner au restaurant et faire un tour de ville où nous assistons en direct à un accident d'une mototaxis ayant rencontré une voiture, avant de rentrer à l'auberge.
