Le 17/05/14, 1:19
-65.865969-29.264489470588
Je profite de cette semaine de vacances pour m'évader de nouveau avec mon sac à dos. Nous partons à 20h45 avec Luis direction le SUD avec la compagnie Andesmar = repas du soir, et petit-déjeuné pour 420pesos (grâce au décompte étudiant de 20%)
Nous arrivons le samedi au petit matin à Neuquen,et décidons de marcher jusqu'au centre-ville, à 2 km du terminal. Ce qu'on pourrait appeler du temps perdu, car cette ville n'a rien d'attrayant... On en profite pour s'acheter de quoi manger pour la journée qui risque d'être longue, car notre objectif est de rejoindre Bariloche en stop.
Nous décidons de prendre un bus pour sortir de la ville, un chauffeur bien sympathique nous apprend que les baroudeurs se mettent à un carrefour à Senillosa pour faire du stop.
Arrivés dans ce petit patelin, il est déjà 12h passé, nous mangeons rapidement nos super sandwichs jambon/fromage et commençons à faire du stop... Luis pendant ce temps, cherche un carton pour écrire notre direction final.
Après deux heures, un homme s'arrête, il ne va pas jusqu'à Bariloche, mais peut nous avancer de 20 km environ, où se trouve le carrefour séparant la route pour aller jusqu'à Bariloche, et celle pour aller à San Martin de los Andes.
Nous marchons ensuite une trentaine de minute sur le bord de la route en direction de Bariloche, très peu de voitures passent...
Après 1h a attendre, on commence à craindre de passer notre nuit ici, au milieu de nul part : on fait finalement demi-tour jusqu'au croisement. Un 4x4 passe, je lève le pouce sans y croire et la, on s'aperçoit qu'il s'arrête 500 m plus loin. On court jusqu'à sa voiture, et il nous dit qu'il ne va pas jusqu'à Bariloche, mais jusqu'à Chocon, à 30km plus loin. On embarque à bord, le chauffeur, Argentin, travaille comme cadre dans une grande entreprise pétrolière du Pays, et est accompagné de deux chinois, travaillant pour la même entreprise depuis la Chine.
Arrivés à Chocon, il passe par l'office du tourisme pour se renseigner si éventuellement il y aurait des bus pour aller jusqu'à Bariloche (apparemment il y en a un toute les heures). Notre chauffeur nous laisse son numéro de téléphone au cas où on ne trouverait rien, ou qu'on ait besoin de quelque chose.
Nous profitons de cette pause à l'office du tourisme pour passer au toilette, prendre un thé, puis on va jusqu'à la station service à 100 mètres de là, pour acheter quelques gâteaux pour patienter. Quand on en ressort, on voit une personne remonter à bord de sa voiture, on va lui demander si par hasard il n'allait pas jusqu'à Bariloche, il nous répond que non, mais qu'il peut nous déposer à Piedras la Aguilas (150 km plus loin). José Luis, notre nouveau chauffeur, possède une « finca » (le nom donné aux grands propriétaires terriens) de 36 000 ha avec une centaine de chevaux et un troupeau de bétail.
Très gentil, bien qu'il ait des tics de stress bien marqués, nous invite à boire un café chez lui. Nous y allons avec grand plaisir. Nous prenons un chemin fermé sur la gauche de la route 237, après 15 minutes de voiture sur un chemin de terre, nous voilà à son domaine qui est magnifique. Il est composé de 2 belles maisons ainsi que quelques boxes.
Vers 19h00, soit plus d'une heure passée en sa compagnie et après avoir fait un petit coucou à ses chevaux, il nous amène jusqu'au terminal de Piedras, à 30 minutes de voiture de chez lui.
A la gare, nous voyons un bus indiquant « Bariloche », prêt à partir. Nous demandons aux chauffeurs s'ils peuvent nous attendre, le temps qu'on aille acheter un billet, ce qui ne leur pose aucun problème. Au guichet, la femme nous dit qu'on a de la chance car il y a eu un « leger » retard (normalement ce bus passe à 14h, et qu'il n'y en a pas d'autre avant le lendemain)... Il est 19h30 quand nous embarquons.
A 21h00 nous arrivons à la gare de Bariloche. Bien, objectif atteint, mais maintenant, qu'est-ce qu'on fait ? Où est-ce qu'on dort ? Comment peut-on aller jusqu'au centre-ville ? A l'accueil de du terminal, on nous dit qu'à cette heure-ci, il n'y a plus de bus, et qu'on est obligé de prendre un taxi... Dur. Par chance, une femme travaillant dans une auberge de jeunesse (venu pour recruter des nouveaux clients) était encore la, elle nous propose une nuit pour 120 pesos avec petit-déjeuné inclut, ce qui reste correcte, et nous évite surtout de payer le taxi, car elle nous y amène en voiture.
L'ambiance à l'auberge Hostel Like est un peu particulière et ne me plaît pas du tout. Nous allons acheté de quoi faire à manger rapidement, et épuiser de notre si longue journée, allons dormir. Le lendemain matin, au petit-déjeuné nous avons le droit à un petit pain avec de la confiture, et un café. Dur pour bien commencer une journée...
Nous arrivons le samedi au petit matin à Neuquen,et décidons de marcher jusqu'au centre-ville, à 2 km du terminal. Ce qu'on pourrait appeler du temps perdu, car cette ville n'a rien d'attrayant... On en profite pour s'acheter de quoi manger pour la journée qui risque d'être longue, car notre objectif est de rejoindre Bariloche en stop.
Nous décidons de prendre un bus pour sortir de la ville, un chauffeur bien sympathique nous apprend que les baroudeurs se mettent à un carrefour à Senillosa pour faire du stop.
Arrivés dans ce petit patelin, il est déjà 12h passé, nous mangeons rapidement nos super sandwichs jambon/fromage et commençons à faire du stop... Luis pendant ce temps, cherche un carton pour écrire notre direction final.
Après deux heures, un homme s'arrête, il ne va pas jusqu'à Bariloche, mais peut nous avancer de 20 km environ, où se trouve le carrefour séparant la route pour aller jusqu'à Bariloche, et celle pour aller à San Martin de los Andes.
Nous marchons ensuite une trentaine de minute sur le bord de la route en direction de Bariloche, très peu de voitures passent...
Après 1h a attendre, on commence à craindre de passer notre nuit ici, au milieu de nul part : on fait finalement demi-tour jusqu'au croisement. Un 4x4 passe, je lève le pouce sans y croire et la, on s'aperçoit qu'il s'arrête 500 m plus loin. On court jusqu'à sa voiture, et il nous dit qu'il ne va pas jusqu'à Bariloche, mais jusqu'à Chocon, à 30km plus loin. On embarque à bord, le chauffeur, Argentin, travaille comme cadre dans une grande entreprise pétrolière du Pays, et est accompagné de deux chinois, travaillant pour la même entreprise depuis la Chine.
Arrivés à Chocon, il passe par l'office du tourisme pour se renseigner si éventuellement il y aurait des bus pour aller jusqu'à Bariloche (apparemment il y en a un toute les heures). Notre chauffeur nous laisse son numéro de téléphone au cas où on ne trouverait rien, ou qu'on ait besoin de quelque chose.
Nous profitons de cette pause à l'office du tourisme pour passer au toilette, prendre un thé, puis on va jusqu'à la station service à 100 mètres de là, pour acheter quelques gâteaux pour patienter. Quand on en ressort, on voit une personne remonter à bord de sa voiture, on va lui demander si par hasard il n'allait pas jusqu'à Bariloche, il nous répond que non, mais qu'il peut nous déposer à Piedras la Aguilas (150 km plus loin). José Luis, notre nouveau chauffeur, possède une « finca » (le nom donné aux grands propriétaires terriens) de 36 000 ha avec une centaine de chevaux et un troupeau de bétail.
Très gentil, bien qu'il ait des tics de stress bien marqués, nous invite à boire un café chez lui. Nous y allons avec grand plaisir. Nous prenons un chemin fermé sur la gauche de la route 237, après 15 minutes de voiture sur un chemin de terre, nous voilà à son domaine qui est magnifique. Il est composé de 2 belles maisons ainsi que quelques boxes.
Vers 19h00, soit plus d'une heure passée en sa compagnie et après avoir fait un petit coucou à ses chevaux, il nous amène jusqu'au terminal de Piedras, à 30 minutes de voiture de chez lui.
A la gare, nous voyons un bus indiquant « Bariloche », prêt à partir. Nous demandons aux chauffeurs s'ils peuvent nous attendre, le temps qu'on aille acheter un billet, ce qui ne leur pose aucun problème. Au guichet, la femme nous dit qu'on a de la chance car il y a eu un « leger » retard (normalement ce bus passe à 14h, et qu'il n'y en a pas d'autre avant le lendemain)... Il est 19h30 quand nous embarquons.
A 21h00 nous arrivons à la gare de Bariloche. Bien, objectif atteint, mais maintenant, qu'est-ce qu'on fait ? Où est-ce qu'on dort ? Comment peut-on aller jusqu'au centre-ville ? A l'accueil de du terminal, on nous dit qu'à cette heure-ci, il n'y a plus de bus, et qu'on est obligé de prendre un taxi... Dur. Par chance, une femme travaillant dans une auberge de jeunesse (venu pour recruter des nouveaux clients) était encore la, elle nous propose une nuit pour 120 pesos avec petit-déjeuné inclut, ce qui reste correcte, et nous évite surtout de payer le taxi, car elle nous y amène en voiture.
L'ambiance à l'auberge Hostel Like est un peu particulière et ne me plaît pas du tout. Nous allons acheté de quoi faire à manger rapidement, et épuiser de notre si longue journée, allons dormir. Le lendemain matin, au petit-déjeuné nous avons le droit à un petit pain avec de la confiture, et un café. Dur pour bien commencer une journée...