Le 28/03/14, 2:58
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Un petit article sur les choses qui m’ont interpellé, avant que ça deviennent normal pour moi au bout de quelques mois, qui sait...
- Les déchets dans les rues de Buenos Aires (dans les environs de l’aéroport).
- La normalité de jeter des papiers dans la rue des gens (exemple : lors de la distribution des tickets numéro pour nos bagages en soute lors des voyages en bus, la partie qu’ils décollent est jeté par terre.)
- La « propina » (pourboire) qui, selon un décret n’est pas obligatoire, mais dans la pratique l’est, pour les chers messieurs qui mettent les bagages en soute dans les bus (à Tucuman par exemple, il a refusé de nous donner le ticket avec le numéro du bagage, obligatoire pour pouvoir récupérer notre sac, tant qu’on ne lui avait pas donné des pesos...)
- La façon de conduire des argentins. (et dire qu’on critique les Montpelliérains..)
- La position des feux au niveau des carrefours.
- Le respect des limitations (indication de la vitesse maximale : 60km/h ; vitesse réelle : 90 km/h)
- L’état des routes (plaques de béton mises bout à bout)
- Les bidonvilles aux alentours de Mendoza
- Le nombre de chiens errants qui traînent dans les villes
- Les chaussures à la mode en Argentine : chaussures plates mais compensées
- Sifflement du genre masculin face au genre féminin, pas un « joli » sifflement comme en France, mais plutôt le bruit que tu fais pour appeler ton chien ou ton chat.
- Une seule bise, à tout le monde, même à tes profs en dehors des cours.
- L’importance du maté dans la communauté Argentine : en cours, un élève en prépare, et le fait passer aux 6 autour de lui. Certains en préparent pour les profs qui, pendant leur exposé, boivent leur maté.
- La queue pour aller à la banque (minimum 20 personnes), sinon c’est que la banque est fermée.
- La queue infernale à tout moment de la journée à la caisse des supermarchés.
- Le café se fait aussi en sachet (non pas du café en poudre, mais du café moulu dans des petits sachets de thé.
- Le laisser aller des caddies. Je m’explique. En France, nous sommes obligés de mettre un jeton ou une pièce pour le caddie, j’ai compris pourquoi. Ici, le caddie est en libre-service. Sauf que si les gens ne trouvent pas ce qu’ils cherchent, ils laissent le caddie en plein milieu du magasin et s’en vont. Ou encore, les caddies qui traînent n’importe où sur le parking.
- Les déchets dans les rues de Buenos Aires (dans les environs de l’aéroport).
- La normalité de jeter des papiers dans la rue des gens (exemple : lors de la distribution des tickets numéro pour nos bagages en soute lors des voyages en bus, la partie qu’ils décollent est jeté par terre.)
- La « propina » (pourboire) qui, selon un décret n’est pas obligatoire, mais dans la pratique l’est, pour les chers messieurs qui mettent les bagages en soute dans les bus (à Tucuman par exemple, il a refusé de nous donner le ticket avec le numéro du bagage, obligatoire pour pouvoir récupérer notre sac, tant qu’on ne lui avait pas donné des pesos...)
- La façon de conduire des argentins. (et dire qu’on critique les Montpelliérains..)
- La position des feux au niveau des carrefours.
- Le respect des limitations (indication de la vitesse maximale : 60km/h ; vitesse réelle : 90 km/h)
- L’état des routes (plaques de béton mises bout à bout)
- Les bidonvilles aux alentours de Mendoza
- Le nombre de chiens errants qui traînent dans les villes
- Les chaussures à la mode en Argentine : chaussures plates mais compensées
- Sifflement du genre masculin face au genre féminin, pas un « joli » sifflement comme en France, mais plutôt le bruit que tu fais pour appeler ton chien ou ton chat.
- Une seule bise, à tout le monde, même à tes profs en dehors des cours.
- L’importance du maté dans la communauté Argentine : en cours, un élève en prépare, et le fait passer aux 6 autour de lui. Certains en préparent pour les profs qui, pendant leur exposé, boivent leur maté.
- La queue pour aller à la banque (minimum 20 personnes), sinon c’est que la banque est fermée.
- La queue infernale à tout moment de la journée à la caisse des supermarchés.
- Le café se fait aussi en sachet (non pas du café en poudre, mais du café moulu dans des petits sachets de thé.
- Le laisser aller des caddies. Je m’explique. En France, nous sommes obligés de mettre un jeton ou une pièce pour le caddie, j’ai compris pourquoi. Ici, le caddie est en libre-service. Sauf que si les gens ne trouvent pas ce qu’ils cherchent, ils laissent le caddie en plein milieu du magasin et s’en vont. Ou encore, les caddies qui traînent n’importe où sur le parking.