Le 02/11/13, 18:36
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Avant dernier jour ! Je fais mon sac pour laisser la place à l'étudiant qui arrive après moi (ça ne traine pas !) Je laisse mon gros sac de voyage et ne prend "que" le nécessaire pour cette randonnée de 2 jours au Nord Est de Los Angeles. Objectifs : - Echo park et l'académie de police- Silver Lake- Glendale- Pasadena & Altadena- Montebello (enfin une toute petite partie)Ce n'est clairement pas (hors peut-être Pasadena) des zones touristiques, mais Los Angeles n'est pas que ce qu'on montre toujours à la TV :)Sur le trajet de mon 1er bus, je m'arrête au Coliseum, adjacent à l'espace des sciences. Le Colisée semble être dédié au corps, et à la pub. A l'espace des sciences, je paye 2$ pour accéder à l'exposition Endeavour, la fameuse planète spatiale américaine qui a prit sa retraite ici après avoir été transporté sur dos de Boeing 747 jusqu'en Californie, avant de traverser une partie de Los Angeles, dans les rues :pJe me suis dit, une fois à côté, si la navette tombait, cela engendrerait des citations funéraires énormes genre "écrasé par une navette spatiale", et ça c'est pas n'importe qui qui pourrait l'avoir 
J'arrive ensuite à Echo Park, d'une des 7 collines de Los Angeles, et ça grimpe sec !. Je passe devant l'académie de police, puis, à grands peines pour mes mollets avec ses pentes et ses passages par escaliers, au réservoir de Silver Lake. Je remonte ensuite sur Glendale. Un quartier pavillonnaire bourgeois adossé au flanc Est des collines d'Hollywood. Et j'y ai surpris par l'ambiance hispanique du quartier, notamment des maisons construites pour représenter des haciendas miniatures. Je reprends le bus, cette fois pour Pasadena où j'arrive au coucher du soleil. La ville semble assez cool et riche, l'architecture est recherchée (à l'échelle de Los Angeles). J'y trouve mon hôtel, le Vagabond Inn, qui semble être assez unique puisque organisé comme un motel (la catégorie d'hôtels la moins chers et la moins réputée), mais propose des services d'assez haute qualité. J'ai ainsi la surprise de trouver dans ma chambre une baignoire-jacuzzi dont je profite avec de la mousse et une glace vanille-cookie-coco tout en regardant Matrix en VO. Très agréable comme moment, jusqu'à ce que je me rende compte que le pouvoir moussant du jacuzzi est sans comparaison avec celui du robinet. Rapidement, la mousse devient incontrôlable et je suis obligé de la presser par de grands mouvements pour éviter le drame 
Le lendemain, j'imprime ma carte d'embarquement sur l'imprimante de l'hôtel avant de prendre mon petit déjeuner où j'apprends à me servir d'un gaufrier (pratique et pas mal une fois le premier complètement raté passé). Bon, je me contente de beurre doux mais dans quelques jours, le vrai beurre sera à nouveau à portée de main 
Je me sers d'un service téléphonique très pratique : Je donne l'arrêt où je me trouve, le bus que je veux prendre, et on me répond à quelle heure passe le prochain (parce qu'il n'y a aucun horaire indiqué à l'arrêt, forcément). J'ai 40 minutes devant moi, j'en profite donc pour visiter CalTech, une université de science très réputée, à 2 pas de là. Cela ressemble assez à Beaulieu, en fait, en plus petit (pour une fois !), et avec des bâtiment plus soignés et décorés (avec de nombreuses fontaines, dont une représentant un presque dé à 20 faces )Je reviens à mon arrêt de bus, tape la discute avec un autochtone, ex(?)-toxico, qui me parle de trucs qui semblent être super-intéressants sur sa vision du monde, mais je n'en comprends que la moitié tellement il parle vite tout en utilisant des mots d'argot. Le bus me conduit jusque West Alhambra, un quartier hispano pas franchement cossu. En reprenant le bus, je suis visiblement le seul non hispano à bord 
Nous sommes dimanche après-midi, je reprends une dernière série de bus pour rendre mon vélo à l'agence de location, revenir à Wetchester dans ma famille d'accueil. Ils sont en tenue cérémoniale, car c'est le premier jour de l'année suivant leur culture. Nous nous disons au revoir, et Neal m'emmène à l'aéroport non loin pour m'éviter 20mns de marche à crouler sous mes sacs :)Voilà, je monte dans l'avion d'Air France qui me ramène 9 heures plus tard et 15°C de moins à Paris. Mon train est à l'heure mais doit s'arrêter en pleine voie régulièrement pour attendre que le train précédant répare ses pannes techniques. Je roupille et prends des notes en attendant. J'ai dans mon sac pleins de barres chocolatées et du pop-corn ramenés des USA mais même si j'ai faim, j'ai envie de choses plus saines, comme.... une soupe 
Arrivés à Rennes, j'entends toquer aux vitres de ma place. Gwyon & Malvina sont là et, coup de bol, m'ont repéré !Ça y est, enfin réunis, cette fois je suis à la maison... 
J'arrive ensuite à Echo Park, d'une des 7 collines de Los Angeles, et ça grimpe sec !. Je passe devant l'académie de police, puis, à grands peines pour mes mollets avec ses pentes et ses passages par escaliers, au réservoir de Silver Lake. Je remonte ensuite sur Glendale. Un quartier pavillonnaire bourgeois adossé au flanc Est des collines d'Hollywood. Et j'y ai surpris par l'ambiance hispanique du quartier, notamment des maisons construites pour représenter des haciendas miniatures. Je reprends le bus, cette fois pour Pasadena où j'arrive au coucher du soleil. La ville semble assez cool et riche, l'architecture est recherchée (à l'échelle de Los Angeles). J'y trouve mon hôtel, le Vagabond Inn, qui semble être assez unique puisque organisé comme un motel (la catégorie d'hôtels la moins chers et la moins réputée), mais propose des services d'assez haute qualité. J'ai ainsi la surprise de trouver dans ma chambre une baignoire-jacuzzi dont je profite avec de la mousse et une glace vanille-cookie-coco tout en regardant Matrix en VO. Très agréable comme moment, jusqu'à ce que je me rende compte que le pouvoir moussant du jacuzzi est sans comparaison avec celui du robinet. Rapidement, la mousse devient incontrôlable et je suis obligé de la presser par de grands mouvements pour éviter le drame Le lendemain, j'imprime ma carte d'embarquement sur l'imprimante de l'hôtel avant de prendre mon petit déjeuner où j'apprends à me servir d'un gaufrier (pratique et pas mal une fois le premier complètement raté passé). Bon, je me contente de beurre doux mais dans quelques jours, le vrai beurre sera à nouveau à portée de main Je me sers d'un service téléphonique très pratique : Je donne l'arrêt où je me trouve, le bus que je veux prendre, et on me répond à quelle heure passe le prochain (parce qu'il n'y a aucun horaire indiqué à l'arrêt, forcément). J'ai 40 minutes devant moi, j'en profite donc pour visiter CalTech, une université de science très réputée, à 2 pas de là. Cela ressemble assez à Beaulieu, en fait, en plus petit (pour une fois !), et avec des bâtiment plus soignés et décorés (avec de nombreuses fontaines, dont une représentant un presque dé à 20 faces )Je reviens à mon arrêt de bus, tape la discute avec un autochtone, ex(?)-toxico, qui me parle de trucs qui semblent être super-intéressants sur sa vision du monde, mais je n'en comprends que la moitié tellement il parle vite tout en utilisant des mots d'argot. Le bus me conduit jusque West Alhambra, un quartier hispano pas franchement cossu. En reprenant le bus, je suis visiblement le seul non hispano à bord Nous sommes dimanche après-midi, je reprends une dernière série de bus pour rendre mon vélo à l'agence de location, revenir à Wetchester dans ma famille d'accueil. Ils sont en tenue cérémoniale, car c'est le premier jour de l'année suivant leur culture. Nous nous disons au revoir, et Neal m'emmène à l'aéroport non loin pour m'éviter 20mns de marche à crouler sous mes sacs :)Voilà, je monte dans l'avion d'Air France qui me ramène 9 heures plus tard et 15°C de moins à Paris. Mon train est à l'heure mais doit s'arrêter en pleine voie régulièrement pour attendre que le train précédant répare ses pannes techniques. Je roupille et prends des notes en attendant. J'ai dans mon sac pleins de barres chocolatées et du pop-corn ramenés des USA mais même si j'ai faim, j'ai envie de choses plus saines, comme.... une soupe Arrivés à Rennes, j'entends toquer aux vitres de ma place. Gwyon & Malvina sont là et, coup de bol, m'ont repéré !Ça y est, enfin réunis, cette fois je suis à la maison... 